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    Phyllis Calvert
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    • Plume231
      La Madone aux deux visages (1945) d'Arthur Crabtree [img]http://media2.paperblog.fr/i/5...[/img] Synopsis : Traumatisé dans son adolescence, Maddalena possède une double personnalité. Le jour de la fête de sa fille, Angela, elle s'enfuit vivre avec son amant Nino, avec qui elle est Rosanna. [img]http://media.paperblog.fr/i/58...[/img] Critique : Un mélodrame anglais, gros succès dans son pays à l'époque, qui trouve son originalité à travers un cas psychanalytique crédible et passionnant. C'est un peu long à démarrer, par la suite l'ensemble souffre de quelques baisses de rythme mais sur certaines scènes, en particulier celles à résonance religieuse, la mise en scène est très inspirée et trouve même un ton gothique aussi fascinant que surprenant. Outre ces séquences et le type de cas psychanalytique présenté, la très bonne surprise du film vient de celle qui incarne celui-ci à savoir Phyllis Calvert qui donne une performance d'actrice brillante dans la peau d'une schizophrène aux personnalités diamétralement opposées. La fin où ces deux dernières arrivent enfin tragiquement à se concilier est très subtile. [img]http://nsm03.casimages.com/img...[/img] [img]http://media.paperblog.fr/i/58...[/img]
    • Plume231
      test
    • Plume231
      L'Homme en gris (1943) de Leslie Arliss [img]http://ecx.images-amazon.com/i...[/img] Synopsis : Deux étrangers lient conversation et évoquent l'histoire de leurs familles respectives. Retour dans l'Angleterre de 1830 : la riche et fragile Clarissa Richmond et son amie d'enfance, Esther Shaw, issue d'un milieu pauvre, se séparent lorsque cette dernière décide de suivre un jeune officier. Clarisse, pour sa part, épouse un dandy libertin, le marquis de Rohan. Quelques années s'écoulent. Clarisse retrouve son amie, devenue actrice, et s'éprend discrètement de son partenaire, Peter Rokeby... [img]http://img4.hostingpics.net/pi...[/img] Critique : Même si le film n'avait pas fait partie des "1001 films à voir avant de crever dans d'interminables et atroces souffrances", le synopsis et surtout le casting m'auraient poussé à le voir absolument. Bon à part un morveux peinturluré en noir totalement insupportable, rien à reprocher à cet excellent mélodrame gothique dont l'apparence évoque l'univers de Gainsborough (comme par hasard la boîte de production du film s'appelle Gainsborough Pictures !!!) et au fond très sombre et pas franchement guidé par un optimisme frais. Mais le meilleur réside dans un superbe casting. James Mason, dans son premier grand rôle majeur, la hyper-sexy Margaret Lockwood, alors dans une brillante période "garce", Stewart Granger, le sourire Colgate et sûrement aussi son premier rôle majeur, et Phyllis Calvert, très mignonne. L'autre grande force du film aussi ce sont les personnages par leur remarquable ambiguïté en particulier ceux de James Mason et de Margaret Lockwood qui tout en étant des sa[b]l[/b]auds n'en sont pas moins touchants (surtout Margaret Lockwood poussée par des motifs compréhensibles qui inspirent la pitié !!!). Un splendide mélo tragique comme je les adore. Note : 17/20 (****) [img]http://perspectivesgeopolitiqu...[/img]
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