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    Cube
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    3,3
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    621 critiques spectateurs

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    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 039 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 septembre 2019
    Cube est tout de même un film sacrément vendu de partout; s'il a eu sa période de reconnaissance au sortir des années 90, il semblerait que les années 2000 n'est pas ternie sa réputation, au contraire de nombreux films d'horreur indépendants qui n'auront duré qu'une saison cinématographique. Affaibli de ses deux suites minables, repris par bien des pitchs qui se croyaient originaux par le simple principe repompé de leur idée prétendument neuve (oui, je pense à toi), le premier Cube n'aura pas volé son statut de référence du cinéma d'horreur moderne.

    Il semblerait paradoxalement qu'il tienne moins sa réputation de son horreur que de l'intelligence de son script; maltraité par ses acteurs tous plus mauvais les uns que les autres, il avance cependant une intrigue fantastique, passionnante et bien menée,qui va jusqu'à plonger le spectateur dans un état d'angoisse constant, presque mieux amené par les théories mathématiques que par ses scènes de mort ultraviolentes (avec toujours une réserve de bon goût, et loin des écarts écoeurants d'un Cube 3 sans aucune inspiration).

    Loin du survival/horror classique, il est plus intelligent que la moyenne des séries b du genre : pourquoi tout miser sur la violence et la tension quand on peut développer au maximum l'intelligence mathématique pour perdre simultanément le spectateur et ses personnages? Le réalisateur l'aura bien compris : outre certains effets clipesques qui gênent un nombre heureusement restreint de scènes (principalement au niveau du montage), Vincenzo Natali, poulain de Guillermo Del Toro, gèrera ses ellipses sur fond de réflexion avec une grande maîtrise, perpétuant la longévité du temps qui s'écoule, des effets psychologiques de l'enfermement sur les personnages, et de la destruction de leur physiologie par la soif et la faim.

    Résolument claustrophobe, Cube gâche cependant sa gigantesque énigme par ses défauts pratiquement amateurs : si l'on notera quelques jolis images de mise en scène (et la réussite évoquée plus haut), la réalisation trop typée fin 90 bloquera l'oeuvre dans son temps, brisant quelque peu son effet horrifique à mesure que l'angoisse monte et qu'il se remplit de gimmicks de réalisation propres aux séries b de l'époque.

    Ses acteurs viennent retourner le couteau dans la plaie : tous plus ou moins mauvais, ils actent de surjeu comme d'inexpressivité, la palme revenant à Maurice Dean Wint dans le rôle d'un homme de bien devenu aliéné meurtrier, et qui s'érigera en rempart de liberté face au trio principal, avant de nous laisser dans une incohérence finale monumentale respectant le cliché du double tap, de ces films d'action ou d'horreur qui ne peuvent laisser leur antagoniste mourir simplement, et qui font fit de toute logique pour laisser une trace d'ultraviolence répétée dans l'esprit d'un spectateur souvent lassé de toujours voir les mêmes fins à rallonge.

    Si Alien aura imposé ce plaisir devenu défaut rédhibitoire, Cube n'aura pas lésiné sur l'action dans sa conclusion, qui semble lui servir aussi de justification pour que tout se finisse forcément mal, film d'horreur post années 70 oblige. Ce drame final aura au moins le mérite de nous laisser sur une dernière note satisfaisante, entre lumière éblouissante et symbolisme affiché, métaphore finale d'une critique sociale intéressante qui pourra trouver autant de significations qu'il y aura, finalement, de spectateurs.

    Cube, contrairement à la plupart de ses grands ou petits frères, ne pose pas de réflexion précise régie par un cadre ou un engagement envers un milieu social, politique ou culturel particulier : son pitch n'est qu'un prétexte pour laisser au visionneur l'interprétation de ce que représente ces humains coincés dans le cube, outil indéterminé d'une importance métaphorique cruciale. Que la normalité devienne anormalité suivra bien l'idée qu'on pourra s'en faire : Cube, en inversant les valeurs et les rôles, en prenant un homme handicapé comme élément pivot de l'intrigue, reste certes dans un certain anticonformisme classique, mais permet d'agrémenter la liberté de sa réflexion par les idées personnelles que feront naître ses images à fort impact.

