Mon compte
    Aguirre, la colère de Dieu
    Note moyenne
    3,7
    4292 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Aguirre, la colère de Dieu ?

    207 critiques spectateurs

    5
    71 critiques
    4
    62 critiques
    3
    20 critiques
    2
    28 critiques
    1
    20 critiques
    0
    6 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Moorhuhn
    Moorhuhn

    120 abonnés 579 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 janvier 2011
    Aguirre est un film vraiment particulier. Sous ses airs de film amateur, il nous transporte au coeur de la folie humaine et se révèle au final être un film particulièrement fou. J'y ai trouvé un petit côté dérangeant, l'ambiance qui règne autour de ces personnages semble assez malsaine, ce dur voyage vers l'endroit utopique qu'est l'El Dorado a des allures de cauchemar où l'homme ne maîtrise rien, se retrouve victime d'une nature destructrice, est dirigé par sa propre folie et où la mort frappe sans prévenir. L'ennemi est invisible, et il habite chaque être participant à ce voyage totalement illusoire. En réalité j'ai été assez dérouté par ce film, j'avais déjà vu Fitzcarraldo auparavant du même réalisateur mais ce dernier avait des allures plus "sages" et était plus posé. On reconnait la patte du réalisateur, et Herzog s'est fortement appuyé sur Aguirre pour réaliser Fitcarraldo qui pourrait être presque une suite tant les thématiques sont reliées et tant le décor reste le même. C'est ce côté déroutant qui ne m'a peut-être pas fait apprécié pleinement le film, à vrai dire je l'ai compris après une bonne heure. Herzog a réalisé une sacrée prouesse en tout cas, et il doit être intéressant de s'attarder sur les coulisses d'un tournage qui semblait apocalyptique, ça se sentait rien qu'en voyant le film. Certaines scènes m'ont marqué, je pense au passage où Aguirre s'exprime en se considérant comme "la colère de Dieu" en regardant droit la caméra (Formidable Kinski au passage!) et surtout la scène finale, quelle scène, quelle puissance... J'ai réellement passé un grand moment devant ce film et je le regarderais volontiers de nouveau pour pouvoir percevoir un peu plus son sens, pour me sentir gagné par cette ambiance cauchemardesque. Un choix de réalisation inspiré, des acteurs grandioses, une BO remarquable et utilisée brillamment. J'aurais eu quelques moments de flottement mais en tout cas je reconnais que Aguirre, der Zorn Gottes est un film puissant, unique et dérangeant. Une bonne surprise pour ma part, je ne m'attendais pas à aimer autant.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 357 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 octobre 2021
    Aguirre, la colère de Dieu est la quintessence du snobisme cinématographique. Mais dans un sens c'est un chef-d'œuvre de l'art de la tromperie. Prenez un scénario minable déclarez officiellement que vous représentez une nouvelle école de cinéma qui rejette tout effort d'interprétation toute cohérence du scénario et faites un peu de battage autour de ce génie fou de Klaus Kinski et vous obtiendrez le film le plus surestimé de tous les temps qui est en fait quelque chose de si intentionnellement mauvais qu'il ne ferait même pas l'affaire d'un cours de cinéma de fin d'année à l'université. Donc pas de jeu d'acteur du tout. Cela rend les choses plus simples pour la critique on ne peut même pas critiquer le jeu des acteurs puisqu'il n'y en a pas. Mais qu'en est-il de Kinski aux grands yeux et bien c'est un Kinski aux grands yeux et pendant tout le film. Kinski aux grands yeux fixe l'horizon pendant deux minutes. Puis le soldat prend une flèche dit je suis mort et je meurt. Puis Kinksi fixe à nouveau son regard devant la caméra et dit une phrase ringarde du genre je dois aller chercher de l'or. Puis un autre soldat prend une flèche et c'est comme ca pendant toute l'histoire. Quand j'ai regardé ce film j'ai vraiment pensé qu'il s'agissait d'une sorte de parodie de ces films surfaits pseudo-intellectuels devant lesquels les critiques de cinéma pseudo-intellectuels adorent se prosterner parce qu'ils pensent que cela les rend plus intellectuels de les regarder...
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 30 novembre 2008
    Heuu.. Ca passait sur Arté jeudi, mon prof d'éco a A-DO-Ré ! Voila, je crois que tout est dit sur ce film. . .
    Der Metzgermeister
    Der Metzgermeister

