Avis : Last Action Hero - Page 9

John McTiernan réalise le rêve de n'importe quel gosse : pouvoir vivre les aventures de son héros préferé à ses cotés.

C'est mon deuxième John McTiernan préféré. Après Die hard, en 1993 le réalisateur américain réalise un excellent film d'action avec la star de Total recall à savoir Arnold Beceinbawer euh Schwarzenegger ! L'histoire est prenante, on ne s'ennuit pas une minute avec ce jeune Danny Madigan passionné de cinéma en compagnie, grâce à un ticket de cinéma magique qui l'a fait entrer dans un film, de Jack Slater, flic survolté et charismatique ! On note la présence de Anthony Quinn l'un des personnages de Lawrence d'Arabie de David Lean ou le basque de Passeur d'hommes de Lee Thompson. Bien que possédant un humour tantôt hilarant tantôt lourd, le film n'en demuere pas moins unique car son scénario est original et jamais ennuyeux. Un film culte qui a bercé mon enfance !

avoir l'occas de se battre avec son héro préféré, c'est franchement délirant, mais même si le concept est innovateur, le film reste malheureusement trop moyen, certainement parce que ce film s'adresse aux plus jeunes.

un film d'action atypique car il s'agit plus d'une parodie que d' un véritable blockbuster. un scénario excellent qui dénnonce les grosses ficelles des films d'action. une réalisation impecable et trés rytmmé on ne peut que passer un bon moment en regardant ce film avec deux pointures de ce genres de film (devant (ARNOLD SCHWARZENEGGER) comme dérriére la caméra (JOHN McTIERNAN)) c'est surment la raison de l'échec du film lors de sa sortie au cinéma

Un grand film, une critique intelligente sur la frénésie Blockbusteresque d'hollywood, qui date déjà, ses movies star vivant dans un univers déconnecté et clinquant par opposition à la réalité pluvieuse et sordide.Du grand Schwarzy capable de nous émouvoir en une scène, en une punchline (les meilleurs du genre film d'action !) sans pour autant jouer les musclors décérébrés comme il en a malheureusement la réputation.J'oserai même dire que c'est son rôle le plus marquant dans celui de ce flic désabusé qui enchaine les cascades sans avoir de sens à sa vie.

Trés bon film d'action ou ARNOLD SCHARWZENEGGER se parodie avec un humour génial.L'histoire du film est d'une grande originalité ,c'est pour moi un des film les plus surprenant (dans son scénario) que j'ai vu.A voir car c'est une merveille.

Un film totalement incompris à l'époque et encore aujourd'hui par certains mous du bulbe. Non, Schwarzy ne se moque pas de lui même façon "un flic à la maternelle", mais rend un vrai hommage à un certain cinéma de genre qui n'existe plus. Celui du héros bourrin qui balance des pruneaux tout le long du film en même temps que des punchs-lines. Jubilatoire.

Avec nos yeux d'aujourd'hui, les films des années 80 ont un charme fou !
Last Action Hero est un film d'action de pur divertissement. L'histoire est sympathique, parfois drôle, tous les ingrédients sont réunis pour passer un bon moment.

John McTiernan en plus d'avoir réalisé certains des meilleurs films d'action des 90's a de l'humour et en 1993 parodiait son propre cinéma en quelque sorte. Last Action Hero, sur un principe génial du film dans le film, explose les codes et exagère jusqu'à plus soif les effets de style du genre. On se régale du début jusqu'à la fin au gré des répliques cultes, des dialogues hilarants, des cascades improbables et du succulent second degré de Schwarzy. Je ne sais pas s'il y a un film qui hume plus les 90's que celui-ci, mais en tout cas cette petite pépite est une totale réussite qui trouve même le moyen de nous flanquer quelques belles émotions. Un régal tout simplement.

Un ticket magique donné à un petit garçon, ouvrant sur son héros d'action préféré. Echec cuisant au box office lors de sa sortie en 1993, « Last Action Hero » finit par accéder au statut de film culte, avec mérite. John McTiernan, auteur lui-même de films d’action cultes tels que « Piège de cristal » ou « Predator » pose un regard sur ce genre testostéroné tout en lui rendant hommage. Arnold Schwarzenegger se prête également au jeu et développe sa dérision sur le mythe du sauveur aux gros bras. Le plus grand ravissement que procure le film reste lié à son second degré ainsi qu’aux multiples clins d’œil cinématographiques. Difficile de bouder son plaisir.

