Name: Dutch harbor, là où la mer vient s'éteindre
Rating: 3,6

Dutch harbor, là où la mer vient s'éteindre

Note moyenne

3,6

11 titres de presse

Première
Brazil
Le Monde
Les Inrockuptibles
TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma

Ciné Live
Le Figaro
Studio Magazine
Télérama
Zurban

Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

11 critiques presse

Première

par Gaël Gohen

Avec son grain 16 mm et sa musique minimaliste signée par le gratin de la scène postrock, "Duth Harbor" évoque un Flaherty sous acide ou le lyrisme d'un Murnau. Les amateurs d'univers désaxé devraient adorer ce trip techno sensoriel.

La critique complète est disponible sur le site Première

Brazil

par Alex Masson

Dutch Harbor est un film abstrait, aussi prenant que vaporeux, dont on ne sait plus s'il se regarde ou s'il s'écoute. Et, malgré tout, un film pas si fragile qu'on pourrait le croire, quand il s'incarne comme un rare espace de liberté et une absolue expérience de cinéma.

La critique complète est disponible sur le site Brazil

Le Monde

par Thomas Sotinel

Cette mélancolie, à travers laquelle résonnent les échos d'une épopée qui n'a guère intéressé que ses protagonistes (...) fait le charme d'un film à l'exotisme inattendu.

La critique complète est disponible sur le site Le Monde

Les Inrockuptibles

par JD Beauvallet

(...) un film poétique et psychédélique, où la lenteur inquiétante des gestes et la terrifiante horizontalité des propos entraînent dans un vertigineux trip contemplatif.

La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

TéléCinéObs

par Bijan Anquetil

Le voyage est planant: la musique et le noir et blanc y sont pour beaucoup.

La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs

Cahiers du Cinéma

par Thierry Méranger

Lents et douloureux, souvent hypnotiques, les plans s'attardent, captivants captifs, sur la spectaculaire austérité du paysage. D'autres leur succèdent, hommages cotonneux et fantastiques au cinéma primitif, qui engloutissent inlassablememnt des bâteaux sans hommes sous des vagues sans âmes.

La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma