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Effacer sa mémoire après une relation amoureuse désastreuse est forcément une idée (un fantasme ?) qui nous vient à l'esprit - et mérite donc d'être étudié.
L'idée a même été reprise dans un clip (ok - Schultz + Blunt).
On pourrait se demander pourquoi la Nature (le Créateur ?) n'a pas prévu de bouton (ou si ?) pour effacer les mauvais souvenirs...
Est-on forcé de se souvenir d'une relation ? Qui est assez fiable pour effacer ce ...
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Surprise en 2:03:00 le cocktail de musique est un hymne même à la bipolarité. Le premier quart d'heure est ennuyeux, mais le reste du film est entraînant et plein de tels rebondissements (y compris la réhabilitation de la folle, au dépens de ceux qui se croient sensés dans leurs petites manies), qu'on y est finalement dans l'acceptation pleine et totale, jubilatoire, indépendamment du "bien" et du "mal" social de la foule bien-pensante et ...
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Moyen. Sans plus.
Scènes d'action : pas assez nombreuses.
Scènes remake de Steve Austin (NY) et de James Bond (moto à gadgets).
Nombreux anachronismes.
Incohérences (le robot) ; les MP de l'hôpital ; le match de 1941 ; le vieillard et le cristal ; l'auto du crâne rouge...
"frêle et timide" : la critique a faux. Voir scènes.
Le film est bon sur :
* l'histoire d'amour avec l'officier Carter.
* certains points philosophiques soulevés ...
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Pas mal. Le huis clos transformiste dans les toilettes hommes de la Gare de l'Est constitue une performance intemporelle. La poursuite de la valise à Paris est moins amusante. Puis intervient la dame-pipi, avec sa réplique éponyme - et une fin extrêmement moraliste et amusante. Si on devait remastériser le film, il faudrait juste couper la scène de la poursuite de valise dans Paris, et ce serait un chef-d'oeuvre à mes yeux.
Un mercenaire américain vient semer la zizanie dans un village mexicain dominé féodalement par deux gangs.
Ou comment le rusé David parvient à triompher par son intelligence de deux géants Goliath de la pègre.
Plusieurs scènes sont dans le noir - beaucoup de ruses ont lieu de nuit, profitant de l'ignorance de l'adversaire, de la peur de la mort ou de la profanation des défunts...
Ou comment le rusé David parvient à triompher par son intelligence de deux géants Goliath de la pègre.
Plusieurs scènes sont dans le noir - beaucoup de ruses ont lieu de nuit, profitant de l'ignorance de l'adversaire, de la peur de la mort ou de la profanation des défunts...
Un petit bijou. Le syndrome post-traumatique traité du point de vue humain. On se met vraiment dans la peau de Walid qui abandonne l'armée après dix ans de carrière pour se rapprocher de sa famille. Mais dans la vie civile, tout n'est pas facile... incompris, puis abandonné, voire trahi... qui l'écoutera ? qui le comprendra ? qui l'assistera ? On est révolté du début à la fin de l'abandon par la société de ce garçon qui avait ...
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Je n'avais pas aimé la première fois. Je me suis ennuyé la seconde fois - malgré mon intérêt mature et grandissant pour l'actrice S. Johansson. peut-être est-ce voulu par le cinéaste qu'on s'ennuie pour qu'on sache que les personnages s'ennuient dans cette ville, cette culture, cette langue si loin de chez eux ?
Pas mal. Le film a un peu vieilli - le débat entre jésuites, jansénistes et libres-penseurs ne galvanise plus les foules. Néanmoins le dénouement concernant l'adultère évoqué au début du film est saisissant.
Pas terrible. Par suite de concours de circonstances, un Directeur, un VRP looser et un artiste platonique échangent leurs compagnes ou promises. Le VRP chialeur ne sait pas profiter de sa chance (et du château, de la fortune... de l'ex-Directeur) et propose de remettre Untel, Untel avec telle et telle. On attendrait un peu plus que la morale "il faut profiter de sa chance et ne pas chercher un bonheur supplémentaire". On a quelques seins nus ...
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esthétisme 5* : il faut le voir pour l'esthétisme des scènes d'actions - scènes d'actions sorties des témoignages des personnages (on a une action gigogne dans le récit principal).
