Conduit en 1943 au fort de Montluc pour y être exécuté par les Allemands, le lieutenant Fontaine parvient à s'échapper en compagnie d'un autre prisonnier, Jost.
Evocation, parmi une dizaine, du procès de la célèbre pucelle d'Orléans où Robert Bresson s'est servi de textes authentiques du procès de condamnation, de dépositions et témoignages du procès de réhabilitation.
A sa sortie du séminaire, un jeune prêtre intègre sa première paroisse : d'Ambricourt. Idéaliste et dévôt, il se heurte très vite à l'hostilité de ses ouailles. La châtelaine notamment fait preuve d'un athéisme fanatique depuis la perte d'un de ses enfants. Lorsqu'elle meurt, les haines se cristallisent autour du jeune curé.
Hélène a juré de se venger de Jean, son amant qui la délaisse. Elle retrouve une de ses amies qui loue sa jeune fille à de riches fêtards. Hélène s'arrange alors pour que Jean rencontre la jeune Agnès. Mais celui-ci tombe amoureux d'Agnès et décide de l'épouser. Hélène, lui révèle alors que la jeune femme est une prostituée...
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Commentaires
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chrischambers86
C'est clairement le jansèniste du cinèma français, ètant entendu qu'il recherche un dèpouillement classique fort humain. Les dames du bois de Boulogne est un chef d'oeuvre, un film calcinè et èblouissant avec la garce Casares. Son journal d'un curè de campagne est peut-être son meilleur film et marque un tournant dans son oeuvre. Son Procès de Jeanne d'Arc est son film le plus difficile parce qu'il atteint le comble du dèpouillement. Que dire de Mouchette et d'Au Hasard Balthazar qui sont des oeuvres inoubliables et plastiquement superbes. En tout cas si Bresson dèpouille ses personnages, c'est au sens propre...