Grandeur et décadence d'un petit commerce de cinéma : Critique presse
Grandeur et décadence d'un petit commerce de cinéma
Note moyenne
4,0
8 titres de presse
Critikat.com
Culturopoing.com
Les Inrockuptibles
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Studio Ciné Live
Positif
Le Journal du Dimanche
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Critikat.com
par Florian Guignandon
La mélancolie de cette posture solitaire, de celui qui se retire du monde, et au jour préfère dorénavant la nuit, l’obscurité dans laquelle le cinéaste peut projeter les images-fantômes de ce qui n’est plus.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Séverine Danflou
"Grandeur et décadence d'un petit commerce de cinéma" est un film jonché de cadavres qui raconte l'histoire de la mort du cinéma à la façon d'un polar, le cinéma tué par l'argent louche et la Télévision. Et puis, c'est aussi et peut-être avant tout, une histoire d'amour.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Sortie pour la première fois en salle d’un film réalisé pour TF1 en 1986. Une adaptation d’un roman de James Hadley Chase mi-ironique, mi-enquète sur l’avenir. Du cinéma. D’une beauté crépusculaire.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Monde
par Isabelle Regnier
Distribué pour la première fois en salle, ce film fut réalisé pour TF1 en 1986, avec Jean-Pierre Mocky et Jean-Pierre Léaud dans les rôles principaux. Il met à nu la mécanique du cinéma pour en chanter une forme d’oraison funèbre, tout en adoptant une forme ludique, inventive, d’une vitalité ébouriffante.
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Un inédit de Godard radical et austère, et pourtant étonnament émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Parmi les nombreuses fulgurances, on retiendra ce cortège interminable de comédiens récitant des bribes de dialogues devant la caméra. Une litanie qui exprime merveilleusement les modulations intérieures et morcelées d'un film.
Positif
par Grégory Valens
"Grandeur et décadence..." n'est pas un film aimable, mais les godardiens y trouvent leur compte.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
(...) cet étrange autoportrait paraît aussi exotique que légitime à découvrir, avec ses chômeurs passant des castings lyriques.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Critikat.com
La mélancolie de cette posture solitaire, de celui qui se retire du monde, et au jour préfère dorénavant la nuit, l’obscurité dans laquelle le cinéaste peut projeter les images-fantômes de ce qui n’est plus.
Culturopoing.com
"Grandeur et décadence d'un petit commerce de cinéma" est un film jonché de cadavres qui raconte l'histoire de la mort du cinéma à la façon d'un polar, le cinéma tué par l'argent louche et la Télévision. Et puis, c'est aussi et peut-être avant tout, une histoire d'amour.
Les Inrockuptibles
Sortie pour la première fois en salle d’un film réalisé pour TF1 en 1986. Une adaptation d’un roman de James Hadley Chase mi-ironique, mi-enquète sur l’avenir. Du cinéma. D’une beauté crépusculaire.
Le Monde
Distribué pour la première fois en salle, ce film fut réalisé pour TF1 en 1986, avec Jean-Pierre Mocky et Jean-Pierre Léaud dans les rôles principaux. Il met à nu la mécanique du cinéma pour en chanter une forme d’oraison funèbre, tout en adoptant une forme ludique, inventive, d’une vitalité ébouriffante.
Les Fiches du Cinéma
Un inédit de Godard radical et austère, et pourtant étonnament émouvant.
Studio Ciné Live
Parmi les nombreuses fulgurances, on retiendra ce cortège interminable de comédiens récitant des bribes de dialogues devant la caméra. Une litanie qui exprime merveilleusement les modulations intérieures et morcelées d'un film.
Positif
"Grandeur et décadence..." n'est pas un film aimable, mais les godardiens y trouvent leur compte.
Le Journal du Dimanche
(...) cet étrange autoportrait paraît aussi exotique que légitime à découvrir, avec ses chômeurs passant des castings lyriques.