Films
SériesEmissions
« Vadrouiller » : se promener sans but précis – presque « à l'aventure »... Voilà ce que « Justine » (Sandrine Kiberlain, une habituée des frères Podalydès) va proposer à son patron, « Franck » (Daniel Auteuil, un petit nouveau), prenant comme départ la mission d'occasion de « Jocelyn » (Bruno Podalydès, qui se distribue comme à l'accoutumée – là en marin d'eau douce), sur un des si pittoresques canaux de ...
Lire plus
Lire plus
Des films sur Alzheimer (et autres formes de démence sénile), il y en avait déjà. Et aussi sur l'alcoolisme (et autres addictions). Et encore sur l'inceste et la pédophilie. De pas mal, à beaucoup... Ceci rappelé, quel attrait cinématographique nouveau, voire seulement renouvelé, avec ce « Memory » ? La rencontre de deux « cabossés » new-yorkais, elle, « Sylvia » (Jessica Chastain, 2e moitié de la quarantaine), lui, ...
Lire plus
Lire plus
Si Marcello Mastroianni était encore de ce mondespoiler: , il s'apprêterait à devenir centenaire en septembre prochain ! Mais il a succombé à un cancer il y a maintenant 24 ans. Il a eu 2 filles, une légitime, Barbara, disparue en 2018, âgée de 67 ans, et une adultérine, Chiara, qui a aujourd'hui 52 ans et est née pendant une brève liaison (de 1971 à 1975) avec Catherine Deneuve.
Il est patent que CM ressemble physiquement ...
Lire plus
Lire plus
Dans la catégorie « films délicieux », voyez le dernier long métrage en date de Pascal Bonitzer, qui s'était déjà brillamment illustré de la sorte avec son « Cherchez Berthe » (2012) - même affichiste, semble-t-il, dans les deux cas !
Notais en son temps pour « Berthe » : « Histoire (et dialogues) bien écrits, mise en scène et interprétation en rapport, pour une comédie enlevée ». Appréciation à l'identique pour ...
Lire plus
Lire plus
Découvre tardivement cette Palme d'or 2021, à l'occasion de son passage sur ARTE – tardivement, pour cause de terrorisme covidiste à l'époque. Partagée entre rire (jaune) et consternation ! L' « oeuvre » distinguée par le jury cannois , c'est du Julia Ducournau à 100 % (réalisation, mais aussi scénario et même « dialogues » - sic pour ces derniers, qui plus est inaudibles). Elle a alors à peine dépassé le milieu de la ...
Lire plus
Lire plus
Baptiste Debraux signe avec cet « Un Homme en fuite » son premier « long », dont il assure d'abord (en collaboration) le scénario. La scène est limitée (ou presque) à « Rochebrune », commune fictive du département des Ardennes (et alentours), sinistre (prises de vue de nuit, ou sous la pluie et autres tristesses hivernales), autant que sinistrée (petite ville en net déclin économique). « Anna » (Léa Drucker), gendarme de ...
Lire plus
Lire plus
Ponctué (à propos !) par "Madame Bovary" et... Guy Mardel (80 ans en juin prochain), que voilà un plaisant "N'avoue jamais"...
Dans la famille Marsault, il y a d'abord le père, « François » (André Dussollier), général à la retraite depuis des lunes, marié depuis 50 ans avec « Annie » (Sabine Azéma), 10 ans de moins que lui. Le couple a eu trois enfants, tous aux alentours de la quarantaine : « Amaury », l'aîné (Gaël ...
Lire plus
Lire plus
Soit un acteur en vogue jeune quinqua (Guillaume Canet) qui avait l'ambition de devenir comédien, mais qui, vague à l'âme aidant, quitte brutalement les répétitions de la pièce montée sur son nom, à un mois de la première. Parti « réfléchir » en thalasso - on est hors-saison - dans une petite station balnéaire bretonne, propre et même chic, il va connaître de brèves retrouvailles avec "Alice" (l'Italienne de père allemand Alba ...
Lire plus
Lire plus
L'actrice Paola Cortellesi (que je ne connaissais pas...) réalise pour la première fois, après en avoir (co)écrit le scénario, un remarquable "C'è ancora Domani" (impossible de visionner autrement qu'en version originale), où elle assure aussi le premier rôle féminin, en "Delia". La scène est dans le quartier populaire romain du Trastevere, l'image en noir et blanc, et le récit traite de quelques journées "particulières", lors du ...
