Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
par Philippe Piazzo
L'histoire est vraie, et son évocation dans les détails attristante, car la lutte semble aussi inégale que vaine. The Navigators est un Ken Loach glaçant, de la veine du polémiste qu'il fut au début de sa carrière. Pas très gai, sans doute, mais du grand Ken Loach.
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Contrairement à une idée reçue sur le cinéma de Ken Loach, ici, la représentation des différents niveaux de la hiérarchie rend impossible l'opposition manichéenne ouvrier-patron.
Chronic'art.com
par Grégoire Bénabent
Loach parvient avec rigueur et de naturel à nous placer à leurs côtés (tout est filmé à hauteur d'homme, sans gros plan ni mouvements d'appareils), à rendre concrets les problèmes de ses héros sans sur-jouer les situations.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cine Libre
par Sébastien Lecordier
(...) le film possède une force poignante à l'image de ces hommes, fiers mais obligés d'avaler leur orgueil, pour subvenir à leur famille. Et malgré un sujet dramatique The navigators n'en demeure pas moins une comédie.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Ciné Live
par Laurent Dijan
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
Au bout du compte, le pari de Ken Loach est gagné. Il a réussi, en maintenant sa caméra presque exclusivement dans la sphère du travail, à montrer le passage d'êtres humains à travers une mutation économique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Catherine Agnès
Ken Loach signe ici son plus beau film depuis Riff-Raff. Le tragi-comique de The Navigators (...) lui réussit nettement mieux que le mélodrame, qu'il peine toujours à contrôler.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Olivier De Bruyn
Loach, sèchement, aligne les détails, les faits et ne sacrifie jamais la vie quotidienne de ses personnages sur l'autel de la dénonciation.
TéléCinéObs
par Alexandre Boussageon
Sa cible est aujourd'hui la privatisation des chemins de fer britaniques. Pour le reste, même galerie d'antihéros attachants, même naturel capté au vol, même construction tragi-comique... On continue d'applaudir.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par François Gorin
(...) à sa manière, sans doute, bonne conscience peut-être du cinéphile international (assez peu prolétaire, en général), Ken Loach est aujourd'hui le seul à pouvoir tenir pareille gageure. Et cette solitude, curieusement, ne paraît pas l'entamer.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
C'est au moment où Loach-contestataire a définitivement quitté le film que celui-ci devient efficace et vivant, au moment où Loach-cameraman, au style modeste et désaffecté, a pris sa place.
MCinéma.com
par Philippe Descottes
Oui, on sourit devant le comportement de l'un ou l'autre des protagonistes et les plaisanteries de ses collègues. Mais la fin du film, tragique (...), efface tout rictus. Le libéralisme vient alors de montrer une autre de ses facettes : le cynisme.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
L'histoire est vraie, et son évocation dans les détails attristante, car la lutte semble aussi inégale que vaine. The Navigators est un Ken Loach glaçant, de la veine du polémiste qu'il fut au début de sa carrière. Pas très gai, sans doute, mais du grand Ken Loach.
Cahiers du Cinéma
Contrairement à une idée reçue sur le cinéma de Ken Loach, ici, la représentation des différents niveaux de la hiérarchie rend impossible l'opposition manichéenne ouvrier-patron.
Chronic'art.com
Loach parvient avec rigueur et de naturel à nous placer à leurs côtés (tout est filmé à hauteur d'homme, sans gros plan ni mouvements d'appareils), à rendre concrets les problèmes de ses héros sans sur-jouer les situations.
Cine Libre
(...) le film possède une force poignante à l'image de ces hommes, fiers mais obligés d'avaler leur orgueil, pour subvenir à leur famille. Et malgré un sujet dramatique The navigators n'en demeure pas moins une comédie.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Au bout du compte, le pari de Ken Loach est gagné. Il a réussi, en maintenant sa caméra presque exclusivement dans la sphère du travail, à montrer le passage d'êtres humains à travers une mutation économique.
Libération
Ken Loach signe ici son plus beau film depuis Riff-Raff. Le tragi-comique de The Navigators (...) lui réussit nettement mieux que le mélodrame, qu'il peine toujours à contrôler.
Première
Loach, sèchement, aligne les détails, les faits et ne sacrifie jamais la vie quotidienne de ses personnages sur l'autel de la dénonciation.
TéléCinéObs
Sa cible est aujourd'hui la privatisation des chemins de fer britaniques. Pour le reste, même galerie d'antihéros attachants, même naturel capté au vol, même construction tragi-comique... On continue d'applaudir.
Télérama
(...) à sa manière, sans doute, bonne conscience peut-être du cinéphile international (assez peu prolétaire, en général), Ken Loach est aujourd'hui le seul à pouvoir tenir pareille gageure. Et cette solitude, curieusement, ne paraît pas l'entamer.
Urbuz
C'est au moment où Loach-contestataire a définitivement quitté le film que celui-ci devient efficace et vivant, au moment où Loach-cameraman, au style modeste et désaffecté, a pris sa place.
MCinéma.com
Oui, on sourit devant le comportement de l'un ou l'autre des protagonistes et les plaisanteries de ses collègues. Mais la fin du film, tragique (...), efface tout rictus. Le libéralisme vient alors de montrer une autre de ses facettes : le cynisme.