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Ce qui était le premier film de Sidney Lumet ( film de procès avec focus sur les jurés ) est en fait le dernier - mais au fait, dernier en date, ou bien dernier pour de bon ? - de Clint Eastwood. Fera-t-il comme John Huston avec THE DEAD, ira-t-il jusqu'à tourner un film depuis son lit d'hôpital avec des sondes dans le nez et relié à un cathéter? je ne l'espère pas. En tout cas, ce film est époustouflant, comme d'habitude avec Eastwood, ...
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Je ne sais pas pourquoi, mais dans la filmo de Alain Cavalier, j'avais toujours confondu, ou associé, ce film avec l'INSOUMIS. Bizarre, vous ne trouvez pas?
Grand western que je confonds parfois avec RETOUR A COLD MOUNTAIN, tourné et distribué quasi en même temps que celui-ci. Deux westerns violents et plutôt pessimistes, je veux dire en marge des clichés habituels hollywoodiens. Concernant celui là dirigé par Ron Howard, je dirais que c'est un mélange de HOMBE et de FUREUR APACHE - ULZANA'S RAID. HOMBRE en raison du perso principal joué ici par Tommy Lee Jones, un blanc ayant vécu parmi ...
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Pourquoi n'est il pas possible d'attribuer dix étoiles à ce chef d'oeuvre? Un film que j'aurais très bien vu John Frankenheimer réaliser - rappelez vous ses MANDCHOURIAN CANDIDATE et BLACK SUNDAY, dont c'est ici un peu mélange des deux; thrillers politiques où le suspense est omniprésent. La meilleur adaptation d'un roman de Frederick Forsythe; oubliez les autres, à part peut-être le DOSSIER ODESSA réalisé par le talentueux Ronald ...
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Du Jean-Pierre Mocky qui s'inspirerait de Gustave De Kervern- ou l'inverse, du décalé à souhait qui m'amuse beaucoup mais me laisse toutefois perplexe, car je me serais attendu à autre chose de Jean Louis Trintignant: un drame intimiste, portrait de personnages soulignés par des analyses psychologiques, un peu comme certains films de Paul Newman. Mais pas ça, et j'aurai la même impression avec LE MAITRE NAGEUR. Autrement, c'est un bon ...
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Oubliez DE L'OR POUR LES BRAVES ainsi que son équivalent franchouillard LES MORFALOUS, nous avons ici un film de guerre cynique, désabusé, tout à fait l'esprit de la fin des années 60 et début 70...Pessimiste à souhait, sans êyytre vraiment frontalement anti-guerre, mais pas pro guerre non plus. Moins spectaculaire et surtout hollywoodien que DIRTY DOZEN, je préfère cependant celui-là.
Depuis que j'ai été informé de ce projet, j'ai commencé à ressentir une crainte sourdre au fond de moi, une crainte sournoise, grandissante. Car je suis un inconditionnel du film original de Clouzot ainsi que de son remake réalisé par l'inégalable William Friedkin - 1977 - WAGES OF FEAR. Petit bijou. Alors oui, mes craintes transformées en peur viscérales étaient malheureusement justifiées. Il faut dire qu'avec des "acteurs" comme ...
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Bonne idée au départ, et tout était en place sauf une mise en scène et un développement beaucoup trop mou du genou, manque une scène de braquage par exemple. Oui, un tel sujet aurait du être réalisé par un Jules Dassin et non un Joseph Losey en quête d'existentialisme. Je préfère des films comme PRIZE OF ARMS, toujours avec Stanley Baker ou ROBBERY, toujours avec lui. Ou bien encore PAYROLL, de 1960, aussi polar britannique, beaucoup ...
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Petit bijou ressemblant à un de ces polars des années 70. Sans aucun manichéisme, je défie quiconque de me désigner qui est le bon et le méchant parmi ces deux protagonistes se livrant une lutte à mort. L'absence de clichés est le point marquant de ce petit thriller d'action, et ce, malgré les faiblesses de mise en scène. Et il est aussi vrai qu'un membre du SAS - GIGN britannique - est rarement aussi joufflu que le personnage qui est ...
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Ce que j'aimerais que l'on m'explique c'est pourquoi mettre une musique des années 60 - TWIST AGAIN - pour illustrer une scène de poulbots parisiens des années 1900 en train de danser....La tonalité du film est donnée rien qu'avec cette scène.
Plus un hommage aux vigilante movies des années 70 des William Lustig, Lewis Teague, William Girdler ou bien au LEGITIME VIOLENCE de John Flynn qu'à une résurgence du mythique John Woo qui avait enflammé la cinéphilie dans les années 90. Rien de john Woo ici, à part quelques images de pure poésie, en dichotomie totale avec la violence de ce film où bien évidemment - autre particularité de John Woo - les pistolets 9mm peuvent contenir ...
