Le Journal d'une femme de chambre : Critique presse
Le Journal d'une femme de chambre
Note moyenne
4,0
4 titres de presse
Le Monde
Libération
Télérama
Critikat.com
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
4 critiques presse
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Invisible depuis des années, un rien ignoré par Renoir lui-même à cause de son insuccès, "Le Journal d'une femme de chambre" nous apparaît comme une révélation.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Didier Péron
Les rapports entre la servante, Célestine, et ses maîtres, les bourgeois normands Lanlaire, permettent à Renoir d'opérer, disait André Bazin, "la synthèse du comique et du drame".
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Pierre Murat
(...) le personnage le plus fascinant reste le majordome (...). Le cinéaste le fait mourir un soir de 14 Juillet : tout un symbole !
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Clément Graminiès
Du réalisateur politiquement très engagé et définitivement entré au panthéon des plus grands du 20e siècle depuis sa farce tragique sur les rapports de classe ("La Règle du jeu" en 1939), on pouvait espérer une adaptation au couteau.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
AlloCiné
Le Monde
Invisible depuis des années, un rien ignoré par Renoir lui-même à cause de son insuccès, "Le Journal d'une femme de chambre" nous apparaît comme une révélation.
Libération
Les rapports entre la servante, Célestine, et ses maîtres, les bourgeois normands Lanlaire, permettent à Renoir d'opérer, disait André Bazin, "la synthèse du comique et du drame".
Télérama
(...) le personnage le plus fascinant reste le majordome (...). Le cinéaste le fait mourir un soir de 14 Juillet : tout un symbole !
Critikat.com
Du réalisateur politiquement très engagé et définitivement entré au panthéon des plus grands du 20e siècle depuis sa farce tragique sur les rapports de classe ("La Règle du jeu" en 1939), on pouvait espérer une adaptation au couteau.