À l’âge de vingt-six ans seulement, un minotier diplômé ose briser enfin les chaînes de la volonté parentale. Il fuit son moulin natal situé près du pont Charles à Prague et dont il a la responsabilité. Il s’installe à Venise. Il désire y devenir compositeur. Au bout de quatre années seulement, il obtient une très prestigieuse commande d’opéra pour le théâtre de San Carlo à Naples. Il connaît une ascension rapide, signe Giuseppe Misslivecek, detto il Boemo, obtient le titre d’accademico filarmonico. Il est le seul compositeur « allemand » qui n’a pas été attaché à une cour ou à un seigneur et qui a pu mener une vie libre et indépendante. Cette vie qui commence à Prague en 1734 et s’achève en 1781 à Rome est peu documentée. C’est dans la correspondance de son ami Mozart où se trouve la seule description psychologique de Mysliveček. Il nous reste quelques lettres, quelques documents, des critiques et des notices dans les gazettes. Et sa musique bien sûr. Organisé autour des répétitions orchestrales de l’opéra Olimpiadeet des pérégrinations en Italie, le film documentaire de l’ancien pensionnaire à la Villa Medici Petr Vaclav retrace le destin de ce grand artiste d’opéra italien, aujourd’hui quasiment oublié.
Shanghai, Zufluchtsland von 20.000 Juden zwischen 1938 bis 1949. Dieser Dokumentarfilm erzählt von den Schicksalen vieler Juden, insbesondere von Siegmar Simons, Ernes und Illo Heppner sowie Fred Fields. (VA)
Quatre cinéastes autrichiens se sont intéressé à la conscience de la nation, au moment de l'arrivée du parti de droite de la Liberté en Autriche, en 2000.
Espagne, septembre 1973. Cinq membres du M.I.L. (Mouvement Ibérique de Libération) risquent d'être condamnés à mort par la justice franquiste. En France, plusieurs groupes d'activistes décident alors d'unir leurs forces dans un réseau appelé G.A.R.I (Groupes d'Action Révolutionnaire Internationalistes).
Un groupe de Nicaraguayennes guide des troupes rebelles et vont refaçonner leur pays avec des réformes sociales pendant la révolution sandiniste de 1979.
En janvier 2011, deux réalisateurs filment la réalité de la révolution égyptienne, loin des reportages diffusés par les médias internationaux, avant d'être arrêtés par la police secrète.