Lire plus
Lire plus
Pourquoi donc « Mila Wizman », 17 ans, affirme-t-elle avoir été violée par « Alexandre Farel », 22 ans, qui l'avait emmenée avec lui, sous la bienveillante pression du père de celle-ci et de sa propre mère, la compagne dudit, à une soirée étudiante ? Aucune violence ayant laissé chez la victime prétendue des traces médico-légales, qui auraient pu attester de pénétrations forcées et autres sévices... L'auteur présumé ...
Lire plus
Lire plus
Alors que la France vient de « constitutionnaliser » le recours à l'IVG, se plaçant donc ici en héritière du titisme (dans sa constitution de 1974, la Yougoslavie avait instauré « un droit humain de décider librement de la naissance de ses enfants »), mais, en l'espèce, avec plus encore de « progrès », puisque notre droit positif permet d'avorter légalement jusqu'à 14 semaines d'aménorrhée, quand la version titiste ...
Lire plus
Lire plus
"Les Combattants" (2014) était médiocre - le boboland avait a-do-ré... Seules les jolies prises de vue des Landes avaient de l'attrait dans ce premier "long" du bien-pensant Thomas Cailley, s'essayant à l'auteurisme, mâtiné de futurisme. En 2023, le boboland aime aussi (beaucoup) le deuxième film de TC - re-dithyrambes. Qui, à nouveau co-auteur, livre une fable dystopique des plus... décevantes. Encore plus fort que "L'Île du Dr Moreau" ...
Lire plus
Lire plus
Que de progrès en 10 ans !... Justine Triet signe un 4e "long" (de fiction) remarquable (et ô combien remarqué déjà, au moment où je poste - c'est-à-dire avant les César et Oscar prochains), et oublie les afféteries « auteuristes » des « Victoria » ou « Sibyl » précédents, pour faire montre d'un réel talent ! Cet "Anatomie d'une Chute" (titre opportun, à apprécier à plusieurs niveaux) fera date dans la catégorie ...
Lire plus
Lire plus
"Stop, ou encore" ?... D'un spectacle, l'autre : un gros extrait du répertoire pour commencer ("La Bayadère"), et un (heureusement) plus court par compagnie contemporaine en conclusion. Et au milieu ?... Du remplissage laborieux, entre moraline appliquée au "monde de l'art", romances insipides et dialogue familial embarrassé - le tout pour deux heures d'un ennui colossal, au général ! Que retenir de ce poussif "En Corps" (kolossale ...
Lire plus
Lire plus
"Primo" spoiler: (Pierre Niney, aux faux airs de Louis Garrel, mais en plus avenant et mieux coiffé), admiré par sa mère au-delà du raisonnable, vit à Paris dans une chambre de bonne en faisant semblant de préparer son bac (après l'avoir déjà passé et raté dans l'Indre-et-Loire où ses parents tiennent un modeste magasin de fleurs). Se faufilant chez des jeunes bourgeois (16°, Neuilly) qui ont organisé une "boum", il y rencontre ...
Lire plus
Lire plus
"Délicieux" ? Vraiment ?... Pataud et bourratif, plutôt ! Entre anachronismes permanents : ou trop tard, comme l'invention du restaurant moderne (débuts près du Louvre sous Louis XV, et non "aux champs", en 1789), ou trop tôt (comme la mayonnaise, attestée en 1815 seulement), et fond de sauce cinématographique à "morale" (les aristos sont pédants, sans coeur et sans cervelle, et finalement indignes des bienfaits de la table - à l'image ...
Lire plus
Lire plus
Adaptation (à une vague introduction près) de la seule partie centrale du gigantesque "Illusions perdues", savoir les vicissitudes du jeune Lucien Chardon, dans l'ambition de relever un matronyme du nobiliaire, Rubempré, qui tente de se faire une place dans le marigot journalistique du Paris de Charles X - tremplin, pense-t-il, pour la carrière dans le monde littéraire à laquelle l'Angoumoisin aspire depuis toujours. Las... Xavier ...
Lire plus
Lire plus
Le sujet abordé (reprenant des faits réels) est important. Très important : la pédomanie ne cesse de croître - et le crime organisé a vite compris que les profits engendrés étaient considérables... "Sound of Freedom", unanimement honni (ou méprisé - voire les deux) par la Bien-pensance (ce qui est plutôt bon signe, en un sens...) traite de cette horreur avec délicatesse, décourageant, bien sûr, tout voyeurisme ! Après ...
