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    Gunnar Björnstrand
    Découvrez les meilleurs films et séries TV de Gunnar Björnstrand
    1. Bande-annonce Les Fraises sauvages
      1

      Les Fraises sauvages

      Métier : Acteur
      Presse
      4,6
      Spectateurs
      4,1
      Le docteur Isak Borg part à Lund pour assister à une cérémonie de jubilé en son honneur. Au cours de ce voyage, accompagné de sa belle-fille, il fait le point sur sa vie et finalement se réconcilie avec lui-même.
      noter :
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    2. Bande-annonce Persona
      2

      Persona

      Métier : Acteur
      Presse
      5,0
      Spectateurs
      4,2
      Les relations d'une actrice soudain frappée de mutisme et de son infirmière bavarde. Un processus d'osmose des personnalités va contribuer à la guérison de la comédienne, mais renforcera peut-être la solitude de l'infirmière.
      noter :
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    3. La Honte
      3

      La Honte

      Métier : Acteur
      Spectateurs
      4,0
      Sur une iîe, un couple de musiciens se retrouve plongé dans une guerre civile.
      noter :
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    4. Bande-annonce A travers le miroir
      4

      A travers le miroir

      Métier : Acteur
      Spectateurs
      3,9
      Des tensions très vives se font sentir lors d'une réunion de famille. David, écrivain rate, voit sa fille Karin atteinte de délires de plus en plus prononces. La jeune femme qui ne trouve aucun réconfort près de son mari se rapproche de son jeune frère Frederick.
      noter :
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    5. Bande-annonce Sourires d'une nuit d'été
      5

      Sourires d'une nuit d'été

      Métier : Acteur
      Spectateurs
      3,9
      Séduisant quadragénaire, Frederik Egerman a épousé en secondes noces Anne, qui a l’âge de son fils Henrik. Épouse insatisfaite, Anne a pour confidente et complice Petra, la soubrette, dont les charmes ne laissent pas Henrik indifférent. 
      noter :
      0.5
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    6. Bande-annonce Le Septième Sceau
      6

      Le Septième Sceau

      Métier : Acteur
      Presse
      4,6
      Spectateurs
      3,9
      De retour des croisades, un chevalier rencontre la Mort en chemin. Il lui propose une partie d’échecs afin de retarder l’échéance fatidique et trouver des réponses à ses questionnements sur la foi.
      noter :
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    7. La Nuit des forains
      7

