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    Sulla strada di casa
    Sulla strada di casa
    Date de sortie inconnue | 1h 23min | Drame
    De Emiliano Corapi
    Avec Donatella Finocchiaro, Daniele Liotti, Vinicio Marchioni
    Spectateurs
    3,2 2 notes
    noter :
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    Synopsis

    Alberto est un petit chef d’entreprise insoupçonnable qui accepte de transporter de la drogue pour éviter la faillite. Alors qu’un « voyage » se prépare, des hommes armés s’introduisent chez lui et séquestrent sa femme et ses enfants. Ils lui ordonnent de leur rapporter la précieuse marchandise au lieu de la livrer à l’endroit prévu. Alberto n’a pas le choix, il doit céder à ce chantage. Il se trouve malgré lui pris dans un jeu qui le dépasse et qu’il ne comprend pas. Une fois arrivé à destination, les choses ne se passent pas comme prévu…

    Acteurs et actrices

    Infos techniques

    Nationalité Italie
    Distributeur -
    Récompense 1 nomination
    Année de production 2011
    Date de sortie DVD -
    Date de sortie Blu-ray -
    Date de sortie VOD -
    Type de film Long métrage
    Secrets de tournage -
    Budget -
    Langues Italien
    Format production -
    Couleur Couleur
    Format audio -
    Format de projection -
    N° de Visa -

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    Commentaires

    • Nelly M.
      Univerciné Nantes, Cycle Italien 2012. Un film percutant qui mériterait de remporter le prix du public. Atmosphère et musique accrocheuses, économie de paroles lors d'un petit tour dans la maison, les enfants chahutant au lit des adultes le matin, l'époux (aussi crispé que Pasolini, visage et dégaine) cachant ses ennuis professionnels à son épouse trop lisse, trop offerte aussi (Donatella Finocchiaro). Leur différence d'univers est révélée par de très courts intermèdes. Défilent de somptueuses images qui inviteraient à la béatitude plutôt qu'à la vigilance (Alberto circulant au soleil couchant par exemple). Deux intrus créent l'étau qui va serrer, serrer sans jamais torturer le spectateur identifié à celui dont la mine annonçait le pire... Rien de limpide quant au sens et aux motivations des divers intervenants extérieurs, un peu comme chez David Lynch, ils sont teigneux et liés à vie. De curieuses ellipses à certains moments, quoique le fil central soit toujours maintenu. Vrai que la petite voiture rouge laisse sur sa faim et que l'enfant retrouvé pouvait d'un mot espiègle alléger les semelles de plomb qu'on a en sortant de la salle. Il ne s'agirait nullement d'une caricature mais de l'effet domino en mafia calabraise, là où éducation et culture générale brillent par leur absence...
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