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    Orlando Vargas
    Note moyenne
    3,0
    12 titres de presse
    • L'Obs
    • Le Monde
    • Positif
    • Studio Magazine
    • L'Express
    • Le Figaroscope
    • Les Inrockuptibles
    • Télérama
    • Cahiers du Cinéma
    • Chronic'art.com
    • Première
    • Zurban

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    12 critiques presse

    L'Obs

    par Pascal Mérigeau

    Il faut à un cinéaste beaucoup de talent pour filmer ainsi le lent effacement d'un personnage, cette disparition douce et obstinée, ce retrait progressif d'un monde dont les paysages s'imposent peu à peu à l'écran (...)Juan Pittaluga possède (...) une certaine (...) inconscience aussi, qui l'a fait s'obstiner dans ses choix, et refuser notamment de soumettre son film aux exigences de la coproduction.

    Le Monde

    par Jean-Luc Douin

    Puisqu'il faut bien qu'un film ait un début et une fin, c'est un air de musique qui remplit ici ce double office. Un boléro mélancolique et dansant, une plainte dignement égrenée sur un slow, comme seuls les Latino-Américains savent en extirper de leur coeur blessé, chanté par le Mexicain Cuco Sanchez. Entre ces deux refrains, on passe du non-dit à l'attente. Orlando Vargas est le nom d'un homme muré dans le silence, qui va disparaître. Tout se joue sur la capacité d'images elliptiques à communiquer une émotion. Juan Pittaluga gagne ce pari.

    Positif

    par Eric Derobert

    Dominant son sujet, Juan Pittaluga tient parfaitement l'équilibre entre la mise en évidence clinique des lieux qui agissent sur les protagonistes, et une proximité avec le personnage principal.

    La critique complète est disponible sur le site Positif

    Studio Magazine

    par Thomas Baurez

    Voir la critique sur www.studiomag.com

    L'Express

    par Julien Camy

    Voir la critique sur www.lexpress.fr

    Le Figaroscope

    par Brigitte Baudin

    Après Rêver, un court-métrage, et l'aventure de Mondovino aux côtés de Jonathan Nossiter, le réalisateur uruguayen Juan Pittaluga signe là son premier long-métrage. Une histoire très personnelle inspirée de son vécu. Dans ce film, il évoque la perte d'un être cher, son père, et la difficulté de faire son deuil. Entre rêve et réalité, poésie et nostalgie. Une mise en scène simple, sans fioriture, pleine d'émotion retenue.

    Les Inrockuptibles

    par Vincent Ostria

    Il y a bien un certain film antonionien ici, une froideur elliptique qui va de pair avec l'esthétique distinguée du film. Glaçant, mais au moins le cinéaste reste fidèle jusqu'au bout à son principe de rétention. C'est un auteur.

    Télérama

    par François Gorin

    La seconde moitié du film, qui tire le meilleur parti du paysage uruguayen, est aussi peu prodigue en explications, ou même en indices, que la première. Juan Pittaluga, dont c'est le premier long métrage, en dit et fait dire si peu à ses personnages que son minimalisme peut agacer. Mais son sens de l'atmosphère et l'adhésion totale de ses acteurs écartent brillamment la menace de sécheresse et d'abstraction.

    Cahiers du Cinéma

    par Jean-Philippe Tessé

    Boule de gomme et terne programme étiré vite (1h18), qui prend le temps de ne rien à voir, par volonté de ne rien montrer. Ca ne fonctionne pas , ça ennuie.

    Chronic'art.com

    par Jean-Philippe Tassé

    Orlando Vargas met en scène Aurélien Recoing et s'acharne à réduire au silence tous ses personnages. Autant dire qu'il fait à peu près tout ce qu'il faut pour ne pas nous faire rêver. Bingo : taiseux comme pas deux, le premier film de Juan Pittaluga est un curieux mélange de naïveté et d'assurance hautaine, presque arrogante, d'être du (bon) côté de l'art

    Première

    par Gaël Gonhel

    C'est retenu, mystérieux... soporifique.

    Zurban

    par V.L.B.

    Pour son premier film, le rélisateur a eu la préciosité de ne filmer que l'insignifiant. Est-ce pour donner du sens au reste? Un reste si imperceptible, si inintelligible qu'on ne ressent absolument aucune empathie pour quiconque. Totalement à conter-courant

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