Avis : 7 ans de réflexion - Page 5

Une petite comédie mineur pou Billy Wilder mais qui reste vraiment sympathique, une critique de la société Américaine des années 50 sur fond d'infidélité .

Assez drôle mais surtout répétitif par moment, au bout d'une heure ça tourne un peu en rond .
Il reste une belle performance pour la sublime Marilyn Monroe qui offre une scène culte, celle ou sa robe se soulève sous une bouche d’aération de métro, scène culte qui donna lieu a la célèbre photo, même si l'on a pas vu la scène on connait cette photo .

Enfin bon pas la comédie du siècle ça c'est sur mais a voir au moins une fois !

Le film repose avant tout sur le duo Ewell-Monroe, hilarant. Culte !

Billy Wilder nous gratifie avec The Seven Year Itch d'une comédie romantique dont il a le secret, où comme souvent l'écriture est raffinée avec des dialogues jouissifs, et la mise-en-scène parfaite. Le film s'appuie sur un comique de situation et de répétition souvent drôle mais l'intrigue n'est pas très inspirée et s’essouffle sur la fin avec une conclusion un peu hâtive en eau de boudin. On pourrait aussi relever une certaine lourdeur dans la narration avec ce personnage principal qui se parle constamment à lui-même. Néanmoins la qualité des dialogues et de la mise-en-scène parvient à compenser un scénario qui pèche un peu, et même si The Seven Year Itch n'est sans doute pas la meilleure comédie de Billy Wilder, le film reste tout de même très agréable.

Aimable comédie signée Billy Wilder adaptée d’une pièce de théâtre. Quelques séquences sont sympathiques (la courte introduction est très chouette) mais rien de vraiment transcendant non plus, le film tournant assez vite en rond. Le fait que le personnage joué par Tom Ewell nous fait part de son imagination débordante devient à la longue barbant, même si certaines de ses pensées sont relativement drôles. « 7 ans de réflexion » vaut surtout pour la présence de Marylin Monroe dans le rôle de la voisine sexy et naïve, dont on retiendra la mythique scène au-dessus de la bouche de métro.

Un film très sympathique mais qui ne retrouve peut-être pas la grâce de Certains l'aiment chaud. Sept ans de réflexion est agréable à suivre, parfois drôle (mais pas toujours, l'humour étant souvent un peu prévisible et lourd), et réussit à rendre Marilyn Monroe plus charmante que jamais. Elle se débrouille pas dans ce rôle de jeune fille très naïve. Mais le film ne vole jamais très haut, c'est dommage.

Un film avec un certain charme d'époque, qui ravira tous les adeptes et fans des années 50, une mise en scène raffinée et vivante, des acteurs talentueux avec en tête la sublime Marilyn Monroe. L'histoire est présentée avec humour mais aussi avec beaucoup de tact', le monologue du personnage principal est souvent assez surprenant, mêlant bref passages de lucidité et paranoïa extrême.
Mais c'est peut être aussi ce monologue qui engendre un certain essoufflement du film, l'histoire tourne en rond, autant la 1ère heure passe vite, mais il n'en est pas de même pour la dernière 1/2heure, où les apitoiements de Richard sur lui même ainsi que ses scénarios catastrophes s'accélèrent avec un peu de désagrément.

En 1955, Billy Wilder livre une comédie agréable qui repose essentiellement sur la sensualité explosive de Marilyn Monroe. Adapté d’une pièce de théâtre à succès de Broadway, le scénario aborde les tentations d’adultère d’un homme séparé de sa famille le temps des vacances. Il faut reconnaitre que pour Richard Sherman (Tom Ewell), il semble impossible de résister aux charmes de sa voisine totalement ingénue et séduisante. La célèbre trop courte scène de la robe qui se soulève au-dessus de la bouche de métro donne à ce film le statut de grand classique du cinéma. Bref, un divertissement euphorisant qui brise les conventions morales de l’époque.

Le film qui a définitivement mythifié Marylin Monroe. Chacune de ses apparitions (plutôt rares curieusement), revêt une grande importance et fait tourner la tête des mâles de son entourage, surtout celle de son voisin. On a alors droit à l'amusant spectacle de l'homme qui ne se contient plus, tel le loup de Tex Avery en moins fou, et dont la fidélité est mise à rude épreuve. C'est frais, et l'aspect théâtral renforce l'intimité entre personnages et spectateurs.

