Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Eugenio Renzi
Tout Private, sa beauté et sa force, repose ainsi sur un regard décrivant ce qui est au fond un passage de l'adolescence à l'age adulte. C'est vrai particulièrement de la jeune fille de Mohammed, Mariam. Au risque de sa propre vie, elle monte dans la chambre de ses parents, maintenant zone interdite. Cachée dans une armoire, elle observe térrifiée ses geôliers, écoute leurs discours de garçons, retrouve chez eux sa fragilité, redonne de l'importance à sa vie en voyant sa jeunesse trembler chez l'autre.
Les Inrockuptibles
par Alexandre Chabert
La réussite de cette métonymie du conflit israëlo-palestinien tient en son observation fine d'une situation politique polémique et au talent de mise en scène de Savario Costanzo. A cela s'ajoute une utilisation audacieuse de la DV [...] une direction d'acteurs remarquable et une grande habilité à manier le suspense.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Frédéric Strauss
Le réalisateur ne recule pas devant l'envie de jouer avec les effets en mêlant des éléments a priori disparates. Un aspect brut, presque documentaire de l'image, parfois sous-éclairée comme par exigence de réalisme, et, en même temps, un travail de cadrage très précis, une maîtrise constante de l'espace et du temps. On est cueilli, effrayé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Paris Match
par Christine Haas
Le cinéaste italien rend hommage à la résistance pacifique des "occupés", tout en respectant la dignité des "occupés". Il signe une fiction partiale, mais sans haine, justement récompensée au Léopard d'or au Festival de Locarno.
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Inspiré de faits réels, un récit un rien partisan, traité sur le mode documentaire - caméra à l'épaule - à travers lequel le cinéma ausculte les différentes formes de résistances à l'envahisseur.
Zurban
par Yasmine Youssi
Conçu comme une métaphore originale et puissante de la situation au Moyen-Orient, ce film tendu [...] brosse le portrait d'un résistant qui va à l'encontre des clichés généralement divulgués à longueur de journaux TV. Digne et poignant.
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Cinéastes
par Boris Jeanne
La DV est idéale pour ce type de huis clos, pour filmer des espaces confinés au plus proche des interprètes – mais le grain n'est pas toujours du meilleur effet, surtout dans les scènes nocturnes dont l'importance est capitale, et l'équipe son est bien en-deça de ce que réussit tout de même à faire le chef'op [...] Enfin l'issue du film était évidemment nominable au championnat du monde du casse-gueule – mais là Saverio Costanzo et son scénariste palestinien s'avèrent plus malins que tous le monde et emportent le morceau en évitant et le happy end et le drame larmoyant.
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
par Aurélien Allin
Adoptant à la fois un point de vue distant d'européen et intime, acquis grâce à son observation sur le terrain, le réalisateur Saverio Costanzo évite tout manichéisme (...) Néanmoins, le film finit par être écrasé par le poids de la réalité et son intensité émotionnelle s'en retrouve bafouée, ne laissant jamais à ses personnages le droit d'exister vraiment. Reste la force du témoignage et l'animalité étonnante déployée par l'ensemble des acteurs.
Première
par Nicolas Schaller
La métaphore (maison=Israël) et l'exercice de style sont efficaces. Mais le cinéaste ayant choisi de représenter ses occupants comme une menace sans visage, ni motifs définis, son parti pris propalestinien, forcément réducteur, gêne.
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par Johnny Be Good
Saverio Costanzo ne pousse pas le récit dans cette direction militante. Il préfère démontrer [...] les mécanismes de la tension qui resulte de la résistance passive. Et en dépit d'une mise en scène dépouillée, il dégage de vrais moments de suspense et de violence.
La critique complète est disponible sur le site Score
Télé 7 Jours
par Gérard Lenne
Les bonnes intentions ne suffisent pas, encore faut-il savoir filmer, ou éviter de le faire délibérement mal. Absurde !