Un film culte des années 90 qui parodie avec humour les films d'action, doté d'un scénario ingénieux, rythmé et fantaisiste et porté par un sublime Schwarzie plein d'auto-dérision.

Film parodique qui regroupe les plus gros clichés des films d'action américains, avec une mise en scène musclée et explosive, cartoonesque et sans temps mort. Avec un bon casting, une bonne BO et surtout beaucoup d'auto-dérision, ce film teinté d'une certaine nostalgie, oscille constamment entre réalité et fantastique. La mise en abîme du Cinéma dans le Cinéma est réussie.

Échec retentissant aux États-Unis en partie due à une sortie programmée une semaine après celle de Jurassic Park (en France, ce dernier étant sortie 2 mois après, le résultat fut très différent), Last Action Hero est le premier film à avoir montré qu’Arnold Schwarzenegger n’était pas une star indétrônable. Cela est d’autant plus regrettable que le long-métrage de John McTiernan est une œuvre très agréable possédant un scénario très malin mélangeant action, fantastique et parodie. En effet, le scénario de David Arnott et Shane Black met en opposition la réalité et l’univers fictif des films d’action en s’amusant à multiplier les références spoiler: (Danny cite notamment Piège de cristal d’un certain… John McTiernan)
et les caméos sans que cela ne devienne lourd. On retrouve donc d’un côté un New York à la photographie assez sombre et dangereux face à un Los Angeles flamboyant où tout est exagéré. Si John McTiernan possède beaucoup de ressentiments sur cette œuvre allant jusqu’à dire que c’est la pire expérience de sa carrière (ce qui n’est pas peu dire quand on sait les déboires qu’il rencontra sur des films comme Le 13e Guerrier ou Rollerball) et qu’il estime que le film n’est pas monté (ce qui peut se comprendre quand on voit certains raccords hasardeux), Last Action Hero reste un excellent divertissement où l’humour est présent de bout en bout, où Arnold Schwarzenegger fait preuve d’une autodérision totale spoiler: (il faut le voir jouer son propre rôle en se montrant comme un modèle du star-system cherchant avant tout à promouvoir sa chaîne de restaurant au point d’exaspérer sa femme)
et où le mécanisme du cinéma d’action est démonté de bout en bout. Ainsi, Last Action Hero est bel et bien une œuvre qui ne méritait aucunement l’échec qu’elle connut à sa sortie. Heureusement, le temps a permis de le réhabiliter pour lui offrir le statut de moment fort des carrières de son réalisateur et de son acteur principal.

spoiler: C'est l'histoire d'un blockbuster malin, échec retentissant au box office.


Je découvre (bien trop tard) cette petite perle parodique au concept génial : propulser un enfant fan de cinéma directement dans un film d'action afin qu'il se moque de toutes ses "facilités". A travers lui ce n'est rien de moins que le réalisateur de Die Hard, Predator ou The hunt for Red October qui s'exprime. John Mc Tiernan lui-même tourne en dérision les films d'actions, avec un talent certain.

L'oeuvre est également un hommage constant au divertissement du 7e Art. Mc Tiernan n'hésite pas à s'auto-référencer. On croise ainsi Catherine Tramell de Basic Instinct), le T-1000 de Terminator 2 mais aussi ET, l'arme fatale et un chat détective en cartoon. Schwarzenegger est jubilatoire dans son rôle plein de second degré et Charles Dance apporte une subversion bienvenue en célérbrant la joie de tuer sans conséquence dans le monde réel "In this world the bad guys "can" (do) win !".

Le seul regret est la fréquence et longueur des scènes d'actions. J'exige un remake axé purement comédie avec des scènes d'actions limitées à leur fonction de support humoristique !

Un film comme on n'en voit bien peu aujourd'hui, destiné aux jeunes ados, à la fois intelligent et généreux en action. Avec John McTiernan aux manettes, la mise en scène est impeccable. Arnold Schwarzenegger, en grande forme, assure le spectacle devant la caméra.