Derniers Avis : Le Monde Perdu : Jurassic Park - Page 3

Je ne comprend pas les critiques négatives. J'ai vu tous les Jurassic Park et World et tous au cinéma(sauf Jurassic World 1 à la télévision). Franchement je trouve qu'il est génial. Il y a une richesse de jeu de grands acteur (Sam Neil, Laura dern , Jeff Goldblum , Chris Pratt et de nouveaux acteurs qui ont vraiment du talent). Un film "humain" oû l'écologie et les émotions ont leur place. Des actions rondement menée. Bon évidemment cela reste un blockbuster. C'est pas un documentaire sur les fleurs...mais ça reste intéressant, captivant. Peut-être quelques erreurs sur des dinosaures comme celui qui balance du poison et la mauvaise vue des tyrannosaures qui vont aussi vite qu'une moto à fond(faut pas exagérer) alors que c'était un animal lourd , massif et pas si rapide mais qui voyait très très bien. Si on laisse de côté ces "approximations historiques" et quelques invraisemblances scénaristiques faites pour réunir sur un plateau les acteurs stars de cette série de film dont certains un peu secondaire et inutile comme Omar Sy, on passe un bon moment et malgré la durée c'est bien "rempli" et ça ne tire pas en longueur. J'espère une autre trilogie basé sur moins d'invraisemblances et sur les nouvelles découvertes de la science. Peut-être plus centré sur les dinosaures.

Les effets spéciaux sont toujours aussi réalistes : quelle prouesse technique pour l'époque ! Une BO toujours autant teintée d'aventure. Le suspens et la tension sont de mise au début mais s'estompent, à notre plus grand regret, à la vitesse de l'éclair pour laisser place à une pâle copie.
En clair, c'est toujours aussi bien fait et le suspens et la tension sont partiellement au rendez-vous même si on ressent déjà une certaine lassitude du fait de l'absence de renouvellement. C'est une resucée très scolaire, dénuée de magie et sans effet de surprise. Ce deuxième volet ne passera pas à la postérité !

très bonne suite
très bon effet speciaux.
merci à vous steven Spielberg c'est vraiment une saga spectaculaire et des acteurs très excellent et très drole

Le premier opus était magistral pour diverses raisons que j'ai cités dans la critique que j'ai déjà publié. Pour cette suite la tâche était donc très ardues même pour le maître Spielberg. Ce film à pas mal de mauvaises critiques qui l'entoure mais je dois avouer que personnellement j'adore "Le Monde Perdu" et je l'adorerais toujours malgré ces défauts, pour la plupart, scenaristiques. Car le scénario n'est pas vraiment cohérent sur certains aspects avec l'original (John Hammond qui prétend que les dinosaures naissent sur une seconde île) et un manque de logique cinglant sur une scène en particulier(si quelqu'un peut m'expliquer comment l'équipage du cargo est mutilé à ma fin ?). Mais cette suite est plus spectaculaire, plus violent, plus sanglant que le film de 1993. Quant à la réalisation on sent que Spielberg s'est fait plaisir (incroyable scène de la caravane au bord de la falaise). Bien sur rien ne peut égaler "Jurassic Park" mais je trouve que cette suite s'en sort avec les honneurs en plus d'être très divertissante.

On retrouve l'excellent Jeff Goldblum dans cette suite un peu incontournable 4 ans après. Mais cela introduit aussi une thématique qui sera trop récurrente par la suite des gentils ballotés en mode survie et des méchants qui finiront forcement par se faire bouffer.

Après le chef d'oeuvre absolu que constitue le premier volet, force est de constater que cette suite n'est pas à la hauteur! Bien que maître Steven ait décidé de rempiler et que le film soit toujours techniquement parfait, on est ici davantage dans la surenchère et l'opportunisme que dans la magie opérée par le premier film! Ramener les dinosaures en ville c'est le scénario mégalo qui répond autant à la question de faire différend du premier qu'à la question de faire plus spectaculaire que le premier! Ici on est donc dans le pur film de monstres catastrophe, façon Godzilla, sans grandes subtilités et venu pour tout casser!

