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Un visiteur
1,5
Publiée le 17 janvier 2013
(VIDEO) Pas tout à fait le degré 0 du cinéma, non - les dialogues de Jean-Loup Dabadie relèvent indubitablement le niveau ! Et puis quelques comédiens... Mais c'est quand même presque le pire du pire de ce qui peut arriver au cinéma.
Aussi bon que le premier. On reprend les mêmes et on recommence. Certaines scènes sont inoubliables comme celle de la maison qui tremble ou celle avec la R6. Bref une comédie française culte !
Une suite tonique et toujours spirituelle par ses bons mots, ses amitiés et M. Villalonga qui en fait des tonnes. Parfois subtil, parfois moins. Un portrait du quotidien qui nous parle.
Une suite plus mélancolique mais toujours aussi savoureuse et pleine de tendresse, avec toujours les dialogues irrésistibles de Dabadie et un quatuor de comédiens aussi complice qu'attachant
J'ai trouvé cette dernière partie du diptyque meilleure que la première. Pleine de rebondissements, d'humour, d'amitié. Beau petit film français des années 70 avec un casting toujours efficace et investi.
Suite au gros succès d’Un éléphant ça trompe énormément, Yves Robert décide de retrouver les mêmes personnages pour Nous irons tous au Paradis. Cette suite en reprend la majorité à l’exception de celui joué par Annie Duperey (bien qu’Étienne ait changé de profession) et retrouve la même ambiance. Toutefois, nous passons de la pure comédie à une comédie possédant des moments plus dramatiques pas toujours indispensables à la suite de l’intriguespoiler: (la mort de la mère de Simon) . Cet aspect et le fait que l’intrigue est plus éparpillée font ce second volet est moins prenant que le premier mais possède d’excellents passagesspoiler: (l’agression d’Étienne par l’homme qu’il soupçonne d’être l’amant de sa femme) . De plus, le film possède des apparitions de visages désormais très connus comme Josiane Balasko et surtout Jean-Pierre Castaldi. Nous irons tous au Paradis est donc une bonne suite mais moins marquante que le premier épisode.
Suivre à nouveau les aléas de la vie de cette bande de copains est un plaisir renouvelé avec cette suite aux mêmes composants que « un Eléphant... ». Les dialogues de Jean-Loup Dabadie sont toujours aussi drôles et fins. Marthe Villalonga est une fois de plus exquise dans son rôle de mère envahissante et spoiler: son décès ajoute une petite touche de gravité en plus.
Une suite moins bonne même si on a plaisir à retrouver les copains de toujours. Quelques situations vraiment bonne avec quelques longueurs . La France des années 70 nostalgie quand tu nous tiens
J’ai trouvé cette suite bien moins drôle, moins savoureuse et fine que le premier. Mise à part Jean Rochefort toujours aussi amusant quand il joue les impassibles, cette suite fait plus boulevard que réelle comédie. Quand il s’éloigne du côté comique j’ai trouvé le trait moins fin que pour le premier. Mais c’est tout de même un bon moment à passer.
Réalisée par Yves Robert en 1977, il s’agit de la suite de « Un éléphant ça trompe énormément » sorti l’année précédente. On y retrouve Jean Rochefort, Claude Brasseur, Victor Lanoux et Guy Bedos qui prolongent leurs aventures amicales et leurs déboires sentimentaux. Le résultat reste globalement satisfaisant tant les dialogues et les interprétations sont justes. Marthe Villalonga, en mère possessive, est toujours aussi hilarante et Danièle Delorme, en épouse modèle, toujours aussi gracieuse. Les clins d’œil au film « La panthère rose » et son fameux inspecteur Clouseau sont récurrents et amplifiés par la musique de Vladimir Cosma. Bref, un gros succès auprès du public de l’époque qui permet également à Josiane Balasko d’effectuer ses premiers pas au cinéma.
Ce fut un revisionnage pour moi mais ce film fait partie des classiques du cinéma français des années 70. Ce n'est peut-être pas aussi bien que les films de Sautet, mais on y retrouve cette même volonté de retranscrire une vie de copains, d'amitiés et d'histoire d'amour. Ce film est plus proche de la comédie que les opus de Sautet, plus dramatiques. La bande des 4 est sympa, l'osmose fonctionne bien. On a J. Rochefort, dandy et une sorte de Panthère Rose servi par une musique similaire, et un grand Lanoux, séducteur plein de gouaille mais au grand cœur, un C. Brasseur en grande forme et finalement G. Bedos. Le scénario est correct mais cela reste peut être un peu superficiel avec des péripéties qui sont pas toujours très intéressantes
Nous irons tous au paradis est un film plutôt sympathique d'Yves Robert, Ce film m'a un peu moins plu qu'Un éléphant, ça trompe énormément, mais la sympathie qu'on éprouve à l'égard des quatre personnages principaux suffit à apprécier le film. Les personnages principaux sont très attachants et l'intrigue est tout de même assez amusante, ironique (comme par exemple voir Jean Rochefort espionner son épouse après qu'il ait eu une relation adultérine) et pleine de rebondissements. Le quatuor d'affiche est toujours assez drôle et la connivence entre les acteurs est palpable. Danièle Delorme et Marthe Villalongua (hilarante) sont très bien également. Un divertissement sympathique.