Derniers Avis sur L'Ascenseur

Une série B assez typique de l époque vidéo club qui avait vu défiler nombre d objets maudits ou assassins. Ici c est un ascenseur qui va décimer ceux qui ne sont pas prêt à dépenser leur 380 kilocalories quotidiennes en prenant les escaliers. Le film manque de situations variés et le pitch un peu bizarre tourne rapidement en rond. Reste tout de même un ou deux effets réussis et quelques moments de suspens. L ensemble a quand même vieilli et aurait sûrement été plus efficace en moyen ou court métrage.

excellent film d'horreur d'époque. les personnes qui disent qu'il a mal vieilli, je ne les comprends pas, il faut noter comme si on le regardait à sa sortie

Le film n'a sommes toutes pas trop mal vieilli pour un film de l'époque. Cela se regarde assez facilement et l'a petite intrigue de ce film est assez prenante. Le scénario est assez originale. Petit film sympathique.

Un classique. Scénario très bien. Très bon acteur. Niveau frisson au top pour l'époque contrairement à maintenant.

Une petite production Hollandaise que l on aurait pu penser ne pas être 1ere du nom mais qui sera 1ere du nom, suivie bien plus tard d un remake etc... Ou auparavant on avait eu Christine... et bien d autre objet que je ne saurais tous les citer. Mais qui ici se veut simple, avec un petit synopsis qui arrive a proposer quelques surprises, rebondissements etc... Et pour l époque (plus de 30.ans...), propose quand même une sorte de huit clos et quelques scènes chocs. Bref pas inoubliable, mais une série que les cinéphiles du genre. Connaissent bien souvent. Évidemment une restauration ne ferait pas de mal, car il a quand même pas mal vieillit. Mais ou je me souviens, pour mon jeune âge, avoir tout de même quelques surprises... Pour se faire un petit moment de nostalgie, pourquoi pas.

Un film américain moyen classique série B et ..... euh non non, en attente depuis l’appel du bouton de l’ascenseur pour monter, entrer dedans, ça tombe en panne, puis voir sous cette mise en scène .....néerlandaise
On repose nos neurones chez cet objet non identifié originaire d’un pays européen, les Pays-Bas font leur cinéma, pas américain, ainsi que l’on découvre l’horreur avec ces visages d’ange céleste hollandais, se transforme en une intrigue spirituelle démoniaque, diabolique

L’enfer s’ouvre par cette porte automatique électricien réparateur enquête policière, il ne faut pas l’emprunter les acteurs et actrices néerlandais fêtards, ohhh chiche kebab frites burrito commande sandwich !!! Nous spectateurs, craignant rien
Il y a de la magie noire dans ce film qui aura droit à son remake, comme le cinéma français, tout juste de terminer d’écrire un article de presse moyenne, sur le sujet de la réparation risquée, pour dépanner cet ancêtre archéologique archaïsme technologie de pointe qui s'adapte en 1983

Se branche au générateur pile électron central cerveau et incident court-circuite, téléphone d’urgence détection d’anomalies non interventions humaines, serait-ce trop tard ? On meurt de faim après le visionnement
Étouffant de canicule depuis que la climatisation est hors-service, marche plus plus moins moins........ à fond le mécanisme de l’appareil ! La promotion préventive vous l’avait dit, plus qu’un accident troublant reporté, ouais c’est incompréhensible.......

Faut vraiment être malvoyant pour tomber dans le piège du vide sidéral, c’est encore le coup de l’escalier, bientôt le retour du scénario horrifique angoissant de prendre De Lift danke thank you, wait and see in the USA Air America-Netherlands KLM know !......... voyage voyage plus loin que la nuit et le jour, voyager où la récompense est au festival

Petite production horrifique qui nous provient des Pays-Bas, "L'ascenseur" a acquis, depuis sa sortie dans les années 1980, le statut de film culte. Pour ma part, il s'agit d'une oeuvre pas franchement très marquante, car l'histoire se résume à bien peu de chose et le casting fait une performance assez moyenne. Reste que Dick Maas fait preuve d'un certain talent dans sa mise en scène qui propose pas mal de suspense.

La film varie énormément en qualité. Parfois débile, de mauvais goût, captivant et même prenant, ce sera la déception qui aura le mot final. Le scénario, bien que tordu, est assez bien construits. Le problème principal, c'est d'avoir choisi d'utiliser les codes du cinéma d'horreur pour un ascenseur qui fait des siennes. On en vient même à ce demander si ce film a été fait sérieusement, ou juste pour la déconne... Mais le pire, c'est la musique, elle est tout simplement pitoyable et rend beaucoup de scènes ridicules. Soit, c'est pas encore désagréable à regarder, c'est même plutôt distrayant.

