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    La Porte du diable
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    Jean-luc G
    Jean-luc G

    47 abonnés 738 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 avril 2024
    Mann apporte un œil neuf sur le western et ce n'est pas la première fois. Si le héros l'indien Lance Poole est joué par Robert Taylor, bon acteur mais moyennement crédible dans cette position, le scénario est lui carrément orienté pour dénoncer l'injustice de traitement subie par la tribu des shochones dans le Wyoming.
    L'avocat cynique qui rachète les terres des indiens est méchant à souhait. Autour de lui, s'agglutinent des gens ordinaires, jaloux entre autres par la réussite de cette lignée indienne… dans l'élevage, et dont le compte en banque est confortable!
    La lutte pour l'espace - on n'atteint certes pas la flamboyance de La porte du Paradis!-, la lutte pour la place des femmes, avec cette avocate débutante, dont l'idylle prévisible spoiler: avec le bel indien n'aura pas lieu
    , la lutte pour la reconnaissance, quand on a servi trois ans dans l'armée et revenu décoré. Mann expose et documente sa plaidoirie sans détour.
    Au-delà des grandes espaces, la qualité de la mise en scène s'exprime par une série de gros plans expressifs qui ponctuent le récit fort à propos.
    Le diable accueille la fin tragique d'un héros né cent ans trop tôt pour convoler avec la belle blanche.
    cinéma Lumière - avril 2024
    chrisbal
    chrisbal

    12 abonnés 608 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 novembre 2023
    Injustice et racisme au menu de ce premier western d'Anthony mann, qui met en vedette Robert Taylor dans le rôle d'un indien (Lance Poole) ayant combattu pour son pays pendant la guerre de sécession mais qui découvre à son retour presqu'avec étonnement que, malgré tout, les choses n'ont pas changées : les indiens sont plus que jamais mal vus, d'autant plus ceux qui ont réussi.
    Les bergers, contraints à l'affrontement pour la survie de leurs troupeaux, ne sont que l'instrument d'une Amérique avide d'espace représentée par un Louis Calhern (l'avocat Verne Coolan) absolument odieux.
    Et ce ne sont pas les efforts de Paula Raymond, interprétant le rôle de Orrie Masters (l'avocate de Lance Poole), qui agit en quelque sorte en tant que médiateur, qui changeront la donne, l'obstination toute légitime de ce dernier à défendre son territoire le menant immanquablement à sa perte.
    Anthony Mann réalise un très beau western avec de superbes paysages (dommage qu'ils soient filmés en noir et blanc) et des scènes d'action efficaces et bien mises en scène.
    Hotinhere
    Hotinhere

