RIP Armando. Tu nous as composés de biens belles partitions. Pour ma part, je ne connaissais que celle de « Parfum de femme » de Risi.A ta façon, tu as participé à l’âge d’or de la comédie italienne, en atteste ta filmographie.« La paysanne aux pieds nus » (avec Bébel), « Boccace 70 » (avec Romy) et « Les monstres » de Risi marquaient tes débuts. Sont venus « Les ogresses » (de Monicelli), « Sexe fou », « Parfum de femme », « La journée particulière » de Scola, tout comme sa « Terrasse » parmi tant d’autres !Je vois que tu as consacré tes deux dernières musiques pour Ettore Scola (« Le dîner », « Concurrence déloyale »), un de tes réalisateurs fétiches.Dormez en paix, Monsieur Trovajoli. Et encore tous mes hommages.