Le banquier Favraux ne compte plus les victimes qu'il a depouillees, les poussant parfois jusqu'au suicide. C'est ainsi que le fils de l'une d'entre elles decide de se venger. Il prend le pseudonyme de Judex et s'introduit aupres du banquier en qualite de secretaire.
Encore une victime de Fantômas : le marquis de Tergali. A St Calais, deux apaches de la bande de Fantômas, Paulet et Ribonard, ont volé les diamants de sa veuve, la Marquise de Tergali. Quant à Fantômas, il s’est évadé de prison, a assassiné le juge Pradier et usurpé son identité au tribunal de St Calais. Il tire vite avantage des événements...
Un vol est commis dans l'hôtel particulier de la princesse Danidoff à Paris. L'inspecteur Juve enquête et découvre sur les lieux la carte de visite de Fantomas, un célèbre criminel aux multiples visages.
Malgré les appréhensions de sa femme, après la visite d'une chiromancienne, Monsieur Jacques Trévoux se rend à New York pour affaire et prend place à bord du Titanic. Avec une modernité étonnante, Feuillade signe l’un de ses meilleurs films, que l’on qualifie souvent de chef d’œuvre inconnu.
Une nouvelle pièce est interprétée au Lycoeum Théâtre, "La Vierge de Corinthe". Le public l'acclame et demande à voir l'auteur, Paul Dancourt. Celui-ci est invisible, la pièce ayant été déposée dans la boite au lettre du théâtre sans même avoir été signée. L'auteur se révèle être un nain. Reclus dans l'anonymat, il se prend ...
Anna est serveuse dans un dancing parisien qu'elle quitte pour travailler dans un hôpital caritatif. Au fil des ans, elle se hisse à la tête de l'institution, mais lorsqu'un vieil habitué du dancing reconnaît sa photo, il tente de la faire chanter. La Tare est exemplaire des intentions de Louis Feuillade envers la ligne, tant esthétique que morale, de sa collection de films classés sous l’enseigne de « la Vie telle qu’elle est », équivalent cinématographique des romans de Zola et de Goncourt.
Darbois, manufacturier, reçoit un télégramme de son ingénieur Brémond lui annonçant son retour de l'étranger avec une formule secrète pour fabriquer du caoutchouc artificiel. Berwick, homme d'affaires véreux, sollicite Darbois pour son trust, mais ce dernier refuse. Dans la grisaille revendiquée de la série (le quotidien, toujours le quotidien, rien que le quotidien…), et malgré son sujet anti-cinématographique, Le Trust recèle quelques scènes rafraîchissantes et, surtout, une sorte de prémonition esthétique quant à l’avenir de son réalisateur.