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    Trois couleurs - Rouge
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    55 critiques spectateurs

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    Agnes L.
    Agnes L.

    119 abonnés 1 458 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 novembre 2022
    Encore une réalisation du polonais Kieslowsky assez surprenante par l'histoire racontée et son art de mélanger présent et passé. Une rencontre entre deux personnes très différentes, une étudiante suisse et un juge en retraite. spoiler: Is sont intrigués l'un par l'autre et une relation étrange se noue entre eux.
    Le style est dans la lignée des deux opus précédents avec davantage de dialogues.
    aldelannoy
    aldelannoy

    31 abonnés 325 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 septembre 2019
    Il faut voir dans ce film le passé corrigé par le présent. L'amour déchiré des années et des années en arrière qui se réalise dans le présent. Une belle leçon où les blessures d'antan sont corrigées et se referment dans le bonheur d'amours épanouies dorénavant.

    Et patati et patata. Laissons là les blablas à l'eau de rose. Arrêtons les simagrées. C'est mièvre et niais.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    65 abonnés 1 648 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 décembre 2019
    Un petit intérêt scénaristique avec une petite pirouette artistique, une jolie photo (même si avec un titre pareil le soin photographique était presque évident...), le film reste malgré tout assez soporiphique et l'ennuie gagne rapidement. Les dialogues sont souvent incohérents et heureusement que Trintignant est la parce que Irène Jacob joue comme un pied... Bref bof bof pour ma part.
    Patjob
    Patjob

    19 abonnés 547 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 juin 2023
    Je n’ai pas pu en regardant « Rouge » me départir du souvenir du « Décalogue », ce qui m’a empêché de regarder ce film « objectivement » ou « normalement ». Du coup il m’est apparu plein de coquetteries et d’artifices ; le suivi du fil téléphonique dès l’ouverture donne le ton : il n’a aucune fonction ou signification, et ne paraît qu’une originalité gratuite ; presque tout le film est à l’avenant, avec des séquences ne s’intégrant pas dans un projet ou un discours ; la fin parfaitement improbable s’inscrivant dans la même veine. La volonté de faire apparaître dans chaque plan un élément de la couleur du titre constitue malheureusement le symbole de cette inexplicable démarche. On peut aussi s’étonner que ce film qui clôt la trilogie de la devise Française se déroule en Suisse, comme chercher le rapport bien ténu avec la Fraternité. Seule la présence lumineuse de Irène Jacob restera dans mon souvenir. J’ai peine à comprendre un tel changement de style chez un réalisateur qui avait donné un modèle absolu de cinéma sobre, pensé et cohérent, qui, avec peu de moyens, atteignait, et avec émotion, la profondeur et la complexité des problèmes qui se posent aux hommes.
    willycopresto
    willycopresto

    116 abonnés 1 349 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 octobre 2015
    "Trois couleurs : Rouge" (1994) rediff sur France 2 le 28.09.2015
    C'était un temps où les trilogies étaient à la mode : on espérait que le succès d'un premier épisode encouragerait à aller voir les autres. C'est souvent, lassitude ou déception obligent, le contraire qui se passait ! Le film n'avait réussi à l'époque qu'à intriguer le public, mais pas vraiment à le séduire. C'est sans doute la raison pour laquelle France 2 l'a rediffusé de nuit, presque comme pour se cacher ou s'excuser ! Kieslowski a réalisé ici son dernier film après lequel il ne voulait plus en tourner d'autres, Puis il s'était ravisé mais une crise cardiaque l'en a empêché.... Cette histoire aura donc été son chant du cygne. Pour les amateurs irréductibles de cinéma dit d'art et d'essai mais en ce qui me concerne, je l'avais oublié depuis longtemps !
    willycopresto
    JamesDomb
    JamesDomb

