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    Monte là-dessus
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    36 critiques spectateurs

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    LNKRDRN
    LNKRDRN

    1 abonné 322 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 septembre 2023
    Un film vraiment drôle!

    Le seul problème c'est que le synopsis raconte à peu près toute l'histoire du film...
    Disons que 1/4 du film contient la célèbre scène où Harold Lloyd se met à monter et 3/4 contient des scènes dans le simple but de faire comprendre le spectateur comment il en est arrivé là.

    Ce fameux 3/4 n'est pas très très intéressant mais il est rattrapé par les gags très efficace du personnage d'Harold. Ce qui nous convaint de poursuivre la lecture.

    Mais bon, malgré ça, l'histoire reste cohérente bien que fortement burlesque. La longueur du film est parfaite car si ça avait été plus long, le film aurait sûrement été rasoir.

    À voir!
    Alolfer
    Alolfer

    86 abonnés 866 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 avril 2023
    Wow ! "Monte là-dessus" est un des films qui fait partie des films à voir une fois dans sa vie ! Que cela soit pour son histoire très surréaliste (a la lignée de l epoque comme les chaplin ou keaton), pour sa comédie qui est très reussi ! (100 ans après la sortie du film, (bcp de blagues fonctionnent encore !), et sa romance assez forcé, nous sommes clairement sur un film typique des années 20. Mais le film se détache sur une scène en particulier : la scène où le personnage principal, grimpe un immeuble de plusieurs étages. La scène est absolument incroyable ! Même en 2023, on est bluffé par le niveau de la réalisation de l'époque. Sur le plan technique, on a rien à dire : c est juste parfait ! On est à se demander : comment ils ont fait ? et c est ça la magie de ce film ! Une véritable œuvre qui a marqué son époque, et qui marque aujourd'hui dans les films incontournables du 7e art. C est un film d'Histoire avec un grand H
    Adrien B.
    Adrien B.

    1 abonné 4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 avril 2023
    Merveilleux de rythme et de trouvailles, faisant se côtoyer le rire burlesque et l’angoisse, ce film reste, un siècle après sa sortie, d’une extraordinaire puissance spectaculaire.
    Redzing
    Redzing

    908 abonnés 4 287 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 août 2022
    Si le nom de Harold Lloyd est beaucoup moins célébré aujourd’hui que celui de Buster Keaton ou Charlie Chaplin, son film « Safety Last! » est pourtant resté dans la mémoire collective, avec cette fameuse image de l’acteur pendouillant dans le vide à une horloge. Sauf que le film est rudement bien construit, au-delà de ce plan iconique. Lloyd incarne un jeune homme qui cache à sa fiancée ses échecs professionnels à la ville, ce qui sera la cause de divers rebondissements et quiproquo. Jusqu’à ce dernier acte où il escalade la façade d’un immeuble. « Safety Last! » est une comédie burlesque particulièrement inspirée, regorgeant de bonnes idées. Outre les pitreries millimétrées des acteurs, les cascades, et la gestuelle de Lloyd, la mise en scène propose de vraies idées. Avec notamment l’un des premiers plans, qui nous fait croire que notre héros attend la potence. Un gag manipulateur très réussi, doublé d’un portrait caustique de l’arrivisme citadin. Et évidemment, cette dernière partie bluffante, où l’acteur parait réellement escalader un building. Une séquence toujours efficace, même un siècle plus tard !
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    65 abonnés 1 648 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 août 2021
    Agréablement surpris pour la modernité de l'humour du film ! C'est assez drôle et les acrobaties de Harold Llyod sont impressionnantes d'énergie et de technicité. Une comédie sur l'ascension sociale qui trouve son apogée et son paroxysme dans la dernière et très célèbre séquence de l'escalade du bâtiment réutilisé maintes fois dans le cinéma ensuite.
    Jack G
    Jack G

