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    Jean Servais
    Commentaires
    • Sacha P
      Le cousin belge de Jean Gabin. Le rôle de gangster classe a été inventé pour lui et on se désole de voir à quel point il est oublié aujourd'hui. Films à voir notamment : Du rififi chez les hommes (avec un des meilleurs casses vus au cinéma et une ambiance noire digne de Touchez pas au grisbi) et Quand la femme s'en mêle (premier film d'Alain Delon, avec aussi les jeune Bernard Blier et Jean Lefebvre, qui déroule une intrigue policière brillante dans la meilleure tradition des films noirs français années 50). Ces 2 films lui donnent à peu près le même rôle, caïd vieillissant mais qui se bat pour rester au sommet, dans lequel il excelle au même titre que Gabin et les stars US du genre.
    • Plume231
      L'Homme de Rio (1964) de Philippe de Broca [img]http://www.fashion-paradise.fr...[/img] Synopsis : Le deuxième classe Adrien Dufourquet est témoin de l'enlèvement de sa fiancée Agnès, fille d'un célèbre ethnologue. Il part à sa recherche, qui le mène au Brésil, et met au jour un trafic de statuettes indiennes. [img]http://www.gonemovies.com/WWW/...[/img] Critique : Une chose totalement étrange, ça fait la troisième fois que je vois ce film et la seconde vision date bien de la fin des années 90. C'est pas bien de se priver des meilleurs plaisirs de la vie, je suis con ou quoi ??? (celui qui répond à cette question je lui colle une tarte !!!). Car "L'Homme de Rio" est du plaisir à l'état pur. On convoque comme référence Hergé et Hitchcock, on monte à un rythme à 300 km à l'heure pour ne descendre parfois que pour nous faire mieux apprécier des dialogues aux petits oignons, on nous dépayse agréablement et on inspire Spielberg. "L'Homme de Rio" est aussi le film de mon premier amour, qui ne s'est jamais épuisé d'ailleurs : Françoise Dorléac, sublime, pétillante, incarnation parfaite de la chieuse à qui on a envie de tordre le cou toutes les deux secondes mais qu'on suivrait n'importe où n'importe quand les yeux fermés. La séquence où elle danse est...ouah... Et l'alchimie qu'elle a avec Belmondo est superbe. Parce que "L'Homme de Rio", c'est aussi Bébel. Bébel qui fait ses propres cascades, Bebel qui conduit une moto dans Paris, Bébel qui court dans le vaste chantier de construction qu'était Brasilia, Bébel qui pilote un avion, Bébel qui saute en parachute, bref Bébel déjà égal à lui-même c'est-à-dire grandiose. Alors Daniel Ceccaldi en policier bien parigot et peu intelligent, et puis surtout surtout Jean Servais en méchant très inquiétant, ce sont deux beaux bonus à un édifice génial. Et la fin, la fin... Pour Françoise, pour Bébel, pour l'aventure, parce que c'est le nec plus ultra du cinéma d'aventures qui ne sera qu'égalé que par "Les Aventuriers de l'Arche perdue", parce que c'est un des meilleurs films français tout simplement... [img]http://r21.imgfast.net/users/2...[/img] [img]http://static.lexpress.fr/medi...[/img]
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