Ce second volet de la série des "Jurassic Parc" ressemble davantage à un film d'action, à mi-chemin entre "Predator" et " King Kong". La chasse aux dinosaures se transforme très vite en chasse à l'homme et la dernière demi-heure voit l'arrivée du T-Rex à San Diego. Malgré quelques longueurs et incohérences, "Le Monde Perdu" coche toutes les cases du divertissement mais moins de celles qui concernent l'originalité.

Outre le brio de la mise en scène de Steven Spielberg, le film recèle de multiples éléments qui le rendent passionnant.
D’abord, il s'agit d'un film de jungle, un vrai, qui n'est pas sans évoquer King Kong avec son bateau qui ramène le T-Rex à la fin pour en faire une attraction de foire.
Ensuite le scénario qui gère ses rebondissements en séquences d'anthologie, mais aussi une multitude de personnages (beau travail de David Koepp, qui est potentialisé par l'histoire de Michael Crichton), avec une contribution importante grâce à son humour ironique du personnage de Jeff Goldblum; il aide grandement le film. Les autres personnages étant très fonctionnels. La séquence d'anthologie est celle qui implique les deux T-Rex et le camion qui tombe dans le vide. Séquence d'anthologie qui fonctionne dans sa durée avec ses multiples rebonds.
Du côté des effets spéciaux, qu'ils soient numériques ou devant caméra, pour donner des tyrannosaures impressionnants, ils assurent le spectacle et égaient l’œil. Et nous constatons que les effets devant caméras produisent quelque chose de plus impressionnant, plus carné, que les dinosaures tout numériques, qui finalement font toujours dessin animé, et font numériques. Mais ce n'est pas grave, car le King Kong (1933) de Merian C. Cooper et Ernest B. Schoedsack est une marionnette animée, et cela fonctionne parfaitement.
Le type casting fonctionne à merveille, ceux qui ne sont pas rasés, les chauves, les adipeux, les cheveux longs, les porteurs de lunette, meurent inexorablement. À l'exception de Pete Postlethwaite, qui est chauve et britannique, qui ne sera pas une victime du T-Rex, mais une victime de lui même. Bonne idée, car le personnage possède un peu d'empathie.

Deuxième et dernier volet de la saga Jurassic Park réalisé par Spielberg, Le Monde Perdu est nettement en dessous du film sorti 5 ans plus tôt. De bonnes idées dans la mise en scène (notamment dans les hautes herbes ou le soldat qui s'est enfoncé seul dans la jungle). Après une excellente introduction, le film fait un peu redite. Nouvelle ile, enjeux et personnages différents mais pourtant on retrouve sans cesse des similitudes avec le précédent. Les deux scènes d'action principales, les protagonistes face aux T-rex puis aux vélociraptors, ne tiennent pas la comparaison avec celles du premier Jurassic Park. Les personnages moins réussis, moins attachants, plus manichéens. Le scénario est marqué également par des facilités qui étaient moins présentes sur le précédent et la fin m'a pas mal désintéressé car trop prévisible. Dommage car sinon de bonnes idées et une suite globalement réussie pour ceux qui ont aimé comme moi Jurassic Park 1.

"Le Monde Perdu" est une suite inférieure au premier "Jurassic Park". Les plus gros point faibles de ce 2ème volet conçerne avant tout son scénario, étrangement structuré, bourré d'incohérences (David Koepp n'est pas le meilleur scénariste et cela s'est confirmé avec Indiana Jones 4). Puis ses personnages, bien loin d'égaler le charisme des 3 personnages prinçipaux du 1er film (même Jeff Goldblum, maintenant tête d'affiche est moins savoureux). Plus sombre, plus violent, ce volet réserve quand même des séquences très réussites graçe au savoir faire de Spielberg (l'attaque des 2 T Rex, la chute d'eau, les hautes herbes...). Les effets spéciaux sont plus réussies (on garde les superbes animatroniques de Stan Winston). Le nouveau thème de John Williams est pas mal, sans égaler celui du premier film. On oublie le subtil mélange entre émerveillement et frayeur pour se conçentrer avant tout sur l'action et le spectaculaire (ce fameux final à San Diego). Spielberg n'était pas aussi impliqué et cela se ressent. Une suite plaisante, bourré d'action, de séquences horrifiques marquantes et une variété de dinosaures encore plus riche que dans le premier film. Du très bon divertissement !