    32 abonnés 245 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 janvier 2015
    Concrètement, Aguirre, la colère de Dieu, c'est Apocalypse Now mais sans les idées. Un groupe de conquistadors s'enfonçant au cœur d'un territoire hostile, ne sachant pas comment atteindre ni où situer l'El Dorado. Le réalisateur a, je tiens à le préciser, rédiger le scénario en deux jours. Au début je flairai déjà une toute approche pour ce qui concernait le dévoilement des caractères, la narration et la manière de retranscrire les ressentit des personnages. Long, lent et mou : voici tout ce que j'ai retenu de cet œuvre que certains qualifient de classique. Mais après un effort, je trouve intéressant de trouver des thèmes comme l'aliénation, l'obsession ou la déchéance prendre une toute autre forme que celle déjà démontrées au cour du temps. Herzog use son sens de l'allégorie et de la métaphore a n'en plus finir, jusqu'à ce que le film tourne littéralement au grotesque ou à la comédie. Rajouter à cela un doublage immonde, un acteur inexpressif, et des énormités étourdissantes ( qui renforcent l'idée quele film est comique ) et vous obtenez l'archétype du film raté.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 20 avril 2016
    Voilà donc le mon premier Herzog... Ça commence très très bien avec une scène d'intro juste grandiose : une musique quasi-mystique, un paysage sublime, l'homme réduit au stade de fourmi luttant pour ne pas se casser la figure... C'en est presque malsain mais c'est fascinant. Pourtant je n'ai pas été plus que ça emballé par le reste du film, j'ai vite trouvé ça assez mou. Toutefois je ne suis pas aveugle, je sais reconnaître des qualités à un film quand j'en vois, et ce Aguirre en a énormément : son acteur principal tout d'abord, Klaus Kinski, le visage creusé, le regard fou... Il fait peur le bougre, et il est foutrement habité par son rôle. Ensuite il y a bien sûr les décors : on sent que ça a vraiment été une galère à tourner, on sent le vrai ; les paysages sont splendides, la nature en devient écrasante... Puis il y a bien sûr cette sensation assez démentielle que je n'avais ressentie que devant Apocalypse Now, cette impression d'horreur, comme le montre le plan final, de destruction pure et dure des corps, de plongée dans un puit sans fond de folie humaine et de mort, tout devient comme confus, les morts semblent se moquer de leur mort, on tue le rival, Aguirre plonge dans une mégalomanie sans nom, mais ce qui m'a vraiment brisé à l'intérieur spoiler: c'est la vue du corps presque sans vie de la fille d'Aguirre, pauvre innocente ayant subi la folie de son père, qui veut d'ailleurs l'épouser... Rien que le fait de réaliser à quel point ce personnage est enfermé dans un destin horrible, ça m'horrifie
    .
    Bref, un film étrange, une expérience, qui selon moi aurait gagné à avoir plus de pêche.
    Raw Moon Show
    Raw Moon Show

    114 abonnés 826 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 août 2013
    Aguirre est têtu quand il explore. Il voudrait être Dieu en toute simplicité. Un Dieu dont il va réveiller la colère à mesure qu'il descend ce long fleuve de mystère. Indispensable film pour apprendre l'humilité, une école de la vie...
    Gabriel B
    Gabriel B

    4 abonnés 358 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 31 janvier 2013
    Mis à part les paysages magnifiques et les costumes, ce film est ennuyeux, lourd et rempli de longueurs inutiles...
    cylon86
    cylon86

    2 247 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 novembre 2008
    Un film mystique et envoûtant dominé par un Klaus Kinski magistral. Les décors sont superbes.
    Une oeuvre culte.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 18 avril 2014
    Chef d'oeuvre, ce film nous fait voyager dans un autre temps, la musique du groupe Popol Vuh est halucinante !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 12 septembre 2012
    J'avais peur de ce film et je dois avouer avoir été agréablement surpris. Derrière l'incroyable lenteur et le manque d'action, je suis resté scotché devant la beauté des scènes et des plans qui défilaient à l'écran. Beaucoup de poésie, beaucoup de questions, dans un film qui explore de nombreux sujets.
    Une atmosphère mystique voire parfois inquiétante amené notamment par le remarquable Klaus Kinski. Un film hors du commun, à voir au moins une fois.
    Pierre Olivier D
    Pierre Olivier D

    11 abonnés 71 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 août 2011
    Ce film m'interpelle, des scènes incroyablement réalistes, les acteurs ont "morflés" pour jouer dans ce film c'est une certitude, les rapports compliqués entre Herzog et Kinski donnent le ton à cette atmosphère pesante et psychadélique, à se demander si Coppola n'a pas piquer les ingrédients nécessaires pour monter son hypnotique Apocalypse Now. Pour Klaus Kinski , son attitude parfois surjouée prend toute sa dimension pour le personnage d'Aguirre, il est clair que cet acteur est habité par son personnage, sa folie transpire à travers l'écran ce qui donne une oeuvre inpalpable et unique, du grand cinéma!
    Frédéric H
    Frédéric H