    427 abonnés 4 756 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 octobre 2023
    Un western sombre et pessimiste qui dénonce le sort réservé aux Indiens d’Amérique, à travers le destin tragique d’un sergent d’origine indienne luttant pour la défense de ses terres, interprété par un Robert Taylor grimé et peu crédible.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    587 abonnés 2 763 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 mai 2023
    Devil’s Doorway a l’intelligence de garder insoluble la crise politique et morale qu’il représente, faisant de ses personnages les hérauts de valeurs opposées qui ont chacun un regard particulier sur la loi. Trois points de vue s’affrontent : celui de l’Indien qui, revenu de la guerre de Sécession pendant laquelle il a combattu trois années durant et participé à d’importantes batailles – Gettysburg entre autres –, souhaite recouvrer ses possessions à Douce Prairie, transmises par ses ancêtres ; celui de l’avocat véreux, nommé Dolan, qui espère s’enrichir en octroyant les terres indiennes à des éleveurs en quête de verts pâturages, tirant profit d’une nouvelle loi de répartition territoriale ; celui de l’avocate enfin, tiraillée entre d’une part l’application rigoureuse et théorique de la loi qu’elle incarne, d’autre part le sentiment d’injustice qu’elle éprouve dans l’application même de textes racistes, sentiment mêlé à un attachement sensible, sinon amoureux, à l’Indien. Sans oublier les difficultés qui jalonnent son parcours de femme avocate, anomalie dans le paysage de l’Ouest américain.
    Anthony Mann raccorde ainsi l’exercice de la justice au terrain et à ses cas particuliers, et saisit ses acteurs dans leurs cas de conscience ; son western se fait alors représentation esthétique d’un débat politique et rhétorique dans lequel les intrigues et les relations humaines comptent pour autant de procédés d’amplification. Il trouve en l’avocate un avatar de ses convictions humanistes et communistes, puisque celle-ci prône la collectivisation des grands espaces au profit des honnêtes travailleurs, le « droit de vivre », qu’il s’agisse des éleveurs ou des Indiens, « même enfermés dans une réserve ». Le long métrage interroge donc la valeur donnée à la vie et exclut tout héroïsme au profit de fanatiques tout à la fois légitimes dans leurs revendications et aveuglés par des traditions destructrices. Dès lors, s’il y a bien une victimisation des Indiens, et une défense de leur cause, elle se déporte depuis la figure de Lance Poole vers cette tribu exilée qui fuit la réserve, faite de vieillards, de femmes et d’enfants, symbole des innocents et des opprimés. D’ailleurs, les motivations qui poussent Lance à les accueillir sur ses terres restent opaques : s’il y a bien compassion et identité commune, il ne faudrait exclure l’argument de la multitude armée apte à repousser les assauts ennemis.
    Le héros, chez Mann, est toujours un antihéros destiné à l’incompréhension de son entourage et à la solitude. Nul hasard, par conséquent, si Dolan disparaît en l’espace de quelques secondes, dans un hors-champ significatif. Le dialogue entrepris entre Lance et l’avocate Orrie Masters, s’il n’est pas un dialogue de sourds, s’efforce d’accéder à une compréhension réciproque suivant l’idée que « tout dépend du point de vue » : d’un côté, ne pas savoir ce que la terre représente pour un Indien, de l’autre, s’octroyer le droit de décider de qui doit mourir ou non. La seule réponse, répétée encore et encore par l’avocate, est celle du « droit de vivre » que l’Indien apprendra, trop tard hélas ; ce cri humaniste, démenti une heure et demi durant, se teinte d’un certain fatalisme, comme énoncé non sans romantisme : « nous sommes nés cent ans trop tôt ». Ce fatalisme transparaît également lorsque le shérif fraîchement nommé affirme, après avoir collé une affiche interdisant aux Peaux-Rouges la consommation d’alcool, que « la civilisation est une grande chose ».
    Un immense film au titre explicitement placé du côté du Mal, la porte du Diable devant être franchie pour arriver à Douce Prairie – qui, elle, ne prête pas son nom au long métrage. Un plan incarne cela, situé à la soixante-quatorzième minute : l’avocate court au loin avec, au premier plan, en bas de l’image, le feu ardent allumé par le jet de bâtons de dynamite.
    White Fingers
    White Fingers

    6 abonnés 972 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 mars 2023
    « La porte du diable » (« Devil's Doorway ») est de nouveau un excellent film d’Anthony Mann qui m’apparait, film après fim, un des plus grands en matière de western. Pour moi qui suis un vieil hypersensible qui ne supporte pas l’injustice, « La porte du diable » m’a été difficile à regarder en fur-et-à-mesure que je réalisais le tragique de la situation. La grande force d’Anthony Mann est de jouer à la fois sur le fond et sur la forme. Le fond, la lente descente en enfer subie par un entrepreneur/éleveur Indien qui ne veut la paix pour son peuple et pour lui. Sur la forme, les personnages sont admirables, Robert Taylor qui s’entête dans sa logique destructrice, Louis Calhern qui campe un avocat pervers qui avec beaucoup de charme et de douceur va monter les Blancs contre les Indiens et Paula Raymond, avocate honnête dont la parole (de femme) ne sera pas écoutée. Sur la forme, ce noir et blanc souvent oppressant, le jeu sur la lumière, les cadrages… Le racisme n’est pas frontal mais suggéré (gros plans sur les visages), l’esprit d’entreprise ou les faits de guerres si valorisés aux Etats-Unis ne valant rien sur s’ils sont le fait d’un Indien (l’injustice, toujours l’injustice). Un magnifique film humaniste, mais très éprouvant émotionnellement parlant.
    Retrouvez mon amour du Far West dans le roman WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU - Eds VERONE - TOME 1.
    ronny1
    ronny1