    Pour le féru de mathématiques, il lui permettra de réfléchir sur une énigme d'une heure trente, et de sourire quand il se rendra compte de la solidité de réflexion de son scénario; au littéraire de s'amuser à relever les références psychologiques et philosophiques, quand même balancées avec moins de finesse que ses énigmes mathématiques, démonstration à peine cachée de l'intelligence mathématique de son réalisateur/scénariste.

    Le résultat demeurera cependant le même : dans ce Cube, les spectateurs seront divisés par des idées représentatives différentes, à l'image de ces personnages théorisant sur son origine, de la prison militaire à un enlèvement extra-terrestre, sans jamais trouver d'accord. Au fond blanc final de laisser une ultime touche d'interprétation, que l'on pourra autant qualifier de vide de la vie que de paradis possiblement atteignable après s'être détaché du Cube, soit de l'intolérance, de l'égoïsme et du vice présents dans cette drôle de structure.

    Intéressant, visuellement superficiel mais profondément écrit.
    Nicothrash
    Nicothrash

    300 abonnés 2 964 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 octobre 2020
    Cube de Vincenzo Natali a fait l'effet d'une petite bombe à la fin des années 90, ce thriller de SF en huit-clos s'avère particulièrement original pour l'époque et lorsque l'on met le nez dedans on n'en sort plus jusqu'à la fin. Le budget serré ne se fait pas du tout ressentir, la réalisation étant très propre, la mise en scène ingénieuse fait merveille quant à elle et l'on a hâte de découvrir une nouvelle pièce du cube ainsi que ses pièges bien gores pour la plupart. L'intérêt réside aussi dans le comportement humain face à l'adversité et ce n'est pas toujours bien joli (Saw s'en est sans doute inspiré ...). Le final énigmatique en a gêné plus d'un, pour ma part c'était parfait, preuve en est avec des suites plus explicatives qui ne m'ont clairement pas emballé. Le petit bémol réside finalement dans le casting, assez moyen dans l'ensemble, même si la plupart des comédiens ne nous embêtent pas bien longtemps ... Une très bonne surprise à l'époque qui n'a que très peu vieilli et qui a servi de fer de lance à bon nombre de productions du même genre. Toujours agréable à redécouvrir.
    Incertitudes
    Incertitudes

    177 abonnés 2 320 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 décembre 2018
    Les mathématiques et la philosophie font-elles bon ménage ? C'est dans un film de survie qu'on pose cette question. On aura tout vu. On commence par deux exécutions horribles. Pour la première, ça m'a permis de me rendre compte que Paul W.S Anderson avait tout pompé dans Resident Evil avec les rayons lasers. Soit. On a une clique d'aventuriers devant se sortir d'un donjon. Je veux dire d'un cube. Comme dans tout bon RPG, ils doivent s'entraider, se servir de leurs compétences pour franchir les portes. On a le médecin pour les soins, le flic pour jouer les gros bras, les intellos pros des maths afin de résoudre les énigmes. Oui mais ils ne sont pas fichus de se faire confiance. Plutôt que de se dire "voilà, on est tous dans le même bateau, on fait équipe et ensemble on s'en sortira", chacun cherche à se tirer dans les pattes. Une vision pessimiste d'un groupe d'humains enfermé où c'est le chacun pour soi qui prime. Vincenzo Natali s'amuse à rendre fou le spectateur qui ne s'attend pas une seule seconde à ce que nos "héros" s'en sortent. Que cache la prochaine salle ? Un piège mortel ? Si oui, lequel ? Et où est la sortie ? Est-ce qu'elle existe au moins ? Natali reste vague sur la conception de cette structure, son but et les motivations de ceux qui en sont à l'origine. Il en va de même pour les victimes. Comment ont-elles été sélectionnées ? Est-ce qu'elles ont toutes quelque chose à cacher comme celles d'un autre huis-clos célèbre, le roman Dix petits nègres ? A chacun de se faire sa propre opinion car ce mystérieux cube est loin d'avoir dévoilé tous ses secrets.
    pierrre s.
    pierrre s.

