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    Gaby Morlay
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    • Plume231
      Samson (1936) de Maurice Tourneur [img]http://images.allocine.fr/c_12...[/img] Synopsis : Anne-Marie d'Andeline se décide à épouser le banquier Jacques Brachart pour sauver sa famille de la faillite. Elle ne laisse rien ignorer à ce «fiancé de raison» de l'indifférence, voire de la répulsion, qu'il lui inspire. Aussi Brachart, simple manoeuvre enrichi par de géniales spéculations, se garde-t-il de lui avouer la profondeur de son amour. Un mariage si peu excitant ne peut qu'inciter la jeune femme à prendre pour amant un obligé de son mari. Brachart, averti, trahi, veut se venger et met sur pied une opération boursière délicate... [img]http://www.programme.tv/media/...[/img] Critique : La réalisation est bancale, hasardeux sur l’enchaînement des séquences, a pris un sérieux coup de vieux sur l'ensemble ; l'intrigue est mélodramatiquement mince et le milieu de la bourse est platement représenté (quand on voit comment avait réussi à magistralement le filmer huit ans auparavant Marcel L'Herbier dans "L'Argent" !!!). Là naturellement, on se dit que le film ne vaut pas le coup d'être vu mais il y a dans une moindre mesure Gaby Morlay et dans une énorme mesure le monstre sacré qu'était Harry Baur, qui donne énormément d'émotion et de consistance à son personnage. A voir très principalement pour le géant Harry Baur... [img]http://r21.imgfast.net/users/2...[/img] [img]http://4.bp.blogspot.com/-Oh6F...[/img]
    • Plume231
      Les Nouveaux Messieurs (1929) de Jacques Feyder [img]http://www.cinema-francais.fr/...[/img] Synopsis : Suzanne, ballerine à l'opéra de Paris, vit des largesses du comte Montoire, son protecteur, député de droite à l'assemblée. Mais un jour, elle tombe sous le charme de Gaillac, électricien employé à l'opéra, leader du mouvement syndical lorsque le personnel de l'établissement se met en grève. Gaillac se débrouille si bien qu'il finit par entrer en politique... [img]http://mskstatic.com/386/media...[/img] Critique : Pour paraphraser ce cher Talleyrand comme il y a rien de plus terrible que la calomnie si ce n'est la vérité, le fait que ce film ait eu les honneurs de la Censure à l'époque de sa sortie pour "atteinte à la dignité des parlementaires" (partant ainsi du principe qu'ils en ont une !!!) suffit à prouver que cette satire du monde politique français est d'une grande justesse. Les gouvernements et les majorités sont loin de se renverser aussi facilement aujourd'hui mais la manière dont est décrit le comportement des hommes politiques n'a absolument pas vieilli bien que le changement soit pour maintenant évidemment. La séquence où un vieux député plus emporté par les bras de Morphée que par la passion de sa profession rêve que des ballerines envahissent l'Hémicycle est brillante. On peut reprocher aux "Nouveaux Messieurs" de manquer de rythme mais son absence de parti pris que ce soit pour la gauche ou la droite et la qualité de l'interprétation, dont celle de Gaby Morlay pétillante en danseuse qui est pour la danse ce que Nadine Morano est pour l'intelligence et le raffinement mais qui sait séduire et surtout qui séduire, en font une oeuvre justement et délicieusement caustique. Note : 14/20 (***) [img]http://i199.photobucket.com/al...[/img]
    • Plume231