    30 abonnés 913 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 juin 2022
    L’échec commercial de « Devil’s Doorway » (La porte du diable) réside dans trois raisons. Le première, et sans doute la plus importante) est que sur le thème de la réhabilitation des indiens le film est sorti un mois après « Broken Arrow » (la flèche brisée) de Delmer Daves qui bénéficia d’un casting d’une autre envergure (James Stewart, Jeff Chandler, Debra Paget) auquel ne peut se comparer celui de ce film, Robert Taylor étant accompagné par l’ectoplasmique Paula Raymond qui n’arrive pas à rendre crédible un rôle, il est vrai, mal écrit. Le deuxième point est un choix en noir et blanc (pourtant John Alton est au top et livre une pellicule remarquable) contre la couleur photographiée par le vétéran Ernest Palmer égal à lui même : un tâcheron. Le troisième point est le manichéisme absolu avec le quel est présenté la situation avec d’un côté les blancs qui veulent massacrer tous les indiens pour s’approprier leur terre, emmenés par un avocat aussi mielleux et perfide que raciste (Louis Calhern) et de l’autre Lance Poole (Taylor) qui « ne cherche qu’à se défendre » comme dirait Coluche. Evidemment en comparaison, le film de Daves semble être une dentelle de nuance (alors qu’il est assez épais par moment). Maintenant restent les qualités de Mann : une construction des scènes centrée sur l’essentiel, débouchant sur un violence réaliste et sans concession, un déroulé sans digression avec un montage qui aide au rythme du film. Mais pour une fois la direction d’acteur n’est pas exceptionnelle et seul Taylor est au niveau, les seconds rôles étant parfois empruntés. Maintenant sur le fond, le film montre comment les indiens du nord, majoritairement pacifiques, ont été spoliés par des lois créées sur mesure contre eux par d’avides capitalistes (pardon pour le pléonasme) et une populace chauffée à blanc, alors que contre les indiens du sud et du sud-ouest nettement plus belliqueux (les Apaches et surtout les Comanches), ces mêmes colons blancs s’écrasaient peureusement. Le summum ayant été le massacre systématique des Cheyennes (la plus grande tribu Sioux) au mépris de tout traité, sans doute pour venger Custer et Little Big Horn. A ce titre, sur le fond, la note du film est plus élevée.
    sebvde
    sebvde

    4 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 mai 2020
    Western dont la realisation est signé Anthony Mann.
    La mise en scène est précise et c'est surtout son thème qui est à mettre en avant car rarement un western de cette époque avait osé aborder l'injustice dans lequel les indiens étaient soumis.
    Porté par une interprétation convaincante de Robert Taylor dans un rôle d'indiens.
    Un des meuilleurs western d'Anthony Mann.
    Bruno François-Boucher
    Bruno François-Boucher

    95 abonnés 161 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 août 2019
    Supérieur à "La flèche brisée" de Delmer Daves, pourtant très beau, mais qui véhicule une certaine utopie. Je crois qu'on est beaucoup plus proche de la réalité dans le film de Mann. Le conflit intérieur du personnage de Robert Taylor accentue la véritable violence de l'affrontement entre les nations, comme si les indiens étaient déjà irrémédiablement amenés vers leur déclin. Il y a des similitudes avec "Le sorcier du Rio Grande" de Charles M. Warren, moins brillant dans la mise en scène.
    Housecoat
    Housecoat

    103 abonnés 392 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 août 2018
    Anthony Mann frappait fort pour son premier western avec La Porte du diable, car rares sont les western de cette époque qui défendaient ouvertement la cause des Amérindiens et le vol de leurs terres lors de la conquête de l'Ouest. Pourtant, sa cause a beau être claire, Mann et Guy Trosper nuancent autant que possible le propos. Si il y a des racistes du côté des éleveurs blancs, leur comparaison avec Jeff Brook, le personnage principal et chef de sa tribu, provoque le sentiment escompté. Lui qui croyait aux lois et à la fraternité entre le peau rouge et l'homme blanc, la vague de xénophobie impulsés par l'avocat démagogue et la nécessité de devoir partager ses terres pour nourrir les bêtes et subsister le rendront tout aussi intraitable. Ce refus de l'écoute et du bon sens des deux côtés au nom de préceptes culturels (dont on nous laisse juger de la pertinence) n’amènera tout logiquement qu'à des débordements qui écartent à chaque coup de feu la possibilité de faire la paix et des concessions. L'avocate moderne rappellera constamment cette absurdité de l'appropriation d'une terre mourante qui se débat, ne pouvant amener qu'à des horreurs inutiles. L'un dira que l'aboutissement du conflit est une honte, un autre dira qu'il vaut mieux ne pas perdre de vue le plus important.
    Wagnar
    Wagnar