    363 abonnés 3 240 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 avril 2017
    Je gardais de ce film un bien meilleur souvenir. Car à part une idée originale excellente et un bon décors il ne reste pas grand chose. Tout est plombé par des acteurs moyens et des dialogues assez faibles. Vraiment dommage.
    gnurff
    gnurff

    21 abonnés 283 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 juillet 2007
    Petit budget, petit decor, petit acteur ... et grosse surprise !

    Ce film ne se decrit mais est à voir absolument juste pour rejoindre ceux qui aiment et ceux qu'aiment pas !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 17 décembre 2009
    Des personnes dans une piece, on ne sait pas ce qu'ils y font et on ne le saura jamais. NUL
    Hotinhere
    Hotinhere

    433 abonnés 4 768 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 juin 2020
    Un huit-clos au scénario inventif et énigmatique qui aurait pu être un grand film s'il n'était pas plombé par une réalisation, des dialogues et une interprétation dignes d'une série B.
    Stephenballade
    Stephenballade

    358 abonnés 1 236 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 février 2016
    On pensait que le genre puzzle-game-survival était né au XXIème siècle, avec des productions du genre de "Saw" (de James Wan), de "Hunger games" (de Gary Ross), de "Le labyrinthe" (de Wes Ball), ou encore de "The killing room" (de Jonathan Liebesman), eh bien que nenni ! "Cube" répond à ce concept de film fantastico-horrifique, et il date de 1997. Bien sûr, j’en ai entendu parler, et j’ai enfin consenti à le découvrir après avoir longuement hésité, définitivement séduit par la saga "Saw", dont le scénario se passe sur 7 épisodes. Mais je reviens à mes moutons, en l’occurrence à ce "Cube". Conformément à ce que certains m’avaient dit, ce film canadien n’est pas si mal que ça en fait. Doté d’un budget minimaliste de 350 000 $, cette production a été tournée dans un seul et unique décor, mesurant 4,30 mètres sur 4,30 mètres, et dont les parois étaient équipées de films de gélatine interchangeables pour pouvoir changer aisément de couleur, permettant ainsi un éclairage tamisé. Le huis-clos nous présente un environnement restreint, étouffant, lourd, inquiétant, et mystérieux. La surprise ne tarde pas à venir avec le premier personnage, et là, on veut forcément savoir ce qu’il en est. Nous sommes confrontés assez rapidement à un regroupement de personnages très différents les uns des autres, qui ne savent pas plus que nous où ils sont précisément, ni pourquoi ils sont là. Le fait est que "Cube" ne donne pas vraiment de réponse, ce qui est assez frustrant, je dois l’avouer. A moins que des éléments de réponse nous soient donnés dans la séquelle donnée 5 ans plus tard, et/ou à travers la préquelle de 2004, nous restons sur notre faim ! Le jeu d’acteur n’est pas très convaincant, voire médiocre, et je soupçonne que le doublage français n’y est pas totalement étranger. Cependant la plupart des comédiens en fait des tonnes, notamment Maurice Dean Wint dont le jeu m’a paru un peu exagéré et relativement cliché. Seuls David Hewlett (Worth), Andrew Miller (Kazan), et dans une moindre mesure Nicole De Boer, parviennent vraiment à tirer leur épingle du jeu, sans réussir à atténuer ces petits bémols. Néanmoins, par le biais de cette tension suscitée par la claustrophobie elle-même provoquée par l’enfermement dans un lieu inconnu pour des raisons inconnues par des personnes à priori inconnues, nous découvrons les différentes facettes de la psychologie humaine. Et c’est presque là que c’est le plus effrayant. Bien que le final laisse perplexe, le résultat a son effet, et remplit parfaitement son contrat, à savoir tenir en haleine le spectateur tout au long de cette (bonne) série B. spoiler: Mention spéciale à l’équipe technique qui a su optimiser l’environnement du lieu de tournage, comme les vibrations provoquées en réalité par la proximité immédiate du chemin de fer, transformées en trépidations d’une grande mécanique en mouvement et qui me fait penser à un immense Rubik's cube habité, d'autant plus que nous y retrouvons toutes les couleurs de ce jouet connu de tous.
    DaeHanMinGuk
    DaeHanMinGuk

