Cremaster 1

Un coup d'essai pas parfait, mais avec des bonnes idées, le cinéma conceptuel on accroche ou l'on accroche pas, ici tout est abstrait, étonnant, captivant.

Ce film est mon préféré du Cycle Cremaster. J'aime beaucoup l'ambiance hypnotique à l'intérieur du dirigeable et l'élégance de comédie musicale des figures faites sur le stade.

N'étant ni critique, ni professeur d'art cinématographique bouffi de complexes pseudo artistiques, je peux le dire : j'ai trouvé ça nul.
Pourtant j'ai fait des efforts : j'en suis au troisième mêtre carré de moquette que je fume...

Sans doute la poésie y est-elle, les sensations de grandeur que Barney cherche à nous donner sont à peu près effleurées, mais il reste la sensation désagréable d'un essai dans lequel Barney aurait un tout petit peu manqué de moyen par rapport à ses ambitions. Le même en 35mm (et non en video, qui caractérise les 1ers Cremaster, c'est à dire le 4, le 1 et peut-être le 5, je ne sais plus) aurait sans doute été infiniment meilleur. ...
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