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Comment, comment ne pas se rappeler THE LAST HUNT de Richard Brooks (1956) ou bien encore THE WHITE BUFFALO de Jack Lee Thompson (1977), en voyant ce superbe western, dont le propos à la fois réaliste et pessimiste rappelle si bien les années 70 aux Etats Unis, la décennie si pleine de mélancolie, décrivant le vieil Ouest et l'envers du décor. Bien sûr, le film de Brooks, datant lui des années 50, et bien que traitant du même sujet, ...
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Efficace, bien que schéma vu et revu. Mais pourquoi une soeur JUMELLE? On n'est pas dans VERTIGO ou un vieux film avec Bette Davis genre STOLEN LIFE, où justement l'intrigue reposait sur le jeu des ressemblances. Là, ils auraient pu carrément choisir une actrice pour interpréter la frangine de Blanche. Point barre.
Quand Jean Yves Lafesse fait des émules, J Yves Lafesse quk aurait aussi été inspiré par I COMME ICARE, à propos des fameuses scènes de test de soumission à l'autorité.
Plus didactique tu meurs....Pour moi, il ne s'agit que d'un film de plus sur la banlieue, et dire que ce serait de la pédagogie serait un euphémisme, un peu comme dire que Hitler était patriote....Quelques bonnes scènes, comme ces truands portant brassard de police pour exécuter leurs rivaux. Mais je pense que le mieux aurait de transcrire cette histoire en série, carrément, plutôt que d'en faire une saga avec je ne sais encore combien de films.
Petit film de gangsters avec peu de moyens et des acteurs la plupart non professionels, les meilleurs qui soient pour certains roles demandant des performances criantes de vérité. Ici, on y trouve beaucoup de voyous moitié Gitans moitié immigrés italiens, personne issu du Cours Florent ou de l'Académie Française donc. Film en partie auto biographique pour le metteur en scène Frank Nicotra, lui même immigré transalpin et ancien ...
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Ce film me rappelle ENGRENAGES de David Mamet, de 1987, où une psychiatre découvrait l'univers des arnaqueurs et des escrocs, avant d'y participer malgré elle. Le duo d'alors Linsay Crouse-Joe Mantegna me rappelait celui là, dont je ne connais pas les noms. Film magistral , tout comme celui là.
Ouais, bof, quand on connait les films de Roman Polanski comme LE LOCATAIRE ou REPULSION, et bien bien d'autres films sur le même schéma - horreur domestique - comme aussi THE FOURTH FLOOR (1999) ce téléfilm n'apporte pas grand chose, mais ça reste efficace, avec une bonne ambiance malgrè tout. Sympa, sans plus.
Comme G dit dans ma review Imdb, Alban Lenoir est le premier français depuis Bebel a donner dans le cinéma d'action badass; sauf que Bebel ne faisait pas QUE ça, et que c'était déjà un acteur confirmé. OK Lenoir nous avait donné un petit bijou en 2015 Un Français, performance que je suis sûr iil ne renouvellera jamais. Il se prend maintenant trop pour JCVD et Jason Statham. Bon, concernant ce film, rien à dire sur la mise en scène, ...
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Bof, un peu court, dans tous les sens du terme pour ce film espionnage catastrophe qui est aussi le film testament à la fois du grand Robert Shaw et du réalisateur Mark Robson, morts tous deux d'une crise cardiaque, peu avant la fin du tournage pour l'un et quelques mois après pour l'autre - Shaw. Non, vraiment, parlant de films de trains, rien ne vaudra jamais LE TRAIN de John Frankenheimer. ce n'est d'ailleurs même pas comparable.
Un Mocky se regarde comme un Mocky, un point c'est tout. Il ne faut pas chercher à comparer cette icone du cinéma français avec un autre cinéaste. Certes ce film est décalé, bizarroïde, mais encore une fois c'est du Mocky !!! Cette histoire pas du tout crédible est fidèlement adaptée du roman de Malcolm Bosse L'HOMME QUI AIMAIT LES ZOOS, j'ai rarement vu une série noire aussi bien adaptée. Mention spéciale à Richard Bohringer en ...
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Chef d'oeuvre absolu où Sergi Lopez peut évoquer - toutes proportions gardées - Rutger Hauer dans HITCHER, un pur psycho dont on a bien du mal à cerner, définir, les motivations. On peut regretter le manque de réalisme dans le comportement du couple Laurent Lucas - Mathilde Seigner, mais on se laisse prendre par ce film où le suspense est constant et surtout progressif, avec des compositions remarquables. Du niveau d'un Chabrol, sans problème.
Excellent petit film noir qui évoque bien entendu CINQ CARTES A ABATTRE, le western de Henry Hathaway où Bob Mitchum reprend, en pasteur bidon - hommage au passage à LA NUIT DU CHASSEUR - le role tenu ici par Mike Mazurki, et que l'on ne voit qu'à la fin. Le scénar est très très identique dans les deux films. Sauf qu'ici, Charlton Heston, dont le perso est plus où moins évocateur de Dean Martin dans CINQ CARTES, est beaucoup plus ...
