la preuve que le cinéma de Lynch n'a pas été que bénéfique : il a inspiré la branchitude postmoderne la plus abjecte, comme ce court métrage nauséabond, sans intérêt sinon une masturbation formelle très "private joke". le plus drôle étant que, sous des apparats infiniment trompeurs d'innovation, il n'y a aucune expérimentation véritable, tout y est fondamentalement convenu, sage et académique.