Sympathique, une suite où la 3D était plus aboutie et dont le scénario tenait la route mais il n’amenait rien de particulier de + au classique qu’était le 1er

Le moins bon de la trilogie, dû a un manque d'acteurs charismatique, une réalisation Fade et des incohérences de tailles de Dino.. et une ado insupportable !!!!!

Après le fiasco Jurassic park dont j’ai fait ma critique j’ai enfin pu lire Jurassic park de Michael crichton (vu que j’étais assez grand pour le lire) donc ouais c’était plutôt pas mal même si je préfère le film après j’ai vu que ceux chère Michael a aussi publié un livre sur la suite le monde perdu et juste après j’ai appris que le film le monde perdu : Jurassic park et sortit je l’ai vu et j’ai plutôt aimé même si se film ne ressemble pas trop au premier il y’a pas de magie pas vraiment de scène drôle mais au niveau de l’action aventure je dis chapeau même si c’est plutôt dommage qu’on voit pas trop les couleurs des dinosaures a cause de la nuit mais sinon j’ai bien aimé ceux film donc je lui mais une note de 4.5 étoile

pour moi le monde perdu jurassic park se démarque beaucoup du premier avec son coté beaucoup plus sombre et plus horrifique par moment tout comme fallen kingdom . ont a plus le coté émerveillement du premier jurrassic park mais cela reste une suite jurassic impressionnante avec des dinosaures toujours aussi réalistes

En réalisant lui-même la suite de son chef-d’œuvre, Steven Spielberg propose un deuxième volet qui prend le contre-pied de son modèle ; il a parfaitement compris que le mystère lié à la découverte du parc et des dinosaures ne pouvait fonctionner une seconde fois, opte alors pour une formule tout autre par le croisement de différents genres : le blockbuster catastrophe sur fond de complot opposant scientifiques et milliardaires véreux, le film de chasse rejouant la séquence fameuse de l’excellent Hatari ! (Howard Hawks, 1962), le film de procès interrogeant les droits de ces créatures issues de transformations humaines et la responsabilité de leurs géniteurs, le drame familial puisqu’il s’agit de retrouver une unité entre trois individus séparés, trajectoire doublée par le rapt répété deux fois du bébé dinosaure à ses parents.

Dès lors, que le long métrage paraisse moins maîtrisé du point de vue de son scénario et de sa mise en scène résulte certainement de ce conglomérat de genres qu’il s’agit de domestiquer en une forme unie et cohérente : il explore l’univers Jurassic Park sous différents angles, quitte à négliger les transitions, à expédier des séquences qui l’intéressent peu – et que de nombreuses coupes segmentent. Surtout, Steven Spielberg manifeste un plaisir malicieux à perturber les projets des hommes d’affaires, à déranger la vie rangée de San Diego comme un enfant dérange sa chambre : la projection d’un bus dans la devanture d’un vidéoclub nous laisse quelques secondes pour apprécier les reproductions parodiques d’affiches fantaisistes, notamment une offrant Arnold Schwarzenegger au roi Lear… L’humour gamin de Spielberg puise dans celui d’un Joe Dante, ami et associé du cinéaste ; il se retrouve à différents moments, et cela dès l’ouverture par la transition désabusée entre le cri d’une mère et une affiche publicitaire devant laquelle s’active le professeur Ian Malcolm, devenu entre-temps un personnage médiatique ridiculisé.

Les séquences de tension demeurent saisissantes, qu’il s’agisse de la marche des « exilés » dans les hautes herbes, de l’attaque du véhicule scientifique qui finit suspendu dans le vide ou des flâneries destructrices du tyrannosaure dans la ville tel King Kong. Une petite réussite.