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    Le Cuirassé Potemkine
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    3,9
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    148 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 décembre 2009
    Du très bon boulot.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 avril 2008
    Magnifique ! Du grand cinéma ! De l'ambition, de l'innovation, de l'originalité et de l'émotion.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 7 octobre 2007
    Ce film est peut être un classique, mais qu'est ce qu'il est chiant, et ce n'est pas parce que c'est un classique du cinéma, que je dois faire semblant de l'aimer ou que je dois l'aimer. Ce film est très lent, il ne se passe pas grand chose; je ne m'attendais pas à voir un film d'action, mais là quand même, on a que peu de scènes. On n'a même pas, en regardant ce film de bonnes informations sur la révolution de 1905 en Russie, et on n'apprend rien sur le contexte de cette révolte. C'est un film surjoué, qui joue trop dans le pathos. Enfin, il ne faut pas oublier que ce film était une oeuvre de propagande soviétique à la gloire de la révolution bolchévique et du régime communiste russe.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 juin 2012
    J'ai vu le film en 2009. J' ai encore du mal à imaginé qu'en 1925 en noir et blanc nous pouvions faire un film aussi fort, sur la réalisation et la mise en scène.
    J' ai beaucoup aimé.
    Vu et revu!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 mai 2009
    Un film novateur (cf. le travelling de l'escalier d'Odessa), des angles de caméra fouillés en passant de plans larges (montrant une force collective) à gros plans (sur des individualités enragées ou terrifiées), une narration appliquée et claire. Une des très grands films des années 20.
    Louis Morel
    Louis Morel

    37 abonnés 850 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 octobre 2012
    Soutenu par une musique grandiose, ce classique est intemporel et immortel, et d'une extrême beauté.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    917 abonnés 4 837 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 août 2016
    Un film audacieux et grand spectacle qui présente différents tableaux assez forts et denses et qui possède un rythme impressionnant. La digue grouillant d’hommes, la terrible scène des escaliers évidemment, les mouvements de foule, mais aussi les moments d'attente et de répit qui annoncent de sombres heures donnent à ce film un éclat assez tragique surtout par rapport à son sujet: la révolution.
    Ti Nou
    Ti Nou

    406 abonnés 3 359 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 août 2017
    Après "La grève", Eisenstein réalise un deuxième film de propagande communiste. La structure et le fond y sont quasiment identiques : révolte des prolétaires puis répression violente par la force policière. Il y ajoute du suspense (le final) et des séquences spectaculaires (la mythique scène de l’escalier).
    Sylvain P
    Sylvain P

    299 abonnés 1 330 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 novembre 2014
    Il serait mensonger de nier que tout spectateur actuel du Cuirassé Potemkine ne vient pas voir et resituer la fameuse scène des escaliers dans son contexte. Cette longue scène est une prouesse technique pour l'époque (avec des travelling complètement nouveau) et constitue une mise en scène destinée à rester dans les têtes : créer une image inoubliable. Le pari est réussi puisqu'elle est devenue l'une des scènes les plus cultes du cinéma, avec une tension et une émotion encore puissante malgré l'absence de dialogues et de son (hormis la musique). Le landau dévalant les escaliers, le petit garçon piétiné, les femmes implorant, chaque personnage a été pensé pour ajouter une marche à la terreur et faire de ce film un film de propagande marquant. Cette partie ne constitue néanmoins qu'une partie sur les 5 que compte le film. Les 3 premières sont certainement un peu plus faibles, car trop marquées par la propagande soviétique. La dernière est en revanche une très belle scène de guerre navale et de fraternité, avec là aussi de magnifiques plans aériens et une musique puissante mêlant la Marseillaise à des musiques russes (du moins dans la version qu'il m'a été donnée de voir). On peut noter également la superbe idée de montrer les 3 statues des lions du théâtre d'Odessa à la suite, l'un couché, le second aux aguets, le troisième debout, pour montrer le réveil du peuple. Ces 3 statues n'étaient-elles pas un ancêtre du cinéma à une époque où l'on ne pouvait créer du mouvement ?
    Charlotte28
    Charlotte28

    90 abonnés 1 731 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 septembre 2019
    Un film de propagande peut être revêtu de qualités esthétiques et techniques! Ici l'épique dynamique s'allie à une vision idéologique pour transposer avec force un épisode historique symbolique pour toute une nation. Certaines scènes marquantes font même preuve d'une grande modernité tant dans leur traitement que dans leur rythmique. Reste que l'émotion ne m'a pas atteinte malgré l'efficacité du reste de la partition. Monument emblématique du cinéma à découvrir!
    Eselce
    Eselce

    1 201 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 juin 2016
    Un film muet de référence et devenue un classique, pour ses idées, la brutalité de ses scènes et l'incroyable aura qu'il s'en dégage. La scène du berceau dans les escaliers sera reprise dans "Les incorruptibles" de Brian De Palma et le film sera une inspiration majeure pour bien des cinéastes. A découvrir.
    Jahro
    Jahro