    151 abonnés 2 223 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 mars 2016
    De très bonnes idées dans ce film spoiler: (caractéristiques et complémentarité des personnages à la façon d'un jeu de rôle, pièges machiavéliques, perte de la notion du temps et de l'orientation pour les personnages...)
    même si les théories mathématiques de la fin du film sont un peu nébuleuses (désolé, je n'ai pas tout compris car je n'ai qu'un BAC 5 en informatique !!!).
    La scène d'introduction du film est vraiment grandiose : on rentre instantanément dans le film !
    Par ailleurs, les personnages sont complexes à souhait et le suspense relativement bien entretenu...
    Mais le film traîne un peu en longueur (la monotonie des décors y est pour beaucoup !) et aurait certainement davantage fait un très bon moyen ou court-métrage.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 octobre 2007
    Cube n'est pas simplement un film esthétiquement porté sur la peur du futur et du combat intérieur avec la technologie. Il est l'expérience d'une lutte métaphysique sur la perte et la recherche de son identité. Mais Cube reste avant tout une expérience humaine inoubliable dont l'une des célèbres citations de Jean Paul Sartre : "l'enfer c'est les autres", nous en donne une certaine interprétation. C'est un coup de maître magistralement inoubliable.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 21 août 2010
    Je m'attendais à un bon film, et je comprends pas les bonnes critiques qu'il a reçu. Le film est mou, et pourtant partait d'une bonne idée. Le plus intéressant était de voir les différents pièges et de savoir comment les contrer, et ben nan, dès le début ils comprennent comment les éviter, et un seul se prend un piège dans la gueule (sans contrer celui de l'intro).
    Et la fin du film est une véritable blague, dans le genre "Bon c'est la fin j'ai la flemme de finir je vais la bacler" j'ai rarement vu mieux.
    Aucune explication sur ce "cube", d'où il vient ? C'est quoi ? Pourquoi l'a-t-on créé ? ...
    Sinon les 15 premières minutes du film sont pas mal quand on sait pas qu'on va être déçu par la suite.
    Audrey L
    Audrey L

    562 abonnés 2 426 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 juin 2017
    Moyennement convaincue, je conviens tout de même de l'ingéniosité du scénario qui est original, se renouvelle avec une aisance déconcerte lorsque l'on pense que l'on regarde pendant plus d'une heure des personnes dans des pièces froides et identiques, ce qui pourrait ennuyer très rapidement. Mais Cube ajoute à cela des intrigues secondaires bienvenues : y a-t-il un traître parmi les "victimes" du Cube ? Pourquoi elles ? Les chiffres des pièces ont-elles des significations ? Les différentes théories et les essais sur ces chiffres sont bien vues et permettre de montrer que le scénario a été réfléchi un minimum tout de même pour un huis clos angoissant qui aurait pu tomber dans la facilité. En revanche, ce qui fonctionne nettement moins bien dans Cube, c'est le manque de moyens. Ironiquement, ce n'est pas la faute de l'équipe du film s'il n'a pas bénéficié de plus de financement, mais cela se ressent dans le jeu des acteurs (qui font très peu professionnels et parodient parfois les expressions de terreur, ce qui est vraiment dommage), dans les effets spéciaux (même pour l'époque il y avait bien plus propre et soigné...) et dans une fin incompréhensible. Certes, il y a des suites qui l'expliquent, mais lors du visionnage de ce premier opus, nous ne les connaissons pas et on se retrouve bien ignorants devant cette fin sans queue ni tête... Si l'on réfléchit sur la sage, il n'y a aucun problème, mais à l'échelle de cet opus seulement, cela ne fonctionne pas. Les pièges ne sont pas tous très effrayants, voire prévisibles. Un film en demi-teinte qui vaut surtout pour son scénario original et réfléchi.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 14 février 2016
    « Cube » est un bon film de science-fiction, saupoudré d’une pointe d’horreur, avec un scénario correct, mais une mise en scène catastrophique, faute à des dialogues d’une banalité et d’une convenance déconcertantes. Les acteurs sont assez moyens et apparaissent parfois à la limite de surjouer certaines scènes. Par contre, on peut souligner l’originalité du graphisme des décors et de la structure dans laquelle les protagonistes doivent évoluer. Résolument, un film qui a mal vieilli …
    Shékiinä .
    Shékiinä .