Lire plus
Lire plus
Le film "engagé" selon un héraut (oui, pas de féminin en l'espèce - inutile de tenter quelque barbarisme "inclusif" !) gaucho/bobo garanti sur facture (celle de l'avance sur recettes du CNC*) stipendié de la Bien-Pensance, une nommée "Catherine Corsini" (celle du lamentable "Un Amour impossible", par exemple) : veine faussement documentariste, personnages outrés, et, parmi de nombreuses figures (non)stylistiques imposées : personnels du ...
Lire plus
Lire plus
Coup de soleil (Paris, ses parcs et avenues), coup de semonce, de tabac, de Trafalgar (tentatives du moins), coup de blues (au propre, hélas - cette rengaine de jazz en fil rouge musical, quelle barbe... et au figuré), coup de grâce... ? Voilà un "Coup de Chance" qui bredouille et s'égare ! Cet opus "Allen in Paris", mais façon "frenchie", avec casting ad hoc (pas de direction d'acteurs...), déçoit. De A à Z... Intrigue laborieuse (sur ...
Lire plus
Lire plus
En fait de "Haute Couture", ne rien espérer ici : ce n'est qu'un prétexte, fort peu illustré - donc, même un éventuel aspect documentaire ne sauvera rien ! On imagine que l'"écrivain" Sylvie Ohayon, qui se lance, la cinquantaine venue, dans un 2e film (en solo, cette fois) aura voulu scénariser et réaliser une fiction d'apprentissage. Mais Nathalie Baye, en "première" (d'atelier), ne sauve pas davantage ce court brouet convenu, sur l'air ...
Lire plus
Lire plus
Vous reprendrez bien un peu de propagande travestophile/homosexualiste (et autres curiosités/philes) ?... Là, par un "fils de" (amateur comme Papa de l'industrie horlogère haut de gamme ?...), chevronné de la nunucherie/potacherie, qui plaque ce savoir-faire (limité) sur un sujet "dans l'air du temps" (le "Je suis apparemment une femme, mais c'est une erreur"). Avant le "biopic" sur Tapie (Netflix, en septembre prochain) - dont l'intéressé ...
Lire plus
Lire plus
Imbécile, lourdingue (jusqu'à la caricature) - on peut même pousser jusqu'à crétin...
Vulgaire, grossier, scato (non, même pas - pipi/caca plutôt)...
Qu'en dire de plus, de ce triste machin ? Passez au large !
"Nul" ? Déjà trop.
Vulgaire, grossier, scato (non, même pas - pipi/caca plutôt)...
Qu'en dire de plus, de ce triste machin ? Passez au large !
"Nul" ? Déjà trop.
Nul au fond, moche à la forme - consternant et grotesque ! Avais raté le "brûlot" prétendu à sa sortie, pour cause d'hystérisation covidiste dans les salles obscures. France 2 comble cette lacune en cette fin mai 2023 - hum... On dirait un pastiche, et la seule attitude positive consiste en effet à se tenir les côtes. Le si surestimé (encore un...) Verhoeven livre ici un nanar d'anthologie, à l'esthétique (mutatis mutandis) carrément ...
Lire plus
Lire plus
"Brillantes" - vraiment ? Ternes, plutôt : l'histoire, rebattue ; la mise en scène, d'une discrétion qui confine à l'absence totale ; la direction d'acteurs itou, etc. ! Le prolétaire, c'est cinégénique ces temps-ci, pourtant. En version "femmes" (entre elles, surtout), voilà un "must". Où l'on aura donc un (gros) zeste façon "Ouistreham" (techniciennes de surface oeuvrant de nuit, bien sûr exploitées et misérables à l'envi - mais ...
Lire plus
Lire plus
"Stéphane Belcourt" et "Thomas Andrieu" ont 17 ans tous les deux et sont en Terminale dans un établissement de Cognac, la sous-préfecture charentaise du célèbre breuvage. Ils se lancent dans l'uranisme pratique, le premier en convaincu, le second (qui prend pourtant l'initiative) en honteux. Après une fin d'année scolaire "torride" (illustrations nombreuses à l'écran, plus qu'explicites), séparation des tourtereaux. SB pense revoir TA ...
Lire plus
Lire plus
Voilà un "Les Grands Esprits" qui commence mal, assurément ! "Agathe Kaufman" (sic - alias Zineb Triki), haut fonctionnaire au ministère (il est vrai) de la Non-Instruction publique, précise (vers la minute 8), je cite : "Je me suis permisE de lui parler...". Hérissant, non ?... Passons. L'argument de ce film du publicitaire de formation Ayanche-Vidal est tout simple : François Foucault, agrégé de lettres classiques élevé dans le ...
