Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Télérama
par Cécile Mury
Derrière ses gags réjouissants et ses pirouettes de clown, France Boutique est une peinture sensible du couple, de ce qui se tarit ou se régénère avec le temps. Un regard original, parce que doux-amer et ambigu.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
La réussite du film tient beaucoup aux deux comédiens vedettes, François Cluzet et Karin Viard, qui véhiculent avec authenticité la mélancolie du quadragénaire et donnent au film tout son naturel. Ce couple de comédie est tout simplement formidable. Une étonnante alchimie se crée ici grâce à eux entre un désenchantement, une tristesse typique de la comédie à la française, et une ironie, crue et coriace, héritée du cinéma italien.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Dans l'univers factice du télé-achat, une comédie du remariage assombrie d'un beau voile de mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Aden
par Philippe Piazzo
Un sujet pour Jacques Tati et Woody Allen réunis. Tonie Marshall n'a pas été aussi loin dans l'exploration de son sujet, revenant souvent sur la terre ferme de la comédie prévisible, avec en première ligne un couple en crise, qui, justement, est à la tête d'une émission populaire de téléachat. Mais, naviguant entre la comédie sentimentale et la caricature sarcastique d'un monde marchand, France-Boutique reste drôle d'un bout à l'autre, notamment par la grâce de ses comédiens.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Chronic'art.com
par Charlotte Garson
L'attrait de France boutique est de déjouer l'écueil d'une satire facile du téléachat ou de la société de consommation pour s'intéresser aux fragments d'un discours amoureux dont les objets les plus farfelus sont porteurs. (...) Malheureusement, France boutique s'effarouche lui-même, en cours de route, de son parti-pris formel.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Zurban
par Charlotte Lipinska
Si la charge était facile, on saluera le regard bienveillant de Tonie Marshall qui jamais ne se moque d'un business qui prête pourtant facilement le flanc à l'ironie. Mais, en oscillant constamment entre la chronique d'un couple en crise et la sitcom des plateaux télé rose bonbon, on ne parvient à s'accrocher ni à l'un ni à l'autre. Pittoresques mais inexploités, les personnages restent sur le carreau et la boutique tourne à la braderie fourre-tout.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Didier Péron
A force d'assumer le mauvais goût, de vouloir rire sans méchanceté, de bricoler des chutes qui s'arrêtent suffisamment tôt pour ne pas porter à conséquence, Tonie Marshall finit par fabriquer un objet qui ressemble comme deux gouttes d'eau aux intermèdes télé plus ou moins navrants de Caméra café ou d'Un garçon et une fille. La seule caution cinéma qui reste tient au casting, avec Karin Viard et une surprenante Judith Godrèche, faisant ce qu'elles peuvent pour sauver le film du vidéo-gag généralisé.
MCinéma.com
par Caroline Collard
Tout s'annonçait sous les meilleurs auspices. Malheureusement, le résultat n'est pas à la hauteur des attentes suscitées. Si Karin Viard et François Cluzet forment un couple attachant fort bien entouré (notamment par des fidèles de la réalisatrice), leur histoire ne nous emballe guère.
Positif
par Albert Bolduc
Dommage que la parodie de télé-achat soit si convenue, et que le film finisse par épouser la forme de ce qu'il voulait pasticher : en gros, une esthétique de sitcom. Le film s'épuise assez vite, à force de s'amuser de sa propre superficialité : Tonie Marshall a misé sur son savoir-faire plutôt que sur la singularité de son talent (...)
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Stéphanie Lamome
France boutique avait tout pour être un bon sitcom de luxe : univers apparemment superficiel, personnages typés... Dommage que le film n'arrive à l'être qu'à de trop rares moments.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par François Gorin
A trop tenir à distance, via l'humour, la vulgarité propre au téléachat, Tonie Marshall tombe aussi facilement dans la grossièreté des lieux communs à peine ou mal repeints. Tout ce qui se trame en dehors de la " mise en boîte " du plateau télé (Viard et ses gigolos, Cluzet et son amante sado) file un coton déjà râpé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Sophie Lecerf
A l'image du plateau de tournage de l'émission sur lequel se bousculent figurants, maquilleurs et accessoiristes, France Boutique est un joyeux fouillis sans queue ni tête. Tonie Marshall nous avait habitués à tellement mieux. Du coup, on reste sur notre faim.
