Derniers Avis : Citizen Kane - Page 2

Les décors sont très impressionnant, le film date de 49 dure un peu plus de 2h mais ne m'a pas paru long ou intéressant, il est prenant.

Intemporel !
A ne pas raté !
Une image en noire et blanc sublime !
Et un themes plus pertinent que jamais !
La même claque que devine qui viens dîner ce soir

Suite des "50 films à voir avant la fin du monde" avec Citizen Kane.
Je n'ai pas accroché et je dois dire que j'en attendais beaucoup de ce film soit-disant culte. Pour moi il y a des longueurs, j'en attendais peut-être trop du côté enquête et cette découverte de manière posthume du parcours de ce magnat de la presse papier (entre autres) a été pour moi une vraie chienlit : peu d'intérêt, peu d'originalité, des dialogues plats comme la Hollande et des moments d'éloquence trop rares. OK, on comprend la moral à la fin, c'est le seul moment qui m'ait réellement touché mais sinon que de longueurs !
Techniquement, il m'a beaucoup moins impressionné qu'un autant en emporte le vent pourtant de 2 ans son aîné.
Je vous avoue avoir décroché plusieurs fois et ça ne m'arrive pas souvent devant un film.
Au risque de choquer, je ne vois vraiment pas ce qu'on peut trouver à ce film.

Quand je regarde "Citizen Kane", je sais que je suis face à un monument du Cinéma. Un marqueur solidement planté sur l'année 1941 dans toute bonne frise chronologique sur le 7e Art.
Une œuvre techniquement irréprochable, qui transcende des procédés déjà connus (flash-back, changements d'angles de prise de vue, grande profondeur de champs,...) et innove en matière de narration et de travail sonore.
Pourtant ce film n'est pas qu'un précis de grammaire cinématographique pour futurs réalisateurs.
Orson Welles, fin observateur, y décrit avec beaucoup de mordant et de spiritualité l'évolution de la presse, le monde politique ou ses concitoyens. 
Mais pas que. Grâce au formidable scénario co-écrit avec Herman J. Mankiewicz, il nous offre aussi une enquête passionnante à la recherche du Kane perdu. Le spectateur se prend alors au jeu (de piste) et cherche à rassembler toutes les pièces du puzzle que constitue Charles Foster Kane, un personnage complexe qui tour à tour émeut, amuse, effraie, agace,...
Le choix de ce citoyen américain peu ordinaire, qui projette son ombre de géant sur tous ceux qui l'entourent, convient d'ailleurs parfaitement à Orson Welles.
Déjà plein d'assurance et confiant en son génie du haut de ses 25 ans, il a certainement pris plaisir à interpréter le citizen Kane, pouvant ainsi dominer sans partage le reste du casting...

Comme tout chef-d'œuvre qui se respecte, ce film ne vieillit pas et paraît encore étonnamment moderne. Quelle source d'inspiration depuis plus de 80 ans ! Alors merci citizen Welles pour tout ce que vous avez apporté au Cinéma.
Et pour conclure par ce symbole de connivence avec vos spectateurs spoiler: (les seuls à connaître la signification de ce dernier mot, avec feu Charles Kane)
: "Rosebud".

Toute personne passionné de cinéma se doit de voir au moins une fois dans sa vie ce fameux "Citizen Kane" tant il représente une influence majeure pour le 7ème art. D'une modernité absolument incroyable pour un film de 1941, ce film magistral est absolument maîtrisé de bout en bout tant sur le plan visuel avec ses cadrages, ses jeux de lumières, que sur le plan scénaristique qui est également un sans faute (la narration, les flash back..) et ce jusqu'à l'interprétation des acteurs, c'est vraiment du grand art. Et je pense que ce chef d'oeuvre s'appreçie encore plus à chaque nouveau visionnage. Le meilleur film de tout les temps ? Chacun aura son avis, a vous d'en juger.