    82 abonnés 1 061 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Après un second volet léger, Kieslowski clôt sa trilogie « Trois couleurs » en beauté avec « Rouge ». Fidèle à ses thèmes privilégiés abordés dans La double vie de Véronique et les précédents volets de la trilogie, Kieslowski signe une œuvre émouvante, pleine de grâce, intelligente, magistralement interprétée par la lumineuse et radieuse Irène Jacob et le magnifique Jean-Louis Trintignant. Rouge c’est les liens du sang, la fraternité. Fraternité qui aide les gens à sortir de leur cocon, à s’ouvrir aux autres après avoir affronter la solitude et l’absence de communication. Le hasard et le destin sont encore une fois les thèmes abordés par Kieslowski et rare film n’aura été aussi dense, complexe, envoûtant, troublant (à part Bleu et La Double vie de Véronique bien sur) et surtout délivrant un superbe message d'espoir, d'entente entre les êtres humains, envie de croire en la vie. "Rouge" est un film construit de façon complexe mettant en scène beaucoup de parallèles entre différents personnages. Ainsi le jeune juge Auguste revit-il les expériences passées de l'ancien juge interprété par Trintignant comme si la vie n'était qu'un éternel recommencement, donnant envie et l'espoir que les choses changent en s'ouvrant aux autres. "Rouge" est un film magnifique plein d'espoir et d'amour contant la rencontre de deux êtres que tout oppose. Rouge comme le coeur, comme le sang, couleur donnant le ton du film dès la première image, élément narratif au même plan que la sublime musique de Zbigniew Preisner mettant en évidence les sentiments des personnages. La dernière scène renforce le sentiment d'une présence mystique en la personne du Juge que l'on peut facilement assimiler à un Dieu. Dieu n'est-il pas le Juge des hommes ? Le juge n'a par ailleurs pas de nom. Est-ce le Juge Suprême ? Le naufrage final est-il Le Déluge ne sauvant que ceux qui le méritent ? Ainsi retrouve-t-on les personnages des deux précédents volets. Personnages capables d'amour. Quel Chef d'oeuvre !
    Aurégane Lemière
    Aurégane Lemière

    10 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 mai 2022
    Rouge parle de l'amitié, de la fraternité. Il évoque les liens parfois ténus et souvent incompréhensibles et étonnants qui se tissent entre les gens. Le film se nourrit des machinations mystérieuses de l’intrigue qui rapprochent les protagonistes. Ils mènent tous les deux des vies dépourvues de sens, mais expriment différemment leur solitude.
    Comme dans beaucoup d’autres films du réalisateur, Rouge analyse les thèmes du hasard et de la coïncidence. Il évoque les liens terrestres mais aussi notre place dans l’univers. Le réalisateur interroge la fraternité dans sa dimension gratuite ou non, désintéressée ou non. “L’éternelle consiste à savoir si en donnant aux autres un peu de soi-même, nous ne le faisons pas pour avoir une meilleure idée de nous même.” (Krzysztof Kieślowski). Ces deux personnages s’ennuyaient, ils étaient malheureux avant de se rencontrer. spoiler: Valentine a une vie parfaitement simple au premier abord (étudiante, mannequin, en couple et amoureuse) mais elle a en réalité de gros problèmes. Son frère Marc se drogue, elle ne voit jamais son petit ami Michel, et ce dernier ne la traite pas bien, il n’est ni présent ni doux. Valentine se sent seule. Quant au juge à la retraite, Joseph, il a perdu tout espoir en l’humanité. Il s’est fait trompé par sa femme étant jeune. Il est totalement désabusé jusqu’à ce qu’il rencontre Valentine, qui est différente des autres. Elle s’intéresse à lui et lui s’intéresse à elle. Ils vont se lier d’amitié, de complicité, de fraternité. Ils s’aident mutuellement. Chacun aide l’autre à aller mieux, mais y trouve aussi de l’auto-satisfaction. Ils aident l’autre et du même coup s’aident eux-même.


    spoiler: Dialogue entre Joseph et Valentine. “- Pourquoi avez-vous ramassée Rita dans la rue ? - Parce que je l’avais écrasée. Elle était blessée, elle saignait. - Si vous l’aviez laissée vous auriez eu des remords. Certainement que dans vos rêves il y aurait eu une chienne avec la tête écrasée. - Oui. - Alors, pour qui avez-vous fait ça ?”


