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    Les Mistons
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    chrischambers86
    chrischambers86

    11 958 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 octobre 2017
    D'après une nouvelle de Maurice Pons, les premiers personnages de François Truffaut, les gamins des "Mistons", rèagissent agressivement contre une sexualitè qu'ils ne comprennent pas encore, et ils mènent la vie dure à un couple plus âgè qu'eux de quelques annèes (les dèbutants Gèrard Blain et Bernadette Lafont, jupe au vent, qui traverse le temps d'une scène, Nîmes à vélo). Attitude dèfensive et attirance trouble, tels sont les deux aspects du comportement des adolescents vis-à-vis du sexe! Un court-mètrage sur l'enfance, à la fois innocent et cruel, que Truffaut montre avec une belle tendresse...
    Estonius
    Estonius

    2 473 abonnés 5 225 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 janvier 2013
    C'est mignon, c'est bien fait, c'est pas con, les images sont très belles et la poitrine de Bernadette Lafont impressionnante.
    Plume231
    Plume231

    3 472 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 septembre 2010
    Un joli court-métrage nostalgique où François Truffaut rendait hommage à un de ses maîtres, Jean Renoir, en y évoquant un de ses thèmes de prédilection à savoir l'omniprésence de la Nature. Il permettait aussi au jeune cinéaste de faire un pied de nez à la "Qualité française" et en particulier à son plus détestable représentant, Jean Delannoy. Le jeu de comédiens est authentique et la caméra est libre comme l'air. En bref dans le paysage terne et académique du cinéma français de l'époque, ce petit film avait dû apparaître comme une véritable bouffée d'air frais.
    NeoLain
    NeoLain

    4 231 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 mai 2014
    Des enfants embêtant un couple d'amoureux. Ils suivent à la trace les faits et gestes du couple. Court-métrage de Truffaut, on peut compter sur lui pour ce qui est de la poésie et les attitudes de l'enfance. Bon à savoir également, c'est ici que se trouve la première apparition à l'écran de Bernadette Lafont, qui déjà, reste dans les mémoires avec le passage sur son vélo et sa jupette au vent, ou bien encore la partie de tennis. Les Mistons se passe dans la ville de Nîmes dont vous y reconnaitrez ou bien alors découvrirez l'arène.
    titusdu59
    titusdu59

    59 abonnés 696 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 mars 2012
    Quel beau court-métrage de Truffaut! "Les mistons" est en effet un petit film plein de tendresse et de poésie, emprunt d'une douce mélancolie qui parle de très belle manière du monde de l'enfance confronté à l'amour, qu'il ne peut comprendre. Et à seulement 25 ans, Truffaut filme déjà admirablement: les images, baignées de lumière, sont magnifiques, et le tout est accompagné d'un souffle de liberté touchant. Et tout y est bien vu, tout y est d'une grâce légère et d'une grande intelligence. Un superbe commencement pour l'auteur des "400 coups".
    Akamaru
    Akamaru

    2 799 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 avril 2013
    Alors qu'il travaillait encore comme critique aux Cahiers du Cinéma, François Truffaut se distinguait déjà avec ce court-métrage assuré de 17 minutes,prélude à ses futurs obsessions. "Les Mistons"(1957)suit une bande de gamins qui s'amusent à déranger un couple d'amoureux à la quiétude trop dérangeante pour eux. Truffaut montre qu'à l'adolescence,le sexe agit à la fois comme attraction et répulsion. Le Nîmes estival des années 50. Bernadette Lafont qui dévale des lacets à vélo,ou qui joue au tennis en jupe courte. Une voix-off très littéraire. Tout est dit.
    Caine78
    Caine78

    6 009 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 février 2012
    Tourné deux ans avant « Les 400 coups », « Les Mistons » montrait déjà le talent d'un cinéaste hors-norme, capable de se réapproprier les codes cinématographiques sans la moindre difficulté. La narration en voix-off, la vision de l'enfance et du couple, la mort... Truffaut développe déjà ses thèmes de prédilection avec une maîtrise bluffante, et en dit beaucoup plus en 18 minutes que certains metteurs en scène en 120. Un court-métrage remarquable, qui annonce les plus grands classiques d'un réalisateur comme le cinéma français en connaîtra peu.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 173 abonnés 7 231 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 mars 2009
    Alors qu’il travaille toujours pour Les Cahiers du Cinéma, il réalise un premier court-métrage (qu’il ne revendique pas) intitulé Une Visite (1954), c’est en 1957 qu’il réalise son second : Les Mistons, dans lequel il fait tourner une jeune comédienne âgée de 17ans : Bernadette Lafont aux côtés de Gérard Blain (son mari !).
    Le film nous raconte l’histoire d’une bande de gamins espiègles qui persécutent un couple d’amoureux car ils sont fous amoureux de la jeune fille et jaloux du garçon qui l’accompagne.
    Humour bon enfant, très beaux plans en noir & blanc, des débuts parfaits pour ce futur grand cinéaste !
    GabbaGabbaHey
    GabbaGabbaHey