      La Nuit des forains

      Métier : Acteur
      Spectateurs
      3,8
      En 1900, un petit cirque ambulant donne des représentations au hasard des villes rencontrées. La petite troupe s’arrête dans un village où, trois ans plus tôt, le directeur du cirque a abandonné sa femme et ses enfants. Il leur rend visite.
      noter :
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    Commentaires
    • Plume231
      Fanny et Alexandre (1982) d'Ingmar Bergman [img]http://crazy80.c.r.pic.centerb...[/img] Synopsis : En Suède, au début du XXe siècle. Helena Ekdahl, propriétaire du théâtre d'Uppsala, a invité sa famille et ses amis pour de somptueuses festivités de Noël. Ses trois fils sont présents, Oscar, comédien médiocre, Gustav Adolf, éternel coureur de jupons, et Carl, un professeur alcoolique. Parmi les petits-enfants qui prennent joyeusement part à la fête, Fanny et Alexandre. Au cours d'une répétition, leur père, Oscar, est victime d'une hémorragie cérébrale. Sa mort soudaine jette la consternation dans la famille Ekdahl. L'évêque Edvard Vergerus célèbre les funérailles. Il séduit Emilie, la jeune veuve, et bientôt l'épouse, au grand effroi des enfants, qui redoutent son puritanisme obsessionnel... [img]http://img.over-blog.com/600x4...[/img] Critique : Dire que j'ai eu un immense coup de coeur pour cette oeuvre, qui est la somme et le testament d'un des plus grands cinéastes du monde ainsi que son film le plus abouti, relèverait de l'euphémisme. J'ai rarement autant senti la perfection dans tous les aspects d'une mise en scène absolument magnifique et magistrale, en un mot parfaite dans le sens le plus prodigieux du terme. Il y a tout Bergman dans ce film : le puritanisme, l'hédonisme, l'art de l'ellipse, la densité, le fantastique, des éléments autobiographiques. Mais il y a aussi des références à Strindberg, à Dickens. Et même Shakespeare vient enrichir un récit fascinant, d'autant plus qu'on le voit par le regard d'un enfant, et au final optimiste qui ne va jamais là on l'attend. Ingmar Bergman était un génie. "Fanny et Alexandre", chef d'oeuvre absolu, en est une preuve définitive et merveilleuse. Note : 20/20 (*****) :love2: :love2: :love2: [img]http://farm3.static.flickr.com...[/img] [img]http://thinesclaude.wifeo.com/...[/img] [img]http://mediapub2.canalplus.fr/...[/img] [img]http://www.cinema-francais.fr/...[/img]
    • Plume231
      A travers le miroir (1961) d'Ingmar Bergman [img]http://www.affichescinema.com/...[/img] Synopsis : Des tensions tres vives se font sentir lors d'une reunion de famille. David, ecrivain rate, voit sa fille Karin atteinte de delires de plus en plus prononces. La jeune femme qui ne trouve aucun reconfort pres de son mari se rapproche de son jeune frere Frederick. [img]http://www.ingmarbergman.se/se...[/img] Critique : Allez je continue mon odyssée bergmanienne avec "A travers le miroir". Alors Ingmar Bergman, est avec Alfred Hitchcock et David Lynch, le cinéaste qui est le plus capable de nous tripatouiller le cerveau voir même carrément le harponner du début jusqu'à la fin lorsqu'il est à son sommet (cf. Persona!!!). Là, ce n'est uniquement que par instance car Bergman a tendance parfois à tomber dans ses travers emphatiques, qui était sa seule véritable faiblesse, en particulier dans le dernier tiers où il aurait gagné à être plus subtil (la toute dernière scène est quand même réussie!!!). Le sujet, comme dans 90% des films de Bergman est hyper-ambitieux, et donne lieu à quelques moments forts comme la petite représentation théâtrale qui fait le parallèle avec la vie du personnage interprété par Gunnar Björnstrand (étant donné que c'est mon acteur scandinave préféré, il ne peut qu'être que très bon et c'est le cas!!!). Mais le sommet vient certainement de la scène qui se déroule entre frère et soeur dans la soute du bateau échoué où on ressent vraiment comme le frère un véritable désir incestueux pour la soeur (rassurez-vous aucun risque que ça m'arrive à moi-même, je n'ai pas de soeur!!!). La très belle Harriet Andersson (put... qu'est que je fous en France, moi ???) s'en sort avec tous les honneurs d'un rôle pas forcément super évident. Pas mal ce huis-clos à quatre personnages même si pour moi ce n'est pas un sommet bergmanien bien que plusieurs personnes sont en désaccord avec cette affirmation. Prochaine victime, j'hésite entre me mettre à l'heure du loup ou à me rafraîchir à la source. Note : 14,5/20 (***) [img]http://bergmanorama.webs.com/g...[/img]
    • Plume231