    2 abonnés 175 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 avril 2020
    Moins connu que ses acolytes Chaplin et Keaton, Harold Lloyd connait le succès dans le cinéma burlesque grâce à son interprétation d’un jeune homme maladroit aux lunettes rondes, mais aussi grâce à son talent dans les cascades, une aptitude qui s’illustre dans la scène la plus célèbre de sa carrière, celle de l’horloge cassée au sommet d’un gratte-ciel de Los Angeles.
    Un an avant de fonder son propre studio de production, Harold Lloyd obtient le premier rôle d’un nouveau long-métrage burlesque en 1924 : Monte là-dessus ! L’idée originale du film provient d’une anecdote vécue par Lloyd dans une rue de Los Angeles, lorsqu’il assista à l’escalade vertigineuse d’une façade d’immeuble par un acrobate. L’acteur proposa donc cette idée aux scénaristes, qui élaborèrent ensuite une histoire autour d’elle.
    A Los Angeles, un garçon prénommé Harold, aux faibles ressources et à la vie modeste, rêve de faire fortune pour épouser celle qu’il aime (Mildred Davis). Il décroche alors un emploi dans un grand magasin. Alors qu’il manque d’être renvoyé, il propose à son patron de monter un gros coup publicitaire : l’escalade, par l’un de ses amis, de la façade du gratte-ciel du magasin. Mais le Jour J, traqué par un policier, l’ami en question ne peut réaliser cet exploit et Harold se retrouve contraint de prendre sa place.
    Sur un rythme soutenu et haletant, Harold Lloyd s’amuse dans une série de gags ponctués de cascades, qu’il réalise majoritairement et dans lesquelles il fait preuve de tout son talent. Il faut dire que l’acteur a toujours tenu à réaliser lui-même ses propres cascades, ignorant souvent les risques qu’il encourt, notamment lors du tournage d’un film en 1919, où il perdit deux doigts. Cet accident l’obligea à porter un gant pour ses films postérieurs, une précision qui rend la cascade sur la façade de l’immeuble à la fin de Monte là-dessus ! encore plus remarquable. Cette scène emblématique pourrait résumer à elle-seule le style de Lloyd, facétieux et vertigineux.
    Dès la première scène du film, Harold Lloyd exprime cette malice grâce un arrière-plan trompeur. En voyant ce qu’il semble être une corde de pendaison et des adieux larmoyants entre un homme et deux femmes, on imagine une entrée dramatique sur fond de peine de mort. Mais surprise ! Il s’agit simplement d’une séparation sur le quai d’une gare et le nœud coulant est un dispositif pour les postiers. Du génie.
    Même si les difficultés financières du garçon sont le point de départ de toute l’intrigue, au contraire de Chaplin, on ne trouve pas de critique sociale sur la misère, Lloyd se consacrant exclusivement au genre burlesque et comique. Et c’est dommage, même si le monopole de la comédie est globalement bien maitrisé.
    Monte là-dessus ! fait donc partie de ces films emblématiques de l’âge d’or du burlesque, dans les années 1920, pour sa frénésie et ses cascades vertigineuses. Le succès de ce film a sans doute été déterminé dans le choix de Lloyd de devenir indépendant pour la production. Toutefois, à titre d’analyse personnelle, le rythme devient assez lent au milieu du film et il faut attendre l’esquisse de la séquence d’escalade pour voir sa reprise. De plus, la succession ininterrompue des gags et cascades pendant plus d’une heure peut être assez lourde et lassante, et peut faire regretter le caractère moral et social d’autres œuvres du genre, comme celles de Chaplin. Enfin, précisons qu’au côté d’Harold Lloyd, sa compagne, Mildred Davis, prête ses traits à la dulcinée du garçon maladroit dans le dernier rôle de sa carrière avant d’être remplacée par Jobyna Ralston.
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    46 abonnés 732 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 octobre 2019
    La scène culte de l'horloge est dans ce film, l'escalade de la facade du building donne vraiment le vertige, mais le rythme n'atteint pas celui des films de Keaton et l'émotion celle de Chaplin. DVD octobre 2019
    Hotinhere
    Hotinhere

    410 abonnés 4 728 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 décembre 2018
    Un classique du burlesque muet américain. Avec la célèbre scène d’Harold Lloyd, suspendu dans le vide à une aiguille d’horloge.
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 905 abonnés 12 156 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 septembre 2018
    L'un des plus grands classiques du burlesque! Le plus cèlèbre numèro d'èquilibrisme à suspense comique est sans aucun doute celui de Harold Lloyd, en tête avec le vide dans une très longue sèquence d'anthologie de "Safety Last" (mot à mot, « la sècuritè ensuite »), rèalisè en 1923 par Sam Taylor et Fred Newmeyer! Cela ne se raconte pas, c'est indescriptible! Le hèros parviendra après de multiples souffrances (envers un public qui retient son souffle) au faîte d'un bâtiment : mais il respirera par inadvertance le contenu d'un flacon de chloroforme, et il retombera de plus belle [...] Le succès du film fut tel que Harold Lloyd en fit un « remake » sonore beaucoup moins heureux, malgrè les nouveaux èlèments dramatiques - soupirs, grincements, cris - acquis par le « sonore » . Un must du muet où Lloyd dèfie constamment les lois de l'apesanteur avec une horloge qui se dèglingue de partout! il faut croire que cet attachant acteur des annèes 20, avec ses drôles de lunettes et son chapeau de canotier, ètait un spècialiste des gratte-ciel qui lui procuraient le vertige...
    VOSTTL
    VOSTTL