Ce film est un chef-d’œuvre le scénario est incroyable, l’histoire est prenante, et la mise en scène est parfaite avec des plongée contre plongée très basse ou très haute le positionnement de la lumière impeccable Les plans séquences très bien fait alors que ce film est sorti en 1946 le plan d’ouverture et de fermeture son très juste .si vous adorez les films avec de l’enjeu et en noir et blanc alors regardez le

Un film dont l’impact sera très difficile à reproduire.
Il y a finalement peu de choses à dire sur un chef d’œuvre de cette trempe ; il se regarde plus qu’il s’explique.

J'ai mis du temps pour pouvoir voir ce chefs-d'œuvre d'Orson Wells, la mise en scène pour l'époque et pour un mec qui réalise son premier film est tout bonnement une réussite, les acteurs sont tous issus du théâtre quasiment et il remplissent tous leur rôle à la perfection, c'est certes un des plus grands films de l'histoire du cinéma sans aucun doute !

Un film poussif la narration linéaire de la vie d'un magnat de la presse né riche et qui le devient encore plus et qui achète tout et n'importe quoi totalement auto centré ne s'intéressant qu'à lui même il meurt seul bref un être vide qui mène une vie vide
Le film qui était peut être novateur date aujourd'hui beaucoup

Le film le plus over-rated de l'histoire du ciné !! Admiré par les "professionnels de la critique de cinéma" pour ses innovations (de 1946), mais qui ne présente aucun intérêt ni qualité pour un "vrai spectateur" d'aujourd'hui.

Un scénario faiblard, des procédés un peu lourdaux, bref un film qui a très très mal vieilli et qui ne peut être regardé qu'en tant que repère historique de ce qui se faisait de "nouveau" en 1946.

Le problème c'est que les innovations techniques ne suffisent pas à faire un grand film. Regardez un Chaplin ou un Buster Keaton: les innovations et la créativité sont dans le scénario, dans le jeu des acteurs, et du coup ces films n'ont pas pris une ride, EUX.

Avec cette critique, je vais ramasser un tas de "j'aime pas" de la part des ayatollahs du ciné. Pas de problème.

Signé en 1941 par Orson Welles (alors seulement âgé de 25 ans), ce film représente une merveille d’avant-gardisme tant la qualité de sa mise en scène et de sa photographie traverse les époques sans prendre une ride. La narration, exploitant les codes du documentaire et utilisant les flashbacks, reste absolument captivante. En interprétant lui-même le rôle de ce milliardaire à la fois mégalomane, carriériste et idéaliste, le réalisateur brosse un portrait détonnant du pouvoir financier et politique de l’époque tout en dévoilant au compte-goutte les failles de cet être humain. Bref, une œuvre immense qui constitue assurément une référence du cinéma.

Considéré comme l'un des plus grands films de tous les temps, "Citizen Kane" doit notamment sa réputation à son style unique pour l'époque. Orson Welles, qui porte ici la triple casquette d'acteur-scénariste-réalisateur, utilise avec brio les transitions et les contrastes entre ombres et lumières. Plus encore, il manie son récit de façon remarquable avec notamment une narration non linéaire composée de flashbacks. Toute l'histoire est construite à partir des derniers mots prononcés par Kane. Un mystère à l'origine de la création d'un mythe. Les premières minutes représentent bien le film avec un journaliste qui après avoir visionné un "reportage" sur la vie de Kane décide de creuser, car "il manque l'essentiel". Personnage public, tout le monde sait qui est Kane seulement, les gens en veulent plus. Malgré les années, on remarque que beaucoup de choses n'ont pas changé par rapport à la fascination des gens pour les personnes publiques ou encore le rôle de la presse. Orson Welles a écrit le personnage de Kane en s'inspirant du magnat de la presse William Randolph Hearst. Ce dernier, tout comme le personnage du film, aime le sensationnalisme et n'hésite pas à propager des fake news. Il comprend assez vite le pouvoir de posséder des journaux et il l'utilise à sa guise. Pour autant, cela ne fait pas tout comme en témoignent ses échecs en politique. S'il est décrit comme une personne qui a tout eu et tout perdu, Kane est quand même quelqu'un qui a réussi sa vie. Il était prédestiné à ce succès, mais il va quand même réussir à bâtir un empire. Le portrait de cet homme à travers le témoignage de ses proches a un côté fascinant, car tout est reconstitué sous nos yeux. Je ne me range pas du côté de ceux qui le considèrent comme le meilleur film de de tous les temps, c'est subjectif après tout, mais oui, c'est un film avant-gardiste avec de vraies qualités, notamment pour l'époque.