Lire plus
Lire plus
1ère réalisation de VB, fille et soeur de, jusque-là (presque quadra) scénariste (toujours en collaboration) pour d'autres. "Marie-Luce" (Bison), 14 ans, qui vient de changer de collège, tombe immédiatement amoureuse d'un autre "nouveau", Émile (Durand). La jeune fille, solitaire et qui lit Cioran (!...), est élevée par un père veuf depuis 10 ans, qui ne guérit pas de son affliction, et a comme seul ami "Albert", 80 ans (Pierre ...
Lire plus
Lire plus
"Long" (très long...2 heures !) de commande pour le Planning familial, compagnon de route des MLAC - donc, de la propagande et du "féminisme" de Prisunic (ma note "historique", l'enseigne ayant cessé d'exister en 2003, et nous sommes en 1974/75), le tout lié à la nostalgie facile. Ah non ?... Sécheresse documentariste, à s'y tromper, idéologie gauchiste caractéristique : bluffant ! La loi Veil dépénalisait et encadrait strictement ...
Lire plus
Lire plus
On aimerait sauver quelque chose de ce "Les petites Victoires" (lesquelles, au fait ?..), puisque le sujet ambitionné est important (la désertification rurale - commerces, santé, services publics : tout disparaît...). La forme ? Mais le ton n'a de léger que le nom : "humour" épais et thématique rebattue, avec scènes à faire soigneusement cochées pour scénario France tv (et encore - pour "fiction" prenant la poussière dans quelque ...
Lire plus
Lire plus
"De Grandes Espérances"... Voilà qui "sonne une cloche" (comme le disent nos amis anglophones), n'est-il pas ?... Mais si le 13e roman de Dickens est un "récit d'apprentissage", et le 2e "long" de fiction du documentariste quinqua Sylvain Desclous (qui prend le risque d'afficher crânement un patronyme prêtant à moqueries...) un film à semblable ambition, rien ne les relie intellectuellement, ni artistiquement (même en voyant dans ...
Lire plus
Lire plus
Que voilà un "Torrent" qui ne tient aucune promesse.. Flot de passions ? Justespoiler: un adultère de "distraction"
, pour une jeune femme mariée à 20 ans plus âgé qu'elle (José Garcia) ... Nature déchaînée, au moins ? Juste une nuit de déluge...spoiler: Une mort stupide à la clé
. Une enquête plan plan. Ni suspense, ni rebondissements... Ah si, côté "Lison" (18 ans, d'un premier lit d'"Alexandre", ...
Lire plus
Lire plus
Malin, malicieux (et d'abord, intelligent), brillant de bout en bout (charge féroce, contre le carriérisme et l'absence de scrupules comme de moralité, tout autant que brûlot sarcastique dénonçant la misogynie et ce que l'on n'appelait pas encore le "machisme" - un ton de comédie d'une rare efficacité, plus opportunément féminin que "féministe") : voilà pour le scénario signé Ozon (relisant et adaptant un classique du boulevard dû ...
Lire plus
Lire plus
"Le Lycéen" (??? - antiphrase, au mieux) est une confession (non, un pamphlet plutôt) nombriliste, au ton quasiment caricatural. Le sieur Honoré s'est-il honoré à prendre à témoin le spectateur ("Lucas" assurant à lui seul le "choeur", à quelques "binocheries" près) ? Témoin de quoi au fait ?... De son mal-être d'apprenti giton ? Déstabilisé par la disparition brutale (et en partie incompréhensible - spoiler: l'accident mortel ...
Lire plus
Lire plus
Darren Aronofsky, cinéaste très largement surestimé - "Black Swann" excepté, et (sans surprise) chéri du boboland, confirme et amplifie même, avec ce dernier opus en date, "Le Cachalot" - plutôt que "La Baleine" - si l'on respecte le roman "Moby Dick". "The Whale" étant à la base un succès de Broadway pour public friand de moraline et de voyeurisme, adapté par l'auteur, S.D Hunter, pour le cinéma. Brendan Fraser, le "George of the ...
Lire plus
Lire plus
Quand Dupontel scénarise, avec la seule "participation" de l'auteur à l'adaptation, cela donne l'inventif et étincelant "Au revoir là-haut" en 2017. Là, l'adaptation et le dialogue, le scénario, sont dus au seul Pierre Lemaître. Et cela donne 2 h 15 de grand vide stylistique, avec Clovis Cornillac à la mise en scène. Simple cinéma illustratif, de remplissage. On s'y ennuie ferme rapidement, et même le casting y est décevant (Léa ...
Lire plus
Lire plus