    42 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 septembre 2012
    Le sujet est intéressant et Klaus Kinski a une "gueule" impressionnante et est habité par le personnage, mais le film traité de manière trop hautaine ; on s'ennuie, c'est long, long, long, heureusement qu'il ne dure que 1h30 car on a l'impression que cela dure le double de temps.
    Je ne comprends pas que l'on puisse le considéré comme un chef d’œuvre
    bsalvert
    bsalvert

    317 abonnés 3 460 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 mai 2017
    Grande réalisation autour du fanatisme. Les excès de ce film peuvent néanmoins lasser.
    PLV : un film d'une autre époque
    SmEuG
    SmEuG

    33 abonnés 248 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 avril 2013
    Le truisme n’étant jamais qu’une évidence qui se sait évidence – donc vérité – il semble pertinent de débuter toute réflexion par cette forme de procédé littéraire. Car toute concaténation d’idées, dont le tout sculpte une réflexion, se doit d’intercaler dans ses interstices des liants suffisamment forts pour que la chaîne résiste aux ravages de la contradiction. En conséquence, commençons par en forger le premier maillon avec la plus évidente des lapalissades : la critique filmique, avant d’extraire du sujet le sens que son artiste a voulu lui donner – si tant est qu’il y en ait un – dessine en premier lieu sa propre interprétation qu’elle vient greffer sur l’œuvre comme si elle lui appartenait corps et âme. Autrement dit, la dernière valeur ajoutée dans le processus de création d’une œuvre d’art est celle du spectateur lui-même, qui dans un élan d’exaltation de sa propre capacité de questionnement viendra lui donner le dernier coup de marteau afin d’en faire un produit fini. Ceci implique qu’il n’y a d’art sans artiste évidemment, mais surtout qu’il n’y a d’art sans public, en ce sens que l’objet artistique, étant par essence un support de médiation entre émetteur et récepteur, ne peut communiquer sans la présence de ce dernier. Le récepteur est donc nécessaire pour qu’il y ait transmission du message, mais il est également suprême souverain dans la mesure où, le médium se voyant doté d’une nature abstraite, il en fait la compréhension qu’il souhaite. Il est le linguiste de sa propre pensée et questionnera les formes et les sons comme ses dispositions cognitives le lui dicteront.

    Dès lors, il paraît vain de préciser que l’interprétation qui suit est probablement loin de l’idée que Werner Herzog se fait de son propre film, mais qu’en sa qualité d’idiome critique, cette exégèse cinématographique n’en est pas moins légitime.

    « Aguirre, la colère de Dieu » ne contient pas le mot « Dieu » par occurrence. A dire vrai, il est imprégné de tout son être par la présence du divin. Ou plutôt, par le rapport communicationnel entre le Créateur et ses créatures. Ce rapport, c’est la manière dont les hommes arrangent l’espace vocationnel indéterminé qui est le leur, et dans lequel ils s’élancent pour déployer leur foi. Par quelles volitions l’homme va-t-il actualiser le souvenir de Dieu ?

    L’auteur suisse Frithjof Schuon, distingue deux principes fondamentaux propres à tous les monothéismes constituant cette mise en relation avec l’Absolu. L’un que l’on qualifiera d’« ésotérique », l’autre d’ « éxoterique ». Le premier se définissant comme la Voie vécue par l’âme et la volonté, se reconnaît dans sa manière d’épurer la tradition religieuse pour revenir aux fondamentaux gnostiques ; à savoir la connaissance - par l’intelligence théomorphe immanente à l’être humain - du caractère Absolu et Illimité de Dieu. La seconde, sous la plume du métaphysicien se définit davantage comme la Voie vécue par la forme et la tradition, le salut par l’action, la règle comme base d’un mode de piété. Autrement dit, plutôt que d’accéder à Dieu par la voie verticale qui s’apparenterait à la contemplation libératrice de l’Immuable, l’éxotérisme choisit le matérialisme comme canal facilitant l’accès à la gnose et extrapole en traduisant l’abstraction divine par une codification concrète accessible à tous.
    Parenthèse fermée, maintenant ses deux notions pleinement expliquées, lions-les à ce qu’elles concernent dans Aguirre.