    spoiler: Avant le début du film, Joseph a trouvé quelqu’un, un jeune homme, un homme semblable à lui. Il l’a trouvé en espionnant les conversations de sa voisine. Le jeune, nommé Auguste, entretien la même relation avec la voisine que Joseph entretenait avec son ex-femme, jusqu’à la tromperie. C’est la question du double, de l’alter ego, qui est évoquée. Cette thématique, chère à Krzysztof Kieślowski, est la même dans La double vie de Véronique. Avec la maturité de l’âge, le vieux Joseph sait que c’est une femme comme Valentine qui lui aurait convenu. “Vous êtes peut-être la femme que je n’ai jamais connue.” (Joseph à Valentine) Il décide donc de lier ces deux personnages. Il ne veut pas que Auguste finisse comme lui. Il veut faire son bonheur, il veut une meilleure vie pour lui. Auguste se trouve justement être le voisin de Valentine. Ils ne cessent de se croiser tout au long du film, tout en ignorant l’existence de l’autre. La notion de destin est très présente : la rencontre de Joseph et Valentine, la chienne qui les fait devenir amis, Valentine et Auguste qui se croisent sans se voir jusqu’à l’accident de ferry. Ils font tous les deux parties des sept rescapés du naufrage (les autres rescapés sont les personnages de Bleu : Julie et Olivier, et de Blanc : Karol et Dominique). Les choses sont-elles dûes au hasard ou sont-elles le fruit d’une machination supérieure qui nous dépasse ? On peut alors se demander si Joseph, qui avait convaincu Valentine de prendre le ferry plutôt que l’avion, savait que Valentine et Auguste s’y rencontreraient. Quelle est la part du destin, du hasard ou celle de la manipulation de Joseph ? Le hasard est souvent évoqué par les protagonistes. Valentine dit que c’est le hasard qui lui fait rencontrer Michel, Auguste et Karen jouent à pile ou face pour décider de ce qu’ils vont faire le soir (pile : bowling). Valentine est invitée à aller au bowling le même soir justement. Le hasard cherche à les rapprocher.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 2 décembre 2015
    Un drame anti-raciste-sexiste pas touchant et plein de maladresse. Valentine est si énervante que par moment on a peine à ne pas péter un câble. En un mot: navrant!
    Niko0982
    Niko0982

    63 abonnés 1 331 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 avril 2008
    Un vrai petit bijou. C'est le meilleur de la trilogie. La mise en scène est vraiment impressionante et la présence de la couleur rouge un peu partout apporte à ce film une touche unique et particulière. De plus, c'est formidablement bien joué.
    GéDéon
    GéDéon

    54 abonnés 444 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 mai 2023
    En 1994, Krzysztof Kieslowski réalise le dernier volet du triptyque « Trois couleurs » (Bleu, Blanc, Rouge) explorant les valeurs « Liberté, Egalité, Fraternité ». Il s’agit certainement du volume le moins intéressant compte tenu d’un scénario peu palpitant. La rencontre fortuite d’une jeune femme (Irène Jacob, qui ne dégage pas beaucoup de charisme) avec un ancien juge (Jean-Louis Trintignant, tout juste parfait) donne lieu à une série de bavardages existentiels sur le thème du voyeurisme. Seul le final sympathique, avec ce clin d’œil à tous les acteurs principaux de la trilogie, donne un léger sursaut. C’est en visionnant l’ensemble de l’œuvre que l’on saisit la mise en avant des valeurs de la République française avec l’utilisation prédominante d’une des trois couleurs selon les scènes (le bleu exprimant la liberté, le blanc l’égalité et le rouge la fraternité). Bref, on ressent un certain essoufflement de la part du cinéaste.
    oranous
    oranous

    131 abonnés 1 097 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 février 2008
    Effectivement Rouge est certainement le film que je préfère de la trilogie. En tout cas une chose est sure, celui que j'aime le moins est blanc.
    Au risque de me répéter ce film est parfait.
    Les acteurs jouent braiment bien que ce soit Irene Jacob ou Jean-Louis Trintignant.
    La musique de Preisner est toujours aussi magique.
    Le rouge est ici présent dans presque tous les plans que ce soit a travers un objet, un reflet ou une lumière.
    J'aime vraiment Kieslowski et sa manière de dépeindre des vies et la vie. Ici l'espoir est permanent. La scène finale est vraiment très bien dans le sens ou l'on voit bien que Rouge clos la trilogie en faisant apparaitre tous les personnages principaux à la manière d'un générique.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 23 mai 2008
    Film d'un ennui ultra profond... qu'est-ce qu'on s'enmerde... Si s'était bien réalisé encore mais même pas.
    SB88
    SB88

    13 abonnés 1 012 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 juin 2023
    Une sorte d'exploitation vicieuse dans la relation des personnages. C'est très lent et on s'ennuie tout de même dans leurs nombreux dialogues. Je pense l'oublier...
    3,1/5
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 juillet 2008
    Le meilleur film de la trilogie, un homme coupé du monde qui ne vit plus qu'épiant ses voisins grace à une jeune femme renait à la vie, exceptionnelle composition de Trintignant film d'une grande sensibilité.
    stans007
    stans007

    17 abonnés 1 232 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 avril 2021
    D’abord la femme, Irène Jacob, magnifiée dans sa sobriété, ensuite l’évolution du juge aigri vers la fraternité, sujet final de la trilogie. Scénario bien construit, excellente BO, bonne mise en scène à clins d’œil… un bon film d’auteur quoi !
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