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    Jane Greer

    Actrice

    Année Titre Rôle Note spectateurs
    1990 Twin Peaks - The Return (Mystères à Twin Peaks) - Saison 2
    3 Episodes 8 - 9 - 10
    Vivian Smythe Niles
    3,9
    1989 Heartbeat - Saison 2
    1 Episode 4
    Valerie -
    1988 Arabesque - Saison 5
    1 Episode 7
    Bonnie Phelps
    1,8
    1984 Contre toute attente Mme Wyler
    2,8
    1982 The Shadow Riders Ma Traven
    2,6
    1974 Columbo - Saison 4
    1 Episode 4
    Sylvia Danziger
    3,2
    1973 Echec à l'organisation Alma
    3,0
    1964 Where love has gone Marian Spicer
    3,0
    1957 L'Homme aux mille visages Hazel Bennett Chaney
    3,4
    1956 La Course au soleil Katy Connors
    2,6
    1953 Down Among the Sheltering Palms Diana Forrester -
    1952 Le Prisonnier de Zenda Antoinette de Mauban
    3,9
    1951 La Marine est dans le lac Ellie C. Harkness
    3,2
    1950 The Company she keeps Diane
    2,9
    1949 Ça commence à Vera Cruz Joan Graham
    2,9
    1948 La Cité de la peur Charlie
    2,7
    1947 Sinbad le marin Pirouze
    2,0
    1947 They Won't Believe Me Janice
    3,0
    1947 La Griffe du passé Kathie Moffat
    4,2
    1946 The Bamboo Blonde Eileen Sawyer
    3,0
    1945 Dick Tracy Détective Judith Owens
    3,1
    1945 Two O'Clock Courage Helen Carter (sous le nom de Bettejane Greer)
    2,7
    Commentaires
    • Plume231
      Ça commence à Vera Cruz (1949) de Don Siegel [img]http://images.fan-de-cinema.co...[/img] Synopsis : Accusé injustement d'être un malfaiteur, un homme va tenter de prouver son innocence. [img]http://www.dvdbeaver.com/film2...[/img] Critique : Ce film contient sans conteste ce qui est la poursuite en voitures la plus mal foutue de l'Histoire du cinéma. Sur les plans en transparence avec les acteurs, on roule à fond la caisse, tandis que sur les plans d'ensemble, ça roule pépère. Cette course-poursuite est à l'image du film avec son scénario à deux balles, sa mise en scène qui a un je-ne-sais-quoi de j'en foutisme et ses comédiens qui ont l'air de s'amuser. D'ailleurs les réparties entre Robert Mitchum et Jane Greer sont marrantes. Bref personne, ni le réalisateur, ni les comédiens, ni les techniciens, n'a l'air de prendre le film au sérieux, et ça va tellement dans ce sens que ça lui donne une espèce de charme indéfinissable. Un film donc à regarder sans le prendre le moindre instant au sérieux, après tout pourquoi pas ??? Note : 10/20 (**) [img]http://image.toutlecine.com/ph...[/img]
    • Plume231
      Sindbad le marin (1947) de Richard Wallace [img]http://www.horreur.net/img/aff...[/img] Synopsis : Sinbad entame son huitième voyage. A bord d'un bateau dont l'équipage a été empoisonné, il découvre la carte de l'île de Deryabar, où serait enfoui le trésor d'Alexandre. Le célèbre marin fait bientôt la connaissance de Shireen, une mystérieuse jeune femme au service de l'émir de Daibul, un homme impitoyable qui convoite également le fabuleux trésor, mais il n'est pas le seul : un magicien est aussi sur la piste. Empoisonné, ce dernier sera éliminé de la course. Sinbad, toujours en vie, amoureux de Shireen, devra faire face à de nombreux adversaires avant de trouver le trésor qu'il recherche, et qui n'est pas forcément constitué d'argent... [img]http://www.vodkaster.com/var/v...