    185 abonnés 1 583 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 janvier 2011
    Un court-metrage fort sympathique de la part de Francois Truffaut... Un avant-gout de "Les 400 coups", juste quelques années avant la sortie de ce dernier. Une bande d'enfants, trop jeunes pour connaitre et comprendre l'amour, qui persécutent un couple d'amoureux... Un film tres intéressant, plein de vérité et de tendresse.
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    208 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 janvier 2008
    Eclaireur de la charge estampillée «Nouvelle Vague» et premier court-métrage de François Truffaut, «Les Mistons» (France, 1959) se drape des toges du cinématographe et de la littérature. Du cinéma, il y a cet espiègle jeu sur les convenances. Les dialogues, utilisés comme un son ambiant, traduisent l’allégresse des gosses. Il y a aussi cette façon dont Truffaut coordonne le langage du film, sa syntaxe, au fantasme des jeux enfantins. Ainsi en est-il lorsqu’ils jouent au pistolet et que le corps tombé de l’enfant se relève précipitamment dans un effet de montage. Les fantasmes de l’imaginaire puérile permettent à Truffaut de modeler la matière cinématographique et ainsi, de mieux l’expérimenter. Il y également de la littérature dans «Les Mistons». Elle est incarnée par cette voix off débitrice sur le ton solennel de l’écriture. Aux côtés de la cacophonie des mistons, qui traduisent le désordre de leurs sentiments, la voix off apaise cette jeunesse. En effet, le narrateur du film n’est autre que l’un de ses mistons qui, ne pouvant aimer Bernadette, n’a pu que la haïr. L’intervention de ce narrateur contraint le film à la littérature, évitant l’envolée de l’œuvre truffaldienne dans les cieux unique du cinéma. Pourtant ce n’est pas faute à Truffaut de ne livrer «Les Mistons» qu’au cinéma. «L’arroseur arrosé» de Louis Lumière cité, une musique leste adjoignant aux images cette chaleur, cette vie si propre au cinéma de Truffaut sont appelés pour faire du court-métrage une vraie œuvre cinématographique. In fine, ce n’est pas cette distinction cinéma-littérature qui forge la réussite du film, c’est davantage cette présence quasi-palpable de la vie, toute inspirée du néo-réalisme de Rossellini. La politique de la Nouvelle Vague de redonner âme au «réel» sur l’écran est effectuée là à plein feu. La chaleur du cinéma de Truffaut, retranscrit dès l’introduction par la météo clémente de Nîmes, donne vie au film, toute la vie : de son effusion à sa mort.
    Vladimir.Potsch
    Vladimir.Potsch

    19 abonnés 389 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Deux moyens métrages de François Truffaut, Les mistons (1958) et Antoine et Colette donnent un aperçu significatif de son œuvre future. Le premier traite des rapports difficiles de l’enfance avec le monde des adultes, qui sera également le thème de son premier long métrage l’année suivante, et le second préfigure les rapports maladroits d’Antoine Doinel avec les femmes.
    Autrui
    Autrui

    13 abonnés 206 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 mars 2010
    A l'image des jeunes gens, personnages principaux de ce moyen-métrage, LES MISTONS est tantôt maladroit, tantôt émouvant. Le film est toujours sur la corde raide, comme un cycliste qui risquerait à tout instant de chuter...
    Bernadette Lafont est éclatante, et la cruauté de la fin est filmée avec une grande justesse.
    LES MISTONS présageaient déjà le meilleur...
    Cthulhu Mantis
    Cthulhu Mantis

    17 abonnés 82 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 mai 2015
    François Truffaut fait son entrée par la petite porte du cinéma avec ce court-métrage. Dés le visionnage, on aperçoit les thèmes qu'il abordera tout au long de son incroyable carrière, " l'enfance, les femmes, l’amour et la sensualité ".

    Il y'a aussi se plaisir de la narration dont on peut sentir que cela lui tiens à cœur. Avec une Bernadette Laffont ravissante. Ce petit film à un coté d'insouciance et de nostalgie avec à la fois de la tendresse et une poésie qui s'y dégage.

    Un avant-goût avec ce qui nous attend avant les Quatre Cents Coups.

    Très bonne introduction de Truffaut à sa futur carrière et quelques 21 longs-métrages plus tard.
    pierrre s.
    pierrre s.

    349 abonnés 3 235 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 février 2019
    Pour son deuxième court-métrage, François Truffaut faisait déjà appelle aux services de Bernadette Lafond. Concernant le film, Les Mistons, est une oeuvre nostalgique cherchant à montrer le rapport au sexe et à l'amour durant l'adolescence.
    Ti Nou
    Ti Nou

    405 abonnés 3 355 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 août 2011
    On trouve dans ce court-métrage déjà bon nombre d'éléments du cinéma de François Truffaut : une voix off omniprésente (qui avec son langage très littéraire s'oppose pertinemment au langage brut des enfants) et la thématique de l'enfance.
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