      La Honte (1968) d'Ingmar Bergman [img]http://filmsdefrance.com/img/1...[/img] Synopsis : Eva et Jan, deux ex-musiciens, mènent une vie modeste sur une île, oublieux des rumeurs d’une guerre qui pour eux existe depuis toujours, au loin. Mais un jour cette guerre arrive à leur porte et ils ne peuvent plus prétendre qu’elle ne les concerne pas... [img]http://2.bp.blogspot.com/_umfx...[/img] Critique : D'après Liv Ullmann dans le très bon petit bonus qui est dans le DVD du film, c'est de l'imagerie terrifiante de la Guerre du Viêtnam qui passait alors en boucle à l'époque à la télévision qu'Ingmar Bergman s'est nourri pour réaliser cette oeuvre. Et cela se voit par l'intermédiaire d'images froides de violence, bien soulignées par le noir et blanc de Sven Nykvist, qui font directement penser aux images d'archives qu'on a pu voir autour de ce conflit. Mais "La Honte" est beaucoup plus un film de guerre psychologique que physique. D'abord par son côté kafkaïen car comme les deux personnages principaux on ignore totalement le pourquoi de cette guerre. Ensuite parce que c'est un de ces portraits de couple bien "optimistes" qui était un des grands thèmes récurrents de l'oeuvre bergmanienne. Et puis surtout le film permet de voir, le tout décrit avec une minutie quasi-chirurgicale, comment des êtres humains normaux peuvent être amenés à commettre des actes inimaginables quand ils sont poussés à bout. Flippant comme l'oeuvre de Bergman pouvait vraiment l'être. Note : 16/20 (****) [img]http://i142.photobucket.com/al...[/img]
    • Plume231
      L'Attente des femmes (1953) d'Ingmar Bergman [img]http://dvdtoile.com/FILMS/8/86...[/img] Synopsis : Une maison de vacances, au bord d’un lac. Des femmes passent la soirée entre elles, attendant que leurs maris respectifs, quatre frères, les y rejoignent. Elles sont diversement pleines d’espoir ou tendues, selon que leur couple va bien ou pas, et l’attente les incite à se remémorer ce qui, pour chacune, fut le moment où l’orientation de sa relation conjugale s’est décidée. [img]http://t3.gstatic.com/images?q...[/img] Critique : Ce qui est bien avec les films d'Ingmar Bergman, en particulier ceux des années 50, c'est qu'avec les actrices que l'on voit défiler sur l'écran on accepterait sans problème d'être transféré à Saxtorpsskogen. Mais pour en revenir au film, disons qu'il est intéressant mais un peu bancal. Il y a 4 femmes donc normalement 4 histoires. Le fait qu'il n'y a pas au final de quatrième histoire donne l'impression de voir Ingmar Bergman montrant le cadran de sa montre et disant "Hop, hop, hop, on a pas le temps. Rangez le matériel, le tournage est fini, on se casse!". Comme Mankiewicz avant qu'il tourne "Chaînes conjugales", auquel ce film fait inévitablement penser, Bergman aurait mieux d'éjecter la quatrième femme et de n'en mettre que trois. Mais pour en revenir au trois histoires (je sens que je vais écrire la plus longue critique de ma carrière!!!), la première manque sérieusement de consistance mais permet de voir la superbe actrice du chef d'oeuvre méconnu "Mademoiselle Julie", Anita Björk, en maillot de bain (oui, bon je sais...!!!) et d'entendre une réplique étincelante qui fleure bon l'optimiste "Le pire n’est pas d’être trompé, mais d’être seul. Je ne sais pas si c’est vrai, mais ça sonne bien". La seconde, la partie la plus longue, est intéressante par son thème et son traitement (style Eisenstein lors de la scène du cabaret!!!) même si les motivations des personnages sont parfois un peu trop inexplicables. A noter quelques extérieurs à Paris, étonnant quand on sait que l'autre n'était pas trop du genre à quitter son île comme feu mon chat tendrement aimé son appartement. La troisième, on est en pleine comédie à la Guitry. Difficile de ne pas trouver plaisir à cela même si la fin ramène durement à la réalité. Et puis, chose que ne fera que confirmer par la suite "Une Leçon d'amour", le couple formé par Eva Dahlbeck et Gunnar Björnstrand fonctionne à mort. Trois portraits de couple pas franchement optimistes, un peu inégaux (enfin surtout le premier et un peu pour le second!!!) mais de très grands moments bergmaniens avec une conclusion remarquable. (ah non, perdu...!!!) Note : 14/20 (***) [img]http://shangols.canalblog.com/...[/img] [img]http://www.ingmarbergman.se/se...[/img]
    • Plume231
      Les Communiants (1962) d'Ingmar Bergman [img]http://www.notrecinema.com/ima...[/img] Synopsis : Le pasteur Thomas Ericsson est pris d’une crise de foi. Il se heurte à un Dieu silencieux et finit par ne plus croire en son existence. Jonas Persson, un pêcheur hanté par la peur de la fin du monde, est poussé par sa femme à s’entretenir avec le pasteur. Mais Thomas ne fait qu’aggraver l’angoisse de Jonas qui, en quittant la chapelle, se tire une balle dans la tête... [img]http://alombreducactusflottant...