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historique 4* : est évoquée la réunification des 3 Chines sous Qin (prononcer tsinn) il y a environ 2200 ans. Pour cela il faut être un despote qui fait tout ce qu'il dit et proclame. Y compris faire fouiller au corps tout ami et tout guerrier venu ...
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Excellemment coréen : la force de la justice et du bien (dans la fougue de la jeunesse) contre le désir égoïste, dans un cadre esthétique et harmonieux.
Evidemment la flèche à la fin est symbolique - au début on ne sait même pas comment elle peut avoir été lancée - et médicalement elle ne peut pas causer les effets qu'on voit sur l'écran - c'est poétique, et il faut croire au surnaturel - lequel peut démarrer un bateau comme il a ...
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En fait le Requin à Deux Têtes n'est qu'un accessoire figurant.
Le film me semble plus prétexte à regarder des filles athlétiques en maillot de bain rikiki et des gars musclés et décérébrés faire les ados idiots, la bronzette, les chatouilles, les joutes verbales...
Donc :
* voir des filles en maillot de bain et des gars torse nu : 4,5* (elles ne sont pas toutes belles) ;
* voir de l'action ou un truc intelligent : 0,5* (oui, on ...
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Film français sur le chassé-croisé amoureux.
Il ne faut pas prendre les situations et les comportements des personnages du film pour des généralités.
.(Ce sont des artistes, d'une classe intello et friquée, qui considèrent l'amour et le sexe (oui je fais la différence) comme des moyens d'ascension dans leur bonheur social.).
Néanmoins la beauté des acteurs et leur jeu (je pensais à L. Bourgoin ; mais G. Proust est une bonne ...
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Un hymne à la liberté, à la découverte au-delà des clivages sociaux ou bourgeois, à la réussite et l'épanouissement de chacun quelle que soit sa classe sociale.
Sandrine Kiberlain joue très bien la bourgeoise coincée. Luchini est talentueux comme d'usage.
Sandrine Kiberlain joue très bien la bourgeoise coincée. Luchini est talentueux comme d'usage.
Marie joue très bien la jeune femme amoureuse ; Patrick joue très bien le looser.
Le patron abusif est bien joué aussi (Blier).
Chacun de nous peut se sentir dégoûté de comment tournent les choses
(je ne peux pas en dire plus sans spoiler de peur de spolier la fin).
Scénario & mise en scène très bien faits.
Le patron abusif est bien joué aussi (Blier).
Chacun de nous peut se sentir dégoûté de comment tournent les choses
(je ne peux pas en dire plus sans spoiler de peur de spolier la fin).
Scénario & mise en scène très bien faits.
Immoralité et abus de pouvoir des adultes sur les ados.
Un homme en passe de se marier s'allie avec une romancière en manque d'inspiration pour séduire une puis deux jeunes filles - sans souci des amours sans lendemain ou des ruptures par jalousie sans preuve qu'ils ont causées.
La causerie au salon n'est pas sans rappeler Les Liaisons Dangereuses - même manipulation machiavélique - qui sera mis en scène 18 ans plus tard (je n'ai pas vu ...
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Terriblement ennuyeux.Isabelle Huppert est belle, un peu simplette, et amoureuse d'un loubard.Depardieu dans son rôle symptomatique du loubard ne cherchant ni la gauche ni la droite, ni les tracasseries de la morale bourgeoise - avec sa maman qui lui reproche de vivre sur le dos d'une femme riche amoureuse.Guy marchand, amoureux éconduit, veut que la femme-potiche retourne dans sa vie - celle-ci veut bien le garder comme patron ou comme copain. ...
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J'avais aimé, dès sa sortie, ce roi Arthur, dans la version "officier de l'Empire Romain finissant". C'était nouveau comme idée pour moi, les scènes étaient vraies ; j'avais apprécié les Saxons grimés en sauvages-des-bois.
Je l'ai vu plusieurs fois, et ne me suis lassé ni du scénario, ni des acteurs. Tout est bon - sauf la fin qui me semble excessive, je ne mets donc que 4,5*.
La première demi-heure est très ennuyeuse. Je n'ai pas pu regarder le film jusqu'à la fin.