      L'Amour d'une femme (1953) de Jean Grémillon [img]http://www.google.fr/url?sourc...[/img] Synopsis : Après avoir terminé ses études de médecine, Marie Prieur vient s'établir dans l'île d'Ouessant, remplaçant le vieux docteur jusque-là en exercice. Les habitants, d'abord méfiants, finissent par lui accorder leur confiance, grâce à l'intervention de mademoiselle Leblanc, institutrice à la veille de la retraite. Marie fait la connaissance d'André Lorenzi, ingénieur italien, qui dirige le chantier de construction d'une sirène de brume. Bientôt, une idylle se noue entre eux. Mais André accepte difficilement que Marie continue d'exercer sa profession. Exclusif, il tolère mal de la voir passionnée par ce métier aussi exigeant que prenant... [img]http://www.google.fr/url?sourc...[/img] Critique : Dernier long-métrage de Jean Grémillon, réalisateur aujourd'hui quasiment tombé dans l'oubli et qui fut pourtant à son sommet l'égal d'un Duvivier, d'un Carné ou d'un Renoir, avec comme toile de fond, récurrente dans son oeuvre, la mer. Et avec pour cadre l'île d'Ouessant donc il était très bien servi à ce niveau. Le sujet, très moderne pour son époque, qui est la vie d'une femme médecin, incarnée par la charismatique Micheline Presle, est en plus très intéressant. Donc ce sujet mélangé avec ce cadre, il y a de quoi faire un très bon film. Et d'ailleurs, la meilleure séquence de l'ensemble, à savoir l'opération chirurgicale, réunit directement ses deux notions. Mais il y a un "mais" et ce "mais" enlève énormément à la qualité potentielle du tout. Mais pourquoi encombrer inutilement l'histoire d'un romance impossible surtout quand celle-ci ne s'avère guère convaincante, n'apporte rien au sujet et donne un air conventionnel agaçant. La vie d'une femme médécin qui vient d'arriver sur l'île d'Ouessant, paf point barre, ça suffisait amplement. Note : 9,5/20 (**) [img]http://www.google.fr/url?sourc...[/img]
    • thamnophile
      :) Je l'avais remarqué alors que j'étais encore ado il y a de ça une quarantaine d'années mais je ne n'arrive plus à me rappeler du nom du film sauf qu'il datait des années 30 et que j'avais alors passé un grand moment en le regardant !
    • Plume231
      Moi aussi, c'est peut-être même une des meilleures actrices du cinéma français.
    • thamnophile
      :) Une grande actrice des années 30 dont j'ai toujours apprécié le jeu !
    • Plume231
      Ariane, jeune fille russe (1931) de Paul Czinner [img]http://t1.gstatic.com/images?q...[/img] Synopsis : Ariane, jolie étudiante russe venue séjourner à Paris, fait la connaissance d'un séducteur bien plus âgé qu'elle. La jeune femme tombe immédiatement sous son charme. Pour lui plaire, elle s'invente une nouvelle personnalité. En feignant d'être volage et ingénue, elle imagine pouvoir attiser la curiosité du gentleman et ainsi le séduire... [img]http://vedettesretro.files.wor...[/img] Critique : Ce film a auprès de moi une tâche très difficile : venir après "Ariane", chef d'oeuvre méconnu qui fait juste partie de mes 50 films favoris, qui a derrière la caméra le génie du géant Billy Wilder et devant la grâce, l'élégance, la beauté, la splendeur de la Déesse (un long soupir énamouré plus tard !!!) Audrey. Bon bien évidemment, le résultat est que le remake est largement supérieur à ce film mais on prend plaisir tout de même à le regarder. Sans atteindre le rang de (très gros et long soupir enamouré plus tard !!!) vous-savez-bien-qui, Gaby Morlay ne manque pas de fraîcheur dans ce rôle arrivant même à convaincre qu'elle a l'âge d'être étudiante. A ses côtés, Victor Francen est crédible en vieux Don Juan qui découvre malgré lui les affres de la jalousie. Petites réserves : quelques temps morts et le scénario n'insiste pas assez sur le côté Don Juan du personnage de Francen. Mais l'ensemble ne manque d'émotion et parfois même de piquant. Note : 14/20 (***) [img]http://static-media.s-sfr.fr/t...[/img]
    • Plume231
      test
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