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Efficace, OK rien à dire, mais je suis désolé, O M n'a plus la teigne, le souffle, la puissance magistrale de 36, MR 73 et les Lyonnais. Et ce depuis son téléfilm de 2014 BORDERLINE. Mais ça reste efficace, oui, et ne pas aimer OM car ce sont des histoires de flics ripoux, C un peu comme qq qui n'aimerait pas les westerns car il y a des chevaux.
Vous voulez quoi, que Marchal nous tourne une comédie musicale?
Et pourtant Cedric Klapish ...
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Polar français assez atypique où Lino Ventura semble déjà affuter un personnage voisin de celui qu'il nous livrera un an plus tard dans LE DEUXIEME SOUFFLE, même si là, on est quand même loin de la tonalité melvilienne. Il campe ici un truand endurci et revanchard qui nous prépare quelque peu à Gu Minda du DEUXIEME...George Geret est à la fois succulent dans son personnage mais aussi quelque peu irritant dans son jeu, mais c'est là ...
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Véritable petit bijou malheureusement oublié et peut-être passé inaperçu à sa sortie. Petite fable anti raciste comme aurait aimé le montrer Yves Boisset, où les plus pourris sont des Bons Français, avec un rôle éblouissant de tête à claques joué par Cyril Lecomte en pourri, beau parleur infatigable qui prévisage son interprétation de BAC NORD, en faux cul intégral. On ne s'ennuie pas une seconde, avec des dialogues plus vrais et ...
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Western nouvelle vague si on se réfère à d'autres du genre BRIMSTONE et NEVER GROW OLD, films violents, noirs crépusculaires, odyssées immersives au fond de l'âme humaine, en utilisant un minumum d'artifices et où les personnages portent moins de clichés que les westerns plus classiques, y compris les plus récents, pleins de bons sentiments et de gnangnantise insupportable. Il est sur que ce style de film est rugueux, apre, parfois ...
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C'est un peu BUNNY LAKE A DISPARU au camping. Si vous avez vu le film de Preminger, là, l'intrigue et le dénouement est un peu similaire. Mais comme je sais que ceux qui regarderont ce film de 2020 ne connaissent pas celui de 1965, ce n'est même pas un spoiler. Excellent suspense au demeurant.
Sorte de ROADHOUSE Polonais, efficace. Rien de plus. Agréable, un film de boite de nuit, comme il y a des films de prison, d'usines de boites de petits pois, de sous-marins ou de convoyeurs de fonds.
Pourquoi montrer la fin des protagonistes du film, du moins certains, est elle déjà montrée dans le générique d'introduction? C complètement débile. comme spoliers on ne fait pas mieux !!!! Et puis pourquoi avoir tourné en 1.78? Ce format fait téléfilm. On aurait mieux vu du 2.35.
Je ne peux m'empêcher d'établir une analogie entre ce film et MARSEILLE CONTRAT, de Robert Parrish, 1974, bien que les deux histoires soient totalement différentes. Dans le film de Parrish, il est question d'un agent des Narcotiques - Anthony Quinn- cherchant à faire tomber un caïd marseillais de la drogue, un homme intouchable - James Mason- et devant son impuissance,à le confondre et le condamner Quinn va utiliser les services d'un ...
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Bizarre que personne encore n'ait évoqué Thomas Pesquet dont les exploits squattent quasiment toute l'actualité de ces dernières heures et qui pourraient tout à fait être mis en parallèle avec ce film. Espérons quand même que notre Gagarine national ne mate pas ce film un fois sur orbite, parce que ça le tuerait....D'ennui.
Quelle ne fut pas ma surprise de constater que ce pur chef d'oeuvre n'a pas encore été commenté sur ce site. Pur chef d'oeuvre du cinéma américain et surtout du western. Un film d'une beauté formelle et d'une audace thématique incroyable pour l'époque, le milieu des années 50 - celà l'aurait certainement moins été à la fin des années 60 ou au milieu de la décennie suivante, par exemple dirigée par un Sam Peckinpah, John Huston ou ...
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Je suis surpris de constater que personne n'a encore fait le rapprochement entre la thématique de ce film avec un autre réalisé près de trente ans plus tard: AU REVOIR LA HAUT, traitant d'un thème à peu près similaire.
Personnellement j'adore. Une série B comme on n'en fait plus et qui a la particularité, tout comme TERMINATOR, ENRAGE (Russel Crowe),COLLATERAL (Tom Cruise) , d'avoir un personnage principal jouer le rôle du méchant. Et ça, vous conviendrez que c'est pas courant. parlant de COLLATERAL, vous constaterez que l'on retrouve ici le schéma du tueur - peut-être pas à gages, 'en conviens - donc du tueur confronté dans sa "mission" avec un ...
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Excellent film de casse de la grande époque des sixties, issu de la consanguinité du RIFIFI CHEZ LES HOMMES, TOPKAPI, GROS COUP A PAMPELUNE,et bien d'autres, casses où aucun mot n'est échangé entre les protagonistes durant l'exécution. La particularité étant que les rôles principaux sont tenus par des acteurs secondaires, et les rôles secondaires tenus par des acteurs connus. Ainsi Edward G Robinson et Adolfo Celli font juste des ...
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