[/img] Critique : Un film d'aventures adapté des "Mille et Une Nuits" qui utilise beaucoup les possibilités du Technicolor mais qui par contre se montre très mou du genou. On ne peut pas dire que soit transporté par un souffle épique ou merveilleux, la météo aurait même tendance à être trop clémente, qui fait de ce film un bon du genre. En fait, on suit cela d'un oeil distrait et ceci est en rien réhaussé par son duo principal. Douglas Fairbanks Jr. a la sourire Colgate, Maureen O'Hara se contente d'être belle et n'est pas très exotique (bon comme excuse ils ont certainement utilisé la seule bouteille de fond de teint du studio sur Jane Greer !!!). Heureusement que Walter Slezak en méchant de service ambigu et Anthony Quinn en méchant pas du tout ambigu parce qu'il est vraiment juste méchant relèvent un peu le niveau. Le "Sésame, ouvre toi !" ne donne pas forcément lieu à l'ouverture sur un trésor, ou du moins sur un trésor du Septière Art, et ce film en est une preuve. Note : 8/20 (**) [img]http://upload.wikimedia.org/wi...[/img]
    • Plume231
      L'Homme aux mille visages (1957) de Joseph Pevney [img]http://images.fan-de-cinema.co...[/img] Synopsis : La vie tourmentée de Lon Chaney, le célèbre acteur américain expert dans l'art de la transformation et du maquillage, ce qui lui valut d'être surnommé «l'Homme aux mille visages». [img]http://culturopoing.com/img/im...[/img] Critique : Réaliser un biopic sur un des acteurs les plus extraordinaires que le cinéma ait connu, judicieusement surnommé "L'Homme aux mille visages" par son exceptionnelle capacité de transformation, et sans parler des incroyables prouesses qu'il faisait avec son corps, Lon Chaney, était plus qu'une bonne idée. Le résultat n'est pas grandiose mais honorable. Ce que l'on peut regretter c'est que la carrière au cinéma de Chaney ne commence qu'à être évoqué qu'au bout de la fin de la première heure, et que des tournages de grands films comme celui de "L'Inconnu" ne soient pas abordés. De plus, il manque aussi l'oeil d'un grand réalisateur pour qu'on ait un travail vraiment marquant. Reste que le travail de mise en scène est d'une grande honnêteté. Sur le plan de la mise en scène, du rythme et de la direction d'acteurs, il est indéniable que le film est irréprochable. James Cagney, grand acteur et on l'oublie trop souvent grand danseur et ancien artiste de music-hall comme Chaney, réussit pleinement l'exploit d'être crédible dans le rôle-titre. L'univers des tournages à l'époque, où une équipe technique passait aussitôt d'un plateau à un autre, est bien représenté, et on notera pour l'anecdote que le producteur Irving Thalberg, un des hommes qui ont façonné l'âge d'or hollywoodien, est interprété par Robert Evans, futur producteur du "Parrain", de "Rosemary's Baby", etc... donc un des hommes qui façonneront le Nouvel Hollywood. Un film qui ne bouleverse pas le genre du biopic mais qui est une oeuvre très intéressante à regarder. Note : 15/20 (***) [img]http://storage.canalblog.com/6...[/img]
    • Plume231
      The Company She Keeps (1951) de John Cromwell [img]http://www.collectivator.com/f...[/img] Synopsis : A sa sortie de prison, une ancienne détennue rencontre un beau jeune homme. Alors qu'ils se voient de plus en plus régulièrement, elle ne veut pas lui avouer la raison pour laquelle elle a été condamnée. Cette liaison n'est pas anodine puisque le bel inconnu n'est autre que le soupirant de sa contrôleuse judiciaire... [img]http://4.bp.blogspot.com/-CW63...[/img] Critique : C'était une très bonne idée de traiter d'un sujet peu abordé par le cinéma américain de l'époque : la réinsertion des prisonnières dans la Société. Ce qui est moins bon, c'est le résultat. L'ensemble est trop moralisateur et souvent trop stéréotypé pour vraiment fonctionner. De plus, à part la belle Jane Greer agréablement surprenante dans le rôle d'une ancienne détenue et qui est le très gros point fort du film, l'interprétation n'est pas très convaincante surtout en ce qui concerne le premier rôle masculin totalement transparent. A voir éventuellement pour son idée de départ et pour Jane Greer. Note : 9/20 (**) [img]http://s3.amazonaws.com/auteur...[/img]
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