[/img] Critique : C'est surtout pas avec ce film qu'il faut lâcher les confettis et sortir les langues de belle-mère. Il était pas gai le père Bergman quand il a fait ce film. D'habitude, il y a toujours une toute petite touche d'espoir ou de fraîcheur mais là rien. C'est une oeuvre totalement désespérante. Il suffit d'entendre le pasteur interprété par Gunnar Björnstrand dire d'un ton sec ses quatre vérités à une Ingrid Thulin les mains bouffés par l'eczéma et des hublots devant les yeux (je l'ai vu beaucoup plus sexy la Ingrid!) pour s'en apercevoir. Pour tout dire, cela donne envie de faire comme le personnage de Max Von Sydow en se tirant une balle dans la tête. Et pourtant, on sent bien que ça bouillonne derrière ce ton sec et cette mise en scène belle mais épurée. Et émotionnellement, ça fait son effet. Plus on en apprend sur le personnage principal dont on ne voit à peine une journée de sa vie au cours du film, plus on est ému. Gunnar Björnstrand et Ingrid Thulin sont parfaits je tiens à le dire tout de suite et le film leur doit une partie de sa force. L'autre partie vient de l'épurement et de la beauté visuelle de la mise en scène d'Ingmar Bergman qui arrive vraiment à nous faire entrer dans le coeur des êtres. C'est ça la grande force de sa mise en scène. C'est noir, c'est désespérant mais qu'est que c'est beau. Note : 16/20 (****) [img]http://farm5.static.flickr.com...[/img]
    • Plume231
      Le Visage (1958) d'Ingmar Bergman [img]http://lausanne.cine.ch/images...[/img] Synopsis : Le magnétiseur et illusionniste Albert Emmanuel Vogler est arrêté, ainsi que sa troupe, par le préfet et le consul d’une petite ville de Suède. Ils subissent l’interrogatoire de Vergelus, un médecin qui refuse l’irrationnel et qui entend prouver que Vogler use de charlatanisme. Tubal, le bonimenteur, la grand-mère de Vogler, qui dit être une sorcière âgée de deux cents ans, M. Aman l’assistant du docteur et Simson l’écuyer, sont condamnés à résidence dans la demeure du consul. Amours, haines, relations troubles vont s’exacerber durant une nuit d’orage... [img]http://media.ne.se/neimage/108...[/img] Critique : Le grand mérite de ce film est d'avoir réussi à imposer dès la première scène une atmosphère gothique, un brin sinistre et légèrement enchanteur avec des paysages volontiers isolés et hivernaux, et même le corbeau qui croasse c'est dire. Le noir et blanc sombre et l'étrangeté des personnages donnent la touche finale. On a tout Bergman dans ce film, l'illusion, la croyance, l'art au service du mensonge, etc... . Après une scène en extérieurs encourageante, le film part un peu trop hélàs dans une première heure un peu trop théâtre filmé inégal. Mais passée la dernière heure et avec la scène angoissante du grenier avec le médecin (bien fait pour sa gueule à celui-là!), on retrouve du très grand Bergman qu'un final totalement innatendu vient conclure assez magistralement. Max Von Sydow qui ne parle pas pendant les deux tiers est fascinant dans un personnage ambigu mais émouvant, Ingrid Thulin travestie en garçon et Gunnar Björnstrand en médecin arrogant qui refuse l'irrationnel prouvent à travers des grandes interprétations la maîtrise particulière de la direction d'acteurs chez Bergman. Dans le genre ambiance enchanteresse tour à tour grave ou légère sur un fond sombre et légèrement sinistre, j'ai une large préfèrence pour "Le Septième Sceau" mais "Le Visage" a une certaine efficacité indéniable. Note : 13/20 (***) [img]http://gi108.photobucket.com/g...[/img]
    • Plume231
      test
    • Plume231
      Une Leçon d'amour (1954) d'Ingmar Bergman [img]http://movieposters.2038.net/p...[/img] Synopsis : David, gynécologue, se divertit avec une amie lors d'un voyage en train. Il tient le pari d'aller embrasser une jolie voyageuse. Il y parvient, ce qui n'est pas trop difficile étant donné que la jeune femme est son épouse. Seulement, le couple est en froid et David va tenter de reconquérir sa femme... [img]http://ss11i01.stream.ip-only....[/img] Critique : L'"Usure du couple", une véritable mine d'or pour de nombreux cinéastes pour des grands cinéastes comme Lubistch, McCarey, Cukor, Guitry, Rossellini ou plus récemment Mendes qui n'ont pas hésité à y piocher, souvent avec succès. Et bien sûr aussi Bergman, ici il choisit une structure en flash-back non chronologique qui amène petit à petit à mieux nous faire connaître ce couple sur le point de se séparer mais qui sait au fond d'eux-mêmes qui s'aiment toujours. Cette structure sera d'ailleurs réutilisée magistralement par Stanley Donen pour son très beau "Voyage à deux". Mais pour en revenir au Bergman, le cinéaste prend le pari difficile de conter une histoire dramatique (avec quelques moments de comédie!) sur un ton léger. Pari hélàs pas totalement réussi, on ne peut se dire submerger par une émotion qui aurait pu venir facilement. Par ailleurs, si certains dialogues sont très bons, d'autres manquent de pertinence. Mais le film regorge de quelques moments de grâce, d'un visuel élégant très caractéristique des années 50 et enfin d'une excellente interprétation. Gunnar Björnstrand (Michael Redgrave dans "L'Ombre d'un homme" mais en plus cool et sympatoche) et Eva Dahlbeck sont parfaits. Une belle "comédie pour adultes" pas totalement maîtrisé mais qui constitue une découverte intéressante. Note : 14/20 (***) [img]http://navid.blogg.se/images/2...[/img]
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