Jessica Alba n'est pas crédible. Mêler le mariage des monstres à leur veille anti-atttaque-cosmique est un mélange sans saveur. Ayant déjà vu l'excellent Captain America, peut-être suis-plus difficile pour les films Marvel plus faibles sur le scénario et l'action.
Jessica Alba n'est pas crédible. Mêler le mariage des monstres à leur veille anti-atttaque-cosmique est un mélange sans saveur. Ayant déjà vu l'excellent Captain America, peut-être suis-plus difficile pour les films Marvel plus faibles sur le scénario et l'action.
Très poétique. Très beau. Avec des acteurs reconnus et beaux. Mais incompréhensible à l'être simple pendant une heure et demie (le film dure 2h50, dont 9 minutes de générique de fin)... puis on comprend les pièces du puzzle.
C'est un hymne à la Liberté - la Vérité seule triomphe des oppressions, dictatures, terreurs, cupidités.
Mais beaucoup plus complexe que Vendetta ou Matrix - et moins manichéen. En effet, la rédemption existe, ...
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Déçu.
Points forts du film :
- images colorisées sépia, pour faire XIXe siècle
- atmosphère très lourde, on se croirait chez Edgar Allen Poe ou Jeunet et Caro
- Johnny Depp. Les autres acteurs jouent très bien eux aussi
- originalité : l'intervention d'une société "secrète", pour une variante conspirationniste du mythe de l'Eventreur
Points négatifs :
- beaucoup de suspense artificiel pour rien
- spoiler: pas de victoire du ...
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Un peu ennuyeux. Comme tous les films d'espionnage.
Les "nègres" (écrivains anonymes) meurent les uns après les autres, ayant ENQUêTé sur leur client plutôt que de leur écrire une bio embellie.
C'est un peu bête, non ? Surtout qu'en politique, le Bien et le Mal n'ont pas les mêmes frontières que pour les gens du peuple, et qu'une accointance avec le lobby de l'armement anti-terroriste est quasi-forcée, même si elle ne doit figurer ...
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Excellent bijou, que les critiques presse n'ont pas apprécié à sa juste valeur - mais les critiques spectateurs ne s'y sont pas trompés.
D'autre part, avoir Scarlett Johansson ET Renée Zellweger (Bridget Jones) donne un plaisir double dans ce film d'action où elles ne restent pas les bras croisés.
La trame du film, où la question de la liberté individuelle est menacée par un sacrifice à la Caligula (massacrer quelques uns pour assurer ...
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Un bon amusement pour toute la famille.
Le beau-père para-militaire et son favori, bellâtre chef de guerre valent le détour. De même que le match entre les perroquets et les bleus (des territoires nourriciers sont en jeu).
Le beau-père para-militaire et son favori, bellâtre chef de guerre valent le détour. De même que le match entre les perroquets et les bleus (des territoires nourriciers sont en jeu).
Je n'ai pas aimé.
La musique est géniale, les images sont à couper le souffle, mais il n'y a pas d'histoire - enfin peut-être était-ce intentionnel.
Le fou furieux "à la gâchette facile" (dixit "sa femme" de 16 ans) sème les cadavres - y compris ses amis qui l'hébergent sur la route.
Ses réactions et pensées montrent bien qu'il est complètement déconnecté de la réalité et de la société, ne se rendant même pas compte que ses ...
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Très beau, mais très triste.
Beaucoup de lenteurs - sans doute le film mise-t-il plus sur les sentiments, notamment la trahison, que sur l'action, assez rare.
Une bande son géniale.
L'action des colons dans l'Amérique précolombienne montre l'incompréhension et les excès de deux cultures complètement différentes - même si les tentatives de conciliation sont nombreuses.
Beaucoup de lenteurs - sans doute le film mise-t-il plus sur les sentiments, notamment la trahison, que sur l'action, assez rare.
Une bande son géniale.
L'action des colons dans l'Amérique précolombienne montre l'incompréhension et les excès de deux cultures complètement différentes - même si les tentatives de conciliation sont nombreuses.
Je n'ai pas aimé.
Les acteurs sont bons, j'aime l'Irlande. Mais le scénario ne sert à rien.
A quoi nous sert cette série de clichés - les chars et soldats britanniques réprimant comme toujours les ruelles irlandaises pleines de femmes et d'enfants - le flic new-yorkais rencontrant les joies d'un métier ubuesque (couvrir son collègue en cas de bavure ; les joies du FBI et de la diplomatie ; un petit nouveau chez les flics a organisé une ...