    67 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 janvier 2017
    Pour se replacer dans le contexte, la Porte du Diable est sorti la même année que la Flèche Brisée. Bien que très différents l'un de l'autre en ce qui est le ton et l'intrigue, ces deux films partageaient le meme but qui était de réhabiliter les Indiens. Toutefois, Anthony Mann opte pour une approche beaucoup plus dramatique que Delmer Daves. Alors que la Flèche Brisée apportait un espoir de paix, la conclusion de la Porte du Diable se révèle d'un étonnant pessimisme : en plus de la mort du héros, le monde des Indiens y est montré comme irrémédiablement voué à la disparition, sans espoir de survie. Evitant tout manichéisme, le film délivre sa morale avec une grande force dramatique qui doit beaucoup à la performance de Robert Taylor, par ailleurs si remarquable que l'on en oublie son physique peu crédible pour un personnage indien. Un vibrant hommage au monde indien disparu qui nous laisse avec un serrement à la gorge. Une des grandes réussites d'Anthony Mann.
    Romain Z
    Romain Z

    10 abonnés 242 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 août 2016
    La Légende et l'Histoire du Cinéma ont retenu que " la Porte du Diable "(1950) fut l'un des premiers Westerns (avec "La Flèche brisée de Delmer Daves) à dénoncer le sort réservé aux Indiens. A ce titre le film n'est pas sans faire écho à la situation des soldats noirs après la seconde guerre mondiale.On pourrait toutefois regretter que le rôle de l'Indien ait été donné à un Blanc (R.Taylor). Premier "véritable " western pour A. Mann qui fait néanmoins appel à J. Alton son chef Opérateur de sa période Film Noir. D'ailleurs Le film avec ses plans magnifiques en clair-obscur ou rapprochés bord-cadre avec une perspective en ligne de fuite fait clairement référence à cet esthétique et matérialise toute la tension contenu dans le récit. Film crépusculaire, funèbre mais généreux qui s'autorise même à confier le rôle de l' Avocat de l'Indien à un personnage féminin, contribuant à évoquer dans le même temps les problématiques racistes et sexistes . une première tentative d'Intersectionnalité cinématographique ?
    gnomos
    gnomos

    48 abonnés 660 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 novembre 2015
    Toujours pas fan de western, le sujet atypique de celui-ci m'a attirée. En fait, je voyais beaucoup de westerns quand j'étais gamine, et même si j'avais une préférence pour les Indiens, je me souviens qu' ils ne servaient toujours que d'utilités pour mettre les cow-boys en valeur. Ici, le héros est un Indien, qui, malgré un passé d'intégration réussi n'obtient aucune reconnaissance. C'est donc un film qui se place du côté des Indiens et dénonce l'intolérance, sans manichéisme, toutefois, ce qui est appréciable. J'ai bien aimé la scène du baiser, aussi, elle illustre bien le film.
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    524 abonnés 2 526 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 juin 2013
    Cela aurait pu être un chef d’oeuvre tant il y a de magnifiques moments et tant la sincérité du réalisateur est grande. Il est une fois de plus regrettable que par instants le coté démonstratif domine et abîme l’art cinématographique. Mann a sans doute voulu trop bien faire comme c’est souvent le cas lorsque le sujet est trop fort et le passé trop lourd. C’était son premier western, il saura par la suite moins s’investir dans la morale, montrer davantage et donner plus priorité aux espaces et aux déplacements. Il nous gratifiera alors de purs bijou du septième art. Le fait que le sujet de ce film soit désespéré rend un vibrant hommage à la vérité, la nature conquérante de l’homme n’est pas à son honneur, surtout lorsque elle va aussi loin; nous le savons tous mais le voir rendu de cette façon est sacrement culpabilisant. La scène du baiser avorté est une des plus belle idée dans l’oeuvre de Mann et le couple Lance Pool / Anne Masters est d’une tenue exemplaire. A ma connaissance aucun western n’a rendu avec autant de force le problème indien .
    yayo
    yayo

    55 abonnés 1 221 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 février 2013
    Un western à voir obligatoirement si on est fan du genre. Déjà pour les paysages du Wyoming absolument splendides! Ensuite l'histoire pas si commune à l'époque (et toujours pas vraiment actuellement) de mettre en scène le point de vue des indiens face à l'inévitable vague de colonisation. Ici le traitement est sans trop de concession. Si l'apport du personnage féminin n'est pas toujours pertinent il apporte une dimension tragique dans le dernier dialogue. Et puis on se sent vraiment révolté pour ce héros de guerre qui est en quelque sorte trahi par le gouvernement qu'il a défendu.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 6 octobre 2012
    un western atypique, sans concession, un des 1ers film pro indien(sortie la même année que la flèche brisée mais éclipsé par ce dernier alors qu'il est bien meilleur), avec une photo magnifique de john ALTON qui confère au film une ambiance de film noir. un des meilleur rôle de Robert TAYLOR, un perle méconnue qui mériterait d'être réhabilitée, et qui bénéficie d'une édition dvd extraordinaire. N'hésitez pas.
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