Second visionnage et seconde déception pour ce film, réalisé par Dick Maas et sorti en 1983. En même temps, qu'attendre de plus d'un film d'horreur sur un ascenseur mortel ? Car, comme le titre l'indique si bien, nous sommes ici confrontés à un ascenseur d'un grand immeuble qui tue des gens. Ça sent le nanar à plein nez mais pourtant le film à des intentions plutôt louables et intelligentes. C'est-à-dire que ce n'est pas qu'un film sur un ascenseur tueur, on peut voir le film comme une parabole de l'ennui mortel du monde moderne et de la peur qu'il entraine avec cette tour impersonnelle qui avale littéralement ses occupants. Car oui, l'ascenseur ne se situe pas dans n'importe quelle tour, c'est un immeuble regroupant diverses résidences très chères mais également un restaurant, un cabinet de psychologie, des bureaux de sociétés, une agence immobilière etc., plein de choses finalement directement rattachées au capitalisme et, encore une fois, au monde moderne. Surtout dans les années 80, décennie durant laquelle se développe ce sentiment de richesses mais également de réussite sociale. Alors oui, ça montre que le film n'est pas totalement vide mais alors qu'est-ce que c'est lent ! Effectivement, je dois bien avouer que je me suis bien ennuyé, notamment car les personnages sont ultra caricaturaux (il suffit de voir la scène d'introduction) mais également plus simplement car il ne se passe pas grand-chose ! En même temps, on parle d'un ascenseur qui tue des gens donc on a très vite fait le tour quoi. "L'Ascenseur" est donc un film à la mise en scène soignée, qui amène un propos loin d'être inintéressant mais qui reste dans l'ensemble beaucoup trop mou.

L’Ascenseur, le premier du nom, pas le remake, est un métrage que je voulais voir depuis longtemps, sans le trouver, et puis un jour, le voilà ! Bon, ben une petite série B qui a vieilli, qui n’est pas forcément captivante, mais qui se laisse voir avec plaisir.
Le casting ne dira surement pas grand-chose à grand monde, avec des acteurs méconnus qui restent ici honorables, mais sans plus. Les interprètes restent corrects, mais ils ne se transcendent pas vraiment, dotés il est vrai de personnages peut-être réalistes mais pas forcément du coup ni très charismatique ni très entrainants. On les suit mais sans plus. On regrettera aussi qu’en dehors des personnages principaux l’arrière-plan ait été un peu délaissé, notamment niveau méchant humain. Là-dessus il y avait de quoi mieux faire, ce dernier nous gratifiant de quelques apparitions manquant de saveur.
Le scénario repose essentiellement sur l’ascenseur en question. Peu de digression, tout tourne autour de l’ascenseur. Cela est assez louable, car ça maintient un rythme honorable, cela nous permet quand même d’avoir quelques scènes très réussies, et on n’a pas l’impression d’un surgonflage artificiel de l’intrigue. Pour ma part l’ensemble se laisse voir avec un certain plaisir, mais je regrette la fin, qui se veut assez grandiloquente sans avoir les moyens de la proposer, et on aurait pu se contenter d’une explication plus sobre et toute aussi crédible. Reste de bons moments de tension et de suspens.
Dick Maas convainc en fait principalement sur la forme. Malgré un petit budget on sent un vrai sens de la mise en scène (la scène de la petite fille), et les meurtres sont très bien faits. Là-dessus gros point, doublé par une photographie travaillée, principalement en matière d’éclairage et de lumière. Les décors restent un peu faibles, faute de budget sans doute, et on restera un peu sur sa faim si l’on attend des effets horrifiques. L’Ascenseur reste sobre en la matière, un peu plus de piquant n’aurait pas été de refus, tout comme pour la musique. Celle-ci reste sur les classiques planants des années 80, un peu d’audace aurait pu être sympathique.
En conclusion L’Ascenseur premier du nom a été très largement récompensé à sa sortie, aujourd’hui on peut dire que si c’est un film qui reste de qualité, tout n’est quand même pas, loin de là, parfait. Après on peut dire que c’est le manque de budget, mais Maas n’a pas vraiment fait un remake au-dessus de son film de 1983 avec pourtant plus de budget et en suivant la même trame, ce qui signifie donc que ce n’est pas là qu’il faut chercher les défauts principaux. 3.

L'ascenseur est un film d'horreur original, sympathique et beaucoup stressants que tous ces films de posséssions (Possédée, Devil inside, L'exorcisme d'emily rose, Insidious et j'en passe) complètement ratés. Les effets spéciaux sont magnifiques, juste vers la moitié du film cela manque cruellement de rebondissements.

original, effets spéciaux réussis, malgré un manque de rebondissements j'ai accroché au film

Objets inanimés avez-vous donc une âme ? Au-delà du frisson garanti et de quelques scènes marquantes, l'ascenseur est une belle réflexion sur le quotidien qui tue à petit feu, les objets usuels comme les habitudes, le lieu de travail comme la vie conjugale. A li'instar d'un camion dans Duel ou d'une voiture dans Christine, c'est ici un moyen de transport plus discret, s'inscrivant dans une verticalité jouissive et dans nos quotidiens qui met les nerfs à vif parce que dans un ascenseur devenu fou, on est aussi démuni que dans un avion affrontant de fortes turbulences, y a t-iil autre chose à faire que… prier pour qu'on en sorte vivant. Dick Maas prouvera d'ailleurs avec le petit mais sympathique Amsterdamned qu'il a aussi bien la comédie que la terreur dans la peau Logique quand on a bien appris ses classiques et qu'on sait par l'humour, la distance, la réflexion, comment les mettre intelligemment en valeur. Maas est un cinévore, un vrai !

Si cette œuvre est originale, c'est de par son thème. Si cette œuvre est magique c'est surtout parce qu'elle prend un malin plaisir à ne pas respecter les codes en vigueur dans ce genre de réalisation, du coup les surprises en sont vraiment et le suspense fonctionne comme il se doit. Une référence incontournable du film d'horreur que le réalisateur améliorera 19 ans plus tard dans son remake hollywoodien.

C'est un film particulièrement mauvais, amorphe, pas de rythme et pas de trame. Minable ? Non, c'est l'époque qui voulait ça. Et la qualité de l'image et du son n'arrange rien, c'est du mono de chez mono.