    43 abonnés 678 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 décembre 2012
    Le genre de film à voir une seule fois, pas plus. Il a un peu vieilli, qui plus est, on connaît l'intrigue comme nos pieds maintenant qu'on y a vu toutes les ficelles. L'intrigue à la base étant mince comme du fil dentaire. Alors, Cube, l'idée de départ est ingénieuse : mettre plusieurs personnes qui ne se connaissent pas et aux caractères différents dans un espace clos (un cube gigantesque) ainsi que semé de danger, c'est vraiment passionnant, j'ai suivi ça avec intérêt. C'est dans des situations pareilles, en étant enfermé 24h/24 avec les mêmes personnes (exemple, les émissions de télé-réalité), qu'on apprend sur soi-même, sur les autres, et la vraie nature de chacun se révèle également : qui sera le plus perspicace intellectuellement ? Qui sera égoïste ou altruiste dans ces moments-là ? Qui sera le plus résistant physiquement ? Autant de questions que l'on se pose. L'union fait la force comme on dit, c'est en rassemblant les idées et grâce aux particularités (intellectuelles ou non) de chacun qu'on avance. L'éclairage est superbe, il y a une ambiance fantastique, de rares moments de suspense, chaque pièce a été plus ou moins travaillée, puis, les acteurs s'en sortent convenablement (en même temps, vu le genre on attend pas non plus d'eux une interprétation digne d'une nomination aux oscars). Le scénario est ingénieux donc, par contre c'est dommage, je m'attendais à plus d'originalité dans les pièges, le film passe trop vite aussi, on ne sait toujours pas d'où ils viennent et comment ils s'en sont retrouvés là. La fin est expéditif et mal fichue, il y a un goût d'inachevé, pourtant l'idée de départ est bonne.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 260 abonnés 7 255 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 septembre 2007
    Tourné avec très peu de moyens, dans des décors relativement restreints et avec des acteurs amateurs, Cube (1999) séduit, par son originalité, ses astuces et sa débrouillardise. Avec pourtant un scénario relativement mince au départ, Vincenzo Natali (Cypher - 2003 & Nothing - 2007) nous tiens en haleine tout au long du film, en rajoutant par moment, quelques touches de mystère et une pointe d’horreur dans un univers de science-fiction !
    Confronter des inconnus dans un milieu aseptisé, hostile et mystérieux, est une très bonne idée. Cela nous permet de les voir évoluer, et gérer les situations de crises face au danger qui les guettent.
    Un scénario malin et casse tête, qui malheureusement nous laisse sur notre faim, une fois le film terminé !
    A quoi doit-on s’attendre avec les autres volumes de la saga Cube ? C’est à découvrir dans Cube² : Hypercube (2003), qui comme le premier, a bénéficié d’une sortie cinéma, contrairement au troisième opus, qui s’est contenté d’un direct to video : Cube Zero (2004).
    Entre logique et esprit d’équipe, Cube surprend par sa capacité à créer une certaine forme de démence chez ses protagonistes et par sa faculté à rendre fou quiconque s’aventurerait à essayer de comprendre la face cachée qui s’immisce au cœur du film !
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