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Un film qui a mal vieilli - mais était-il déjà populaire à son époque ? Du noir et blanc en 1964 alors que la couleur existait déjà pour Le Gendarme... -,
Le début ironique et narquois sur ces agents de l'ombre et leurs supérieurs velléitaires, le développement glamour dans le château de la belle veuve (Mireille Darc), auraient mérité une meilleure fin que que ces pugilats sans but (les Chinois abattus par dizaines, la boxe avec ...
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Comme au bowling, un split inévitable :
5* pour les Croyants. Un rappel que les choses de l'au-delà existe et qu'il faut s'en protéger. Je dédie à la Sainte américaine Tekakwitha toutes les sensations qu'on peut éprouver dans ce film - y compris le Parler en Langues, etc, phénomène encore d'actualité.
3* pour les Non-Croyants : c'est un film d'horreur comme les autres.
Les préliminaires du film précisent que la fiction est tirée ...
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Excellent film touchant aux ressorts de l'action, de l'Amour, de la loyauté.
Le contrôle de corps à distance depuis un caisson fait penser immanquablement à Matrix.
Avec en plus le souci environnemental : que faire pour des Sauvages qui vivent millénairement dans un arbre sacré, au-dessus d'un gisement convoité par les multinationales.
Ces dernières sont appuyées par l'Armée - et leurs vétérans ne sont pas des enfants de coeur.
Le ...
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Excellente leçon de discernement et de sagesse.
Un des membres du jury fait réexaminer aux onze autres membres, convaincus de la culpabilité d'un jeune parricide, et pressés d'aller assister à un match, les éléments d'enquête, d'accusation, de témoignage, de défense et les conditions d'attribution d'un commis d'office - selon une justice juste et non selon un simple assentiment à une machine judiciaire au verdict prémâché.
Un des membres du jury fait réexaminer aux onze autres membres, convaincus de la culpabilité d'un jeune parricide, et pressés d'aller assister à un match, les éléments d'enquête, d'accusation, de témoignage, de défense et les conditions d'attribution d'un commis d'office - selon une justice juste et non selon un simple assentiment à une machine judiciaire au verdict prémâché.
Excellent en tant que pastiche.
Ne surtout pas aller le voir pour le premier degré ni pour l'action. C'est un film d'humour.
Des références au cultissime Bullit et à Steve Mac Queen.
La femme de ménage découvrant le corps serait l'un des premiers rôles de Virginie Ledoyen (+++), la propulsant dans la célébrité de son Art.
Ne surtout pas aller le voir pour le premier degré ni pour l'action. C'est un film d'humour.
Des références au cultissime Bullit et à Steve Mac Queen.
La femme de ménage découvrant le corps serait l'un des premiers rôles de Virginie Ledoyen (+++), la propulsant dans la célébrité de son Art.
Très esthétique, très mignon, très moral.
Mais c'est un conte de fées, du 'Cendrillon' : quel richissime mécène utilisera sa richesse juste pour sortir une âme de la rue et lui donner une nouvelle vie respectable ?
Mais c'est un conte de fées, du 'Cendrillon' : quel richissime mécène utilisera sa richesse juste pour sortir une âme de la rue et lui donner une nouvelle vie respectable ?
Je n'aime pas trop, il y a beaucoup d'incohérences et d'obsolescence.
Incohérences : confier son fils à un couple qu'on connaît depuis 24 heures (bon, on va dire que le scénariste met en garde le spectateur contre une telle pratique) ; le père qui monte jusqu'à la chambre de l'enfant alors que celui-ci s'est arrêté de chanter ; la police qui poursuit le tueur d'un bloc sans que deux agents ne s'occupent du voleur poignardé ; l'enfant ...
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La cavale d'une bande voleurs, depuis la fusillade à laquelle ils ont échappé, jusqu'à leur rencontre avec les Indiens et le Russe, et leur échappée vers le canyon.
Très esthétique.
Mais le fil est décousu : à cause du flash-back, on ne sait plus ce qui est passé ou futur, on confond les premières victimes et celles plus tard qui sont dépossédées de leurs peaux...
Malgré ce manque d'enchaînements entre les plans (c'est véniel ...
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