    66 abonnés 1 764 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 avril 2018
    Enfin vu le film dans sa totalité ! Incroyable, je n’avais jamais eu l’occasion de le voir ; souvent des rendez-vous manqués. En soi, j’ai enfin découvert Harold Lloyd. Ma dévéthèque devrait s’en enrichir et l’acteur devrait rejoindre Charles Chaplin, Laurel et Hardy, Buster Keaton et autres courts métrages du muet. Evidemment, j’attendais la célèbre scène de l’horloge et incroyable j’ai tremblé durant toute la montée, je me suis surpris à craindre la chute et j’en ai souri aussitôt. Au-delà de cette scène iconique, il y a de bonnes trouvailles de mise en scène. Par exemple la scène d’introduction qui décrit des adieux déchirants : Harold derrière des barreaux, de l’autre côté, sa fiancée Mildred Davis et sa belle-mère, et en arrière plan ce qui s’apparente à une potence. Harold semble promis à la pendaison. Un homme le rejoint, assez austère puis… puis la fiancée et la belle-mère passent de l’autre côté des barreaux, le plan qui suit s’élargit. Nous somme dans le hall d’une gare ! La profondeur de champ nous révèle que la fiancée et la belle-mère étaient du côté accompagnateurs, elles sont autorisées à passer du côté quai. C’est bien pensé, d’autres scènes de cet acabit suivront notamment dans le grand Magasin. La comédie selon Harold Lloyd est comparable à celle de ses confrères, des gags d’une précision chirurgicale et pour cette époque d’une précision indispensable. C’est époustouflant de maîtrise et d’illusion. Un bijou.
    this is my movies
    this is my movies

    616 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 avril 2018
    Si le film est surtout connu à travers son image emblématique du héros suspendu dans le vide et désespérément accroché à une horloge (reprise aussi bien par Zemeckis dans «Retour vers le futur» que par Yann Moix dans le navrant «Cinéman»), il vaut aussi pour ses autres immenses qualités : un rythme d'enfer, des acrobaties dantesques, un timing comique imparable, un scénario malin et une mise en scène virtuose. Ce qui frappe maintenant, surtout pour les spectateurs modernes, c'est de voir l'application mise par les scénaristes pour travailler chaque point du scénario. L'enchaînement des événements est parfaitement agencé, rien n'est artificiel, et chaque élément nouveau va dans le sens de la surenchère, contrairement à maintenant où on accumule des éléments disparates pour aboutir à une scène spectaculaire, presque déconnecté du reste. De même, on ne soulignera jamais assez l'inventivité des scénaristes, qui multiplient les gags imparables, obéissant autant aux lois du slapstick, de la screwball ou bien de l'absurde. Physiquement, Lloyd tient la comparaison avec ses deux grands rivaux de l'époque, Keaton et Chaplin, enchaînant les prouesses physiques avec décontraction. On retrouve cette même patte au niveau du romantisme surjoué, une certaine poésie en moins, mais il y a toujours cette petite critique acide de la société américaine en creux. Que dire aussi quant aux trouvailles pour imaginer un gag à chaque étage (avec la phrase en forme de running gag «Encore un étage, je dois semer le flic») tandis que le héros escalade l'immeuble. L'horloge bien sûr, mais aussi un filet, un chien, une corde, des ouvriers, un photographe et quelques autres. Du rire qui s'enchaîne sans temps mort. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    158 abonnés 2 417 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 avril 2018
    Monte là-dessus est une comédie très amusante.
    Le film a le mérite d'être très court (comme beaucoup de film de cette époque) et donc ne fait pas de longueurs inutiles.
    Harold Lloyd est très sympathique dans ce rôle. La scène de la pendule (qui constitue du coup une partie importante du film) est très accrocheuse, on est suspendu (pour ainsi dire) au sort du personnage principal. Le film mérite d'être vu rien que pour cette scène (le reste du film est d'ailleurs moins mémorable).
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    908 abonnés 4 829 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 février 2018
    Film burlesque qui nous fait rire souvent mais qui manque parfois de souffle surtout vers la fin où l’ascension traîne en longueur. Quelques scènes sont toutefois drôles comme celle du mannequin au début et dans le bureau du directeur.
    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    80 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 juin 2017
    La célèbre scène de l'escalade d’un building de Los Angeles par Harold Lloyd constitue à la fois la force et la faiblesse de Monte là-dessus ! Après l’installation assez rapide de l’intrigue, Harold Lloyd entreprend de gravir le building pour atteindre le premier étage. D’autres étages suivront. La mécanique scénaristique mise en œuvre par Fred C. Newmeyer peine à masquer son caractère répétitif jusqu’à son terme qui verra notre héros suspendu dans le vide accroché aux aiguilles d'une horloge menaçant de rompre. Cette scène d’anthologie fera le tour du monde car, en 1923, elle est inédite comme les trucages imaginés pour rendre cette escalade et cette scène possibles. C’est en effet dans l’inventivité et le brio de la mise en scène que réside la réelle force de Monte la-dessus ! Harold Lloyd semble alors, comme par magie, échapper aux lois de la physique !
    Estonius
    Estonius

    2 447 abonnés 5 217 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 juin 2015
    On a un peu oublié Harold Llyod et c'est bien dommage. L'histoire est toute simple (et tout bête, mais quelle importance puisque c'est du burlesque !) Le clou du film, l'ascension du building reste encore aujourd'hui un exploit remarquable à ce point qu'on en oublie que le trucage ne peut être qu'évident et que le suspense fonctionne (chapeau !). Dans un tout autre registre, la scène de la quasi émeute au magasin est également savoureuse.
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