On a aperçu un fantôme au musée du Louvre et un gardien a été retrouvé mourant près de la statue de Belphegor, dieu des Ammonites. Un journaliste, Jacques Bellegarde, mène l'enquête mais reçoit bientôt des menaces signées Belphegor.
Jacques Bellegarde accepte de revoir Simone puis rompt définitivement avec elle. Elle est prise d’unmalaise, après avoir caché les lettres que ce dernier lui a écrites. Ses amis, Elsa et Maurice,s’empressent auprès d’elle. Pendant ce temps, Bellegarde se rend chez Chantecoq, le roi desdétectives, sans s’apercevoir qu’il est suivi depuis son domicile par un mystérieux bossu.
Belphégor s’empare de l’appareil que vient de lui apporter le bossu puis s’éloigne vers la salle des DieuxBarbares où sont cachés Ménardier et ses agents. Il débouche le tube du mystérieux appareil et peuaprès, une légère vapeur se répand dans la salle. Belphégor alors appelle ses complices et à eux trois, ils déplacent le socle de la statue de Belphégor.
Chantecoq révèle à Bellegarde que Simone utilisait des stupéfiants. Le soir même Belphégor enlève lecorps de Simone. Ménardier est de plus en plus persuadé de la culpabilité de Bellegarde. ChezChantecoq, il arrête Bellegarde grimé en Cantarelli. Le lendemain soir, Belphégor apparaît derrière ElsaBergen qui ne s’émeut pas…..
Encore une victime de Fantômas : le marquis de Tergali. A St Calais, deux apaches de la bande de Fantômas, Paulet et Ribonard, ont volé les diamants de sa veuve, la Marquise de Tergali. Quant à Fantômas, il s’est évadé de prison, a assassiné le juge Pradier et usurpé son identité au tribunal de St Calais. Il tire vite avantage des événements...
Un vol est commis dans l'hôtel particulier de la princesse Danidoff à Paris. L'inspecteur Juve enquête et découvre sur les lieux la carte de visite de Fantomas, un célèbre criminel aux multiples visages.
Darbois, manufacturier, reçoit un télégramme de son ingénieur Brémond lui annonçant son retour de l'étranger avec une formule secrète pour fabriquer du caoutchouc artificiel. Berwick, homme d'affaires véreux, sollicite Darbois pour son trust, mais ce dernier refuse. Dans la grisaille revendiquée de la série (le quotidien, toujours le quotidien, rien que le quotidien…), et malgré son sujet anti-cinématographique, Le Trust recèle quelques scènes rafraîchissantes et, surtout, une sorte de prémonition esthétique quant à l’avenir de son réalisateur.