    Le film s’ouvre sur une longue scène hypnotique, montrant une troupe de conquistadors descendre littéralement du ciel, avec pour arrière-plan phonique, non pas une psalmodie grégorienne sophistiquée, mais une broderies de voix angéliques et ininterrompues confrontant dans l’immédiat, l’humain avec Dieu dans ce rapport de contemplation, cet abandon à toute la splendeur de la Création. Le Livre débute par le Commencement (La Génèse) qui voit l’homme envoyé sur la Terre après le pêché originel ; Aguirre, dans un tracé parallèle, s’ouvre également sur un passage du Ciel à la terre. Nous voilà donc projeter aux origines, alors que l’homme vide de tout dogme, nourrit un rapport ésotérique à Dieu, par la seule intuition de n’être qu’une part de la Réalité relative exclusive de la Réalité Absolue.

    Très vite, un bruit de canon elliptique nous ramène dans une temporalité – le temps ayant son importance dans le film, j’y reviendrai par la suite – plus avancée, dans laquelle l’homme a troqué la vérité plénière et l’efficacité salvifique contre le matérialisme mondain et l’aveuglement passionnel. Le sens de la transcendance métaphysique des formes a déserté l’être humain pour trouver racine dans un exotérisme appelé Christianisme, encadré par toute une structure anthropologique aux codes bien définis.
    Les principes de hiérarchies régissent l’ordre social, puisqu’aux côtés des soldats se trouvent d’une part les individus issus de la noblesse, et de l’autres, les esclaves autochtones réduit à l’état de chair à usage utile. Ainsi est représentée la perte de l’égalité de la valeur d’une vie humaine face à l’Absolu, qui se perpétue par la suite à travers divers tableaux dérisoires, tels que le non-sens absolu de transporter avec soi dans une expédition aussi périlleuse, deux voitures à bras au contenant dissonant par rapport à la diégèse étouffante dans laquelle ils se meuvent. C’est situé dans ce même réel diégétique, donc extrait de son contexte royal et luxueux habituel, que le sacre de Fernando de Guzman le faisant empereur de l’Eldorado, prend une tournure grotesque ; c’est dans ce climat de famine et de survie, que la satire s’élève d’un degré supplémentaire en offrant le triste spectacle de ce même empereur se goinfrer alors que ses hommes se meurent. La transposition de la structure catholico-monarchique dans un univers primitif permet un contraste déclencheur de l’ironie. Comme si un retour à l’état-nature était nécessaire pour démythifier l’ordre clérical.
    Comment, le sens du sacré a-t-il pu se liquéfier de la sorte ?

    Le pêché d’orgueil fut le germe de l’expulsion d’Adam et Eve du jardin D’Eden. Autrement dit, la colère de Dieu ne fut que la conséquence de la nature profondément vaniteuse de sa propre création. Aguirre alors, ne croit pas si bien dire lorsqu’il certifie « être la colère de Dieu ». Il ne l’est non pas en tant qu’il incarne, tel qu’il semble le croire dans un élan mégalomane, Dieu sur terre en personne, mais en tant que cause et conséquence de la colère de l’Eternel. Dès lors, la modification profonde du rapport à Dieu, de l’Origine aux temps nouveaux, semble trouver une explication toute tracée : l’Homme, en raison de son essence mégalomaniaque, de sa volonté de s’élever au niveau de Dieu – Dieu ne l’a-t-il pas créé à son image ? – finit par altérer peu à peu le sens des symboles, et en orienter sa mésinterprétation vers des substituts matériels entrant en conflit avec l’Essence première.
    Cette vanité demeure omniprésente dans le métrage. Aguirre rêve de conquêtes, De Guzman se laisse berner par la flatterie, et le reste de la troupe ne rebrousse chemin à cause de promesses reluisantes. La promesse de l’El Dorado en fait partie, mais n’est qu’un moyen de ramener à l’homme ce qui appartient au Céleste par le fantasme du paradis terrestre.

    Seul le temps, symbolisé par l’eau du fleuve qui se déverse sans répit, arrivera à bout de cette confrontation d’Egos. Rien n’y survit. Un radeau misérable jonché de corps pourfendu finira par conclure cette catharsis désabusée signée par un Werner Herzog au sommet de son art, dont l’ultime coup de génie aura probablement été de choisir Klaus Kinski pour incarner l’Orgueil, pour incarner « La Colère de Dieu ».
    CrazyMox
    CrazyMox

    2 abonnés 173 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 juin 2014
    Film presque Documentaire avec des images de nature et de Forêts Vierges en Amérique du Sud absolument splendides. On est littéralement plongé dans l'aventure de ces conquistadors perdus dans la jungle et on ressent, dès le début du film, toutes les difficultés qu'ont dues endurer l'équipe de tournage pour faire un film au beau milieu de nul part !
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top