Télérama
Derrière ses gags réjouissants et ses pirouettes de clown, France Boutique est une peinture sensible du couple, de ce qui se tarit ou se régénère avec le temps. Un regard original, parce que doux-amer et ambigu.
Le Monde
La réussite du film tient beaucoup aux deux comédiens vedettes, François Cluzet et Karin Viard, qui véhiculent avec authenticité la mélancolie du quadragénaire et donnent au film tout son naturel. Ce couple de comédie est tout simplement formidable. Une étonnante alchimie se crée ici grâce à eux entre un désenchantement, une tristesse typique de la comédie à la française, et une ironie, crue et coriace, héritée du cinéma italien.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Dans l'univers factice du télé-achat, une comédie du remariage assombrie d'un beau voile de mélancolie.
Aden
Un sujet pour Jacques Tati et Woody Allen réunis. Tonie Marshall n'a pas été aussi loin dans l'exploration de son sujet, revenant souvent sur la terre ferme de la comédie prévisible, avec en première ligne un couple en crise, qui, justement, est à la tête d'une émission populaire de téléachat. Mais, naviguant entre la comédie sentimentale et la caricature sarcastique d'un monde marchand, France-Boutique reste drôle d'un bout à l'autre, notamment par la grâce de ses comédiens.
Chronic'art.com
L'attrait de France boutique est de déjouer l'écueil d'une satire facile du téléachat ou de la société de consommation pour s'intéresser aux fragments d'un discours amoureux dont les objets les plus farfelus sont porteurs. (...) Malheureusement, France boutique s'effarouche lui-même, en cours de route, de son parti-pris formel.
Ciné Live
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L'Express
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Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
Si la charge était facile, on saluera le regard bienveillant de Tonie Marshall qui jamais ne se moque d'un business qui prête pourtant facilement le flanc à l'ironie. Mais, en oscillant constamment entre la chronique d'un couple en crise et la sitcom des plateaux télé rose bonbon, on ne parvient à s'accrocher ni à l'un ni à l'autre. Pittoresques mais inexploités, les personnages restent sur le carreau et la boutique tourne à la braderie fourre-tout.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Libération
A force d'assumer le mauvais goût, de vouloir rire sans méchanceté, de bricoler des chutes qui s'arrêtent suffisamment tôt pour ne pas porter à conséquence, Tonie Marshall finit par fabriquer un objet qui ressemble comme deux gouttes d'eau aux intermèdes télé plus ou moins navrants de Caméra café ou d'Un garçon et une fille. La seule caution cinéma qui reste tient au casting, avec Karin Viard et une surprenante Judith Godrèche, faisant ce qu'elles peuvent pour sauver le film du vidéo-gag généralisé.
MCinéma.com
Tout s'annonçait sous les meilleurs auspices. Malheureusement, le résultat n'est pas à la hauteur des attentes suscitées. Si Karin Viard et François Cluzet forment un couple attachant fort bien entouré (notamment par des fidèles de la réalisatrice), leur histoire ne nous emballe guère.
Positif
Dommage que la parodie de télé-achat soit si convenue, et que le film finisse par épouser la forme de ce qu'il voulait pasticher : en gros, une esthétique de sitcom. Le film s'épuise assez vite, à force de s'amuser de sa propre superficialité : Tonie Marshall a misé sur son savoir-faire plutôt que sur la singularité de son talent (...)
Première
France boutique avait tout pour être un bon sitcom de luxe : univers apparemment superficiel, personnages typés... Dommage que le film n'arrive à l'être qu'à de trop rares moments.
Télérama
A trop tenir à distance, via l'humour, la vulgarité propre au téléachat, Tonie Marshall tombe aussi facilement dans la grossièreté des lieux communs à peine ou mal repeints. Tout ce qui se trame en dehors de la " mise en boîte " du plateau télé (Viard et ses gigolos, Cluzet et son amante sado) file un coton déjà râpé.
aVoir-aLire.com
A l'image du plateau de tournage de l'émission sur lequel se bousculent figurants, maquilleurs et accessoiristes, France Boutique est un joyeux fouillis sans queue ni tête. Tonie Marshall nous avait habitués à tellement mieux. Du coup, on reste sur notre faim.