    43 abonnés 684 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 janvier 2019
    Pas facile à noter, ce Cuirassé Potemkine, œuvre d’art ultime, qui maquille les faits au nom d’une idée, qui soigne sa technique pour le compte d’un message. Commandé pour les vingt ans d'un fait historique, la révolte de 1905, début proclamé du règne communiste, il assume sa nature propagandiste. En substance, on y voit des marins unis contre leur commandement, accusé de sévices et de malnutrition : « Ensemble, tout est possible », se dit le faible, et le miracle a lieu. C’est la victoire des opprimés, le retour en grâce des rabaissés ; et c’est aussi le triomphe de la pensée unique. Gare à ceux qui se mettent en travers. Les traîtres finissent à la baille, ou pris par la foule, condamnés à une mort certaine, hors-champ, loin d’une caméra subitement pudique. A vingt-six ans, le jeune Eisenstein a déjà sa théorie. Il parle de « montage des attractions », un dogme qui veut que le cinéma ne retienne que les plans forts. Alors il applique. Aligne les scènes chocs, appuie les symboles, s’attarde sur des détails pour dresser une grande toile expressionniste grimée en réalisme socialiste. Le rythme est soutenu, suivant la bande-son martiale aux résonances de notre Marseillaise, cet emblème mondial du soulèvement populaire. On assiste ainsi à une forme étonnante de modernité, qui décrit un fond totalement dépassé. Mais c’est un témoignage fort, d’un peuple, d’un temps, et peut-être avant tout d’un grand cinéaste.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 janvier 2020
    De la propagande 1925 venue d’URSS, un cinéma qui fut son instrument de musique opéra renommé mondialement célèbre, une civilisation entière remarquable, d’abord classique, puis intéressante, enfin captivante.
    Cette réalisation chef-d’œuvre est mise en scène dans tous ses états, l’âme politique se ressent dans ce film en noir et blanc muet, c’était l’époque du Léninisme, Stalinisme, Trotskisme, des rivalités entre chers camarades au sein du Parti communiste soviet.

    Le cinéma se laisse emporter en laissant place à l’histoire se passant en 1905, l’empire russe appartient au Tsar, un ancien régime sur le point d’être révolu, société de seigneur, système hiérarchie féodale archaïque, en plus d’être répressif envers son peuple laborieux, misérable, tyrannisé, amenés-les sur le plateau de la révolte.
    Nous montrer comment le bolchevisme en est arrivé au pouvoir à écrire l’histoire russe, en mettant en scène sa dramaturgie vers la révolution anti-tsariste, un film comme un cas d'école pour professeurs, à bord de ce cuirassé Potemkine, de simples soldats aux officiers échelons de l’armée tsariste.

    La distinction des grades se voit en représentation cliché, les supérieurs font du zèle et se mettent en avant, rappellent leurs subordonnés à fermer les yeux, en mangeant de la viande avariée infestée de larves, non des vers.
    Le comble avec certifié par d’expert qualifié scientifique douteux, la mutinerie commencera, le soutien populaire est enthousiaste furieusement, une réalisation qui y participe avec enthousiasme au décor politique effervescente.

    Pose ces images soviétiques choisies précautionneusement basées sur une histoire vraie, regardons un bouquin d’histoire archivé, la romance tournée quelque part à Odessa, se transforme en bain de sang pendant la première tentative révolutionnaire.
    Les forces armées monarchistes injustement braquent sur une foule pacifique protestataire, impuissante devient mouvement en panique face à la force militaire aveugle du tsarisme pure et dur, un ordre exécuté.

    Père, mère et enfant piétiné, dévalent l’escalier descendant à sauver ce qu’on peut, la morale de l’Union Soviétique demanda justice du pourquoi, s’adressant ainsi au Tsar de toute les Russie, seul responsable de la fondation républicaine socialiste bolchevique octobre 1917.
    Ce tableau sacrifice n’ayant plus rien à perdre, dans l’émotion que nous joue pendant une heure de temps qui défile passionnément instructive, impressionnant inspiration de procédé, une modernisation du cinéma, la voix radio 📻retentit son mutisme.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 178 abonnés 7 231 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 septembre 2010
    Une mutinerie éclate à bord du Potemkine (un navire de guerre). Ce qui aurait du être qu'un évènement mineur va en réalité prendre des proportions incontrolables, en s'étandant à toute la ville. En un rien de temps, la petite protestation devient une véritable insurection dans les rues d'Odessa.
    Le Cuirassé Potemkine (1925), qui fut très longtemps considéré comme étant "le plus grand film de l'histoire du cinéma" est aussi l'une des oeuvres les plus amblématiques de la filmographie du réalisateur.
    Le cinéaste met en scène ici une impressionnante révolte, tant du niveau logistique que technique (la mise en scène et le montage). Interprété par des acteurs amateurs (des habitants d'Odessa), l'oeuvre de Sergei Mikhailovich Eisenstein prend vie avec une telle force et une telle crédibilité, que l'on a l'impression d'être au coeur du chaos. Un film très novateur et que l'on est pas près d'oublier (et notamment la célèbre scène du landau, maintes fois reprises au cinéma par Hollywood).
    Flying_Dutch
    Flying_Dutch

    62 abonnés 770 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 décembre 2011
    La force de ce film de propagande soviétique réside dans ses procédés cinématographiques révolutionnaires pour l'époque, la maîtrise du récit et ses séquences à la fois épiques et terribles. Eisenstein marque l'histoire du cinéma grâce à ce film qui est certainement la pièce maîtresse de sa filmographie qui marque les esprits encore aujourd'hui et qui inspire toujours.
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