ROSEBUTT

Henry-René-Albert-Guy de Maupassant [gi d(ə) mo.pa.ˈsɑ̃] est un écrivain et journaliste littéraire français né le 5 août 1850 au château de Miromesnil à Tourville-sur-Arques1,2 (en Seine-Inférieure) et mort le 6 juillet 1893 à Paris.

Lié à Gustave Flaubert et à Émile Zola, Maupassant a marqué la littérature française par ses six romans, dont Une vie en 1883, Bel-Ami en 1885, Pierre et Jean en 1887-1888, et surtout par ses nouvelles (parfois intitulées contes) comme Boule de Suif en 1880, les Contes de la bécasse (1883) ou Le Horla (1887). Ces œuvres retiennent l’attention par leur force réaliste, la présence importante du fantastique et par le pessimisme qui s’en dégage le plus souvent, mais aussi par la maîtrise stylistique. La carrière littéraire de Maupassant se limite à une décennie — de 1880 à 1890 — avant qu’il ne sombre peu à peu dans la folie et ne meure peu avant l'âge de 43 ans. Reconnu de son vivant, il conserve un renom de premier plan, renouvelé encore par les nombreuses adaptations cinématographiques de ses œuvres3.

Il y a des films qu'on "apprécie" en se replaçant dans son contexte historique. Sachant à quel point il est révolutionnaire dans l'histoire, que ce soit par les plans (novateurs), les décors (majestueux), les dialogues (fluides), l'audace de Orson Welles (révolutionnaire), "Citizen Kane" est un OVNI qui se regarde de nos jours comme une pièce historique, pas comme un film qui se savoure (même si je crois qu'il le deviendrait s'il y avait une version en VF. Croisons les doigts pour que ça puisse exister), mais malgré tout, voir tant de nouveau dans du si vieux rattrape les choses, et cette pièce incontournable de la cinéphilie est plus qu'importante quand on sait à quel point elle a influencé les films que l'on regarde de nos jours.
Côté scénario, il s'agit d'une épopée économique et sentimentale d'un milliardaire. Le film prend plus l'allure d'un documentaire pour raconter la vie de Kane, format qui est intéressant. J'ai bien aimé aussi la manière narrative constante tout le long du film, puisqu'elle donne une certaine impression de lire un journal, mais toutefois je dois reprocher à Orson Welles un certain manque d'entrainement et aussi cette trop grosse dose de sérieux.
Malgré tout, ce film psychologique sur la perte du bonheur m'a beaucoup ému, et il faut dire que le twist final prouve beaucoup de choses sur le fait qu'un prétendu statut ne change pas les souvenirs et le bonheur. Très beau film !

Vraiment excellent. Rien a redire , grande maîtrise technique pour l’époque. Côté interprétation, Orson Welles accompli un travail colossale dans le rôle principal du film. Avec son statu de meilleur film de l’histoire on pourrait croire à un scénario compliqué et une atmosphère lourde mais ce n’est pas du tout, mais alors pas du tout le cas. L’histoire est simple et va droit au but on suit la vie et la mort (très importante dans l’histoire) de Charles Foster Kane, ce magnat des journaux, spoiler:
qui malgré sa richesse [/spoiler]fini par tout perdre. Ce film nous montre aussi de belle façon les méfaits du capitalisme et l’importance de l’enfance dans une vie. À voir pour les brillants messages qui s’y rattache mais aussi pour visionner un divertissement d’une grande qualité.