Le titre original aurait dû être traduit par « La démangeaison des sept ans », qui intervient comme « le démon de midi » ou « la crise de la quarantaine ». C’est autour de ce thème et des fantasmes masculins qui le nourrissent qu’est élaborée cette excellente comédie d’un grand spécialiste du genre, Billy Wilder. Si quelques traits sont un peu appuyés et quelques attitudes outrancières, le film est un tout de même un joyau en la matière, avec des dialogues d’une grande force comique, certains pouvant être qualifiés d’anthologie. Qualification qui s’applique bien sûr aussi à la célébrissime scène de la bouche d’aération du métro. Marilyn Monroe en ingénue comme dans beaucoup de ses rôles, attirante à souhait, est l’objet parfait du désir réprimé. Le film est peut-être un peu trop « théâtral » (c’est l’adaptation d’une pièce), mais il reste un grand moment de comédie, qui atteindra la perfection avec « Certains l’aiment chaud ».

Adaptant une pièce de théâtre sur l'adultère, Billy Wilder trouve le moyen de contourner la censure en offrant à son personnage principal, un mari resté seul à Manhattan durant l'été pendant que sa femme et son fils sont en vacances, des rêveries assez cocasses sur la nouvelle voisine du dessus, une belle ingénue à tomber par terre jouée par l'irrésistible Marilyn Monroe. Si le film ne se montre donc pas aussi audacieux que la pièce, il n'en demeure pas moins un bel exercice de contournement de censure avec ses moments loufoques, ses dialogues savoureux et la prestation tout à fait sensuelle d'une Marilyn jamais vulgaire mais toujours aussi désirable. Wilder s'amuse à livrer quelques échappées oniriques pour éviter de confiner l'intrigue dans le même lieu mais n'en sait pas moins gérer l'espace de l'appartement du personnage de Tom Ewell, incarnant ici un homme en proie à ses doutes et à ses fantasmes, son esprit entrant en ébullition face à la superbe Marilyn Monroe dont la robe soulevée par l'aération du métro a largement été exploitée. Un petit délice qui se laisse apprécier dans la chaleur de l'été mais qui est tout de même loin d'égaler les meilleures comédies de Wilder.

La stupéfiante et hilarante performance d’acteur de Tom Ewell tient le film de bout en bout, il est vrai ponctuée par les apparitions de Marilyn toujours magique après un demi siècle.
Le film est sans doute un peu long à se mettre en place et se termine en queue de poisson mais qu’importe.

L'un des maillons faibles de l'oeuvre touffue de Wilder, qui reste néanmoins tout à fait fréquentable. Mais disons-le d'emblée : son statut de film culte s'arrête en général à la scène où la robe de Marylin s'envole au-dessus de la bouche de métro. Si la photo de cette scène est de toute beauté, elle n'apporte pas grand chose au film, voire même frôle le hors sujet. Ce qui n'empêche pas ces "sept ans" d'aligner quelques qualités différentes : agité, flanqué de situations amusantes, jamais corrosif mais troublant par la grâce d'une voisine qu'on rêve probablement tous de rencontrer, et savament basé sur le fantasme, ses rouages fonctionnent incontestablement. Autant de points positifs et de moments sympathiques qui font passer un bon moment, sans toutefois qu'à aucun instant l'on puisse se dire que l'on pourrait être devant quelque chose comme une oeuvre, un grand film. En définitive, ce qui pêche le plus, c'est peut-être l'absence d'un grand acteur dans le rôle masculin, qui l'empêcherait d'accéder à la dignité cinéphilique. Ou peut-être pas, après tout.

Marilyn au top fait fantasmer un mari resté seul à New York par un été torride alors que femme et enfant sont en vacances dans le Maine.
Billy Wilder nous montre toute l’hypocrisie du couple bourgeois américain.

Sept ans de réflexion, où comment rester insensible au charme de sa voisine, est réalisé par le roi de la comédie Billy Wilder en 1955. Nous avons là une petite perle d'humour et de glamour: Tom Ewell et Marilyn Monroe forment un duo talentueux et pour le moins surprenant!La musique est sympathique, le générique original est signé Saul Bass(il a également crée celui de Vertigo), l'ambiance est conviviale, et tous ces ingrédients forment une excellente comédie à ne manquer sous aucun prétexte!

3 * pour Billy Wilder,on est plus sévère avec ceux qu'on aime.J'ai beau le revoir pour Marilyn (absolument irrésistible),je n'arrive pas à adhérer à ce patchwork de fantasmes pastichant les scènes célèbres des grands classiques.Ce film ne vaut que par sa vedette féminine et la renommée de la photo prise au dessus de la bouche de métro.C'est du théâtre particulièrement bien filmé (comment aurait-il pu en être autrement avec B.W.)mais pas du cinéma.On est loin,loin de toutes les autres comédies du génial autrichien (ses drames/mélodrames étant encore plus impressionants).D'ailleurs c'est justice qu'après avoir voulu copier autant dans d'autres films que celui-ci finisse en queue de peloton et ne reste célèbre que pour un courte scène dont beaucoup parlent sans jamais l'avoir vu en entier.Mais que les amoureux de Marilyn y courent!