Télérama
par François Gorin
Tant d'acharnement à transmettre une vérité censément digérée sous tous ses aspects par Costanzo finit par produire l'effet inverse : quelque chose de faux s'y insinue. Incidemment, on apprend en lisant des propos du réalisateur quelques " détails " sur l'affaire. Dans cette maison, dit-il, " on ne ressent ni haine ni tension de la part d'aucun des deux camps " ; le chef de famille, Mohammad, " a fini par devenir connu. Les médias le connaissent et le protègent ". On pressent alors quel autre film aurait pu naître de la même histoire, et le malaise est complet.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
Tout Private, sa beauté et sa force, repose ainsi sur un regard décrivant ce qui est au fond un passage de l'adolescence à l'age adulte. C'est vrai particulièrement de la jeune fille de Mohammed, Mariam. Au risque de sa propre vie, elle monte dans la chambre de ses parents, maintenant zone interdite. Cachée dans une armoire, elle observe térrifiée ses geôliers, écoute leurs discours de garçons, retrouve chez eux sa fragilité, redonne de l'importance à sa vie en voyant sa jeunesse trembler chez l'autre.
Les Inrockuptibles
La réussite de cette métonymie du conflit israëlo-palestinien tient en son observation fine d'une situation politique polémique et au talent de mise en scène de Savario Costanzo. A cela s'ajoute une utilisation audacieuse de la DV [...] une direction d'acteurs remarquable et une grande habilité à manier le suspense.
Télérama
Le réalisateur ne recule pas devant l'envie de jouer avec les effets en mêlant des éléments a priori disparates. Un aspect brut, presque documentaire de l'image, parfois sous-éclairée comme par exigence de réalisme, et, en même temps, un travail de cadrage très précis, une maîtrise constante de l'espace et du temps. On est cueilli, effrayé.
Paris Match
Le cinéaste italien rend hommage à la résistance pacifique des "occupés", tout en respectant la dignité des "occupés". Il signe une fiction partiale, mais sans haine, justement récompensée au Léopard d'or au Festival de Locarno.
TéléCinéObs
Inspiré de faits réels, un récit un rien partisan, traité sur le mode documentaire - caméra à l'épaule - à travers lequel le cinéma ausculte les différentes formes de résistances à l'envahisseur.
Zurban
Conçu comme une métaphore originale et puissante de la situation au Moyen-Orient, ce film tendu [...] brosse le portrait d'un résistant qui va à l'encontre des clichés généralement divulgués à longueur de journaux TV. Digne et poignant.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cinéastes
La DV est idéale pour ce type de huis clos, pour filmer des espaces confinés au plus proche des interprètes – mais le grain n'est pas toujours du meilleur effet, surtout dans les scènes nocturnes dont l'importance est capitale, et l'équipe son est bien en-deça de ce que réussit tout de même à faire le chef'op [...] Enfin l'issue du film était évidemment nominable au championnat du monde du casse-gueule – mais là Saverio Costanzo et son scénariste palestinien s'avèrent plus malins que tous le monde et emportent le morceau en évitant et le happy end et le drame larmoyant.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
Adoptant à la fois un point de vue distant d'européen et intime, acquis grâce à son observation sur le terrain, le réalisateur Saverio Costanzo évite tout manichéisme (...) Néanmoins, le film finit par être écrasé par le poids de la réalité et son intensité émotionnelle s'en retrouve bafouée, ne laissant jamais à ses personnages le droit d'exister vraiment. Reste la force du témoignage et l'animalité étonnante déployée par l'ensemble des acteurs.
Première
La métaphore (maison=Israël) et l'exercice de style sont efficaces. Mais le cinéaste ayant choisi de représenter ses occupants comme une menace sans visage, ni motifs définis, son parti pris propalestinien, forcément réducteur, gêne.
Score
Saverio Costanzo ne pousse pas le récit dans cette direction militante. Il préfère démontrer [...] les mécanismes de la tension qui resulte de la résistance passive. Et en dépit d'une mise en scène dépouillée, il dégage de vrais moments de suspense et de violence.
Télé 7 Jours
Les bonnes intentions ne suffisent pas, encore faut-il savoir filmer, ou éviter de le faire délibérement mal. Absurde !
Télérama
Tant d'acharnement à transmettre une vérité censément digérée sous tous ses aspects par Costanzo finit par produire l'effet inverse : quelque chose de faux s'y insinue. Incidemment, on apprend en lisant des propos du réalisateur quelques " détails " sur l'affaire. Dans cette maison, dit-il, " on ne ressent ni haine ni tension de la part d'aucun des deux camps " ; le chef de famille, Mohammad, " a fini par devenir connu. Les médias le connaissent et le protègent ". On pressent alors quel autre film aurait pu naître de la même histoire, et le malaise est complet.