Mon compte
    Thomas Mitchell
    Commentaires
    • tomPSGcinema
      [img]http://multimedia.fnac.com/mul...[/img]Quasimodo de William Dieterle Me souvenant finalement que très peu du roman de Victor Hugo, je ne pourrais pas dire si cette version s’avère d’une grande fidélité au matériau d’origine, mais qu’importe puisque j’ai passé un très grand moment de cinéma. La mise en scène de William Dieterle est superbe et certaines séquences sont franchement inoubliables – notamment celles qui concerne Louis XI visitant l’imprimerie -, les décors et la photographie sont particulièrement soignés et le casting est excellent. Dans le rôle de Quasimodo on retrouve le magistral Charles Laughton qui fait preuve d’une grande justesse et de beaucoup d’émotions et nul doute que si sa prestation s’avère aussi marquante encore aujourd’hui, elle le doit aussi aux faramineux maquillages que son personnage possède. A ses côtés, nous retrouvons la magnifique actrice irlandaise Maureen O’Hara qui campe avec une belle volonté la belle Esmeralda, mais aussi sir Cedric Hardwicke dans le rôle de Frollo, Edmond O’Brien interprète Gringoire et Thomas Mitchell, Clopin. Bref, il n’y a que du beau monde dans cette palpitante superproduction de la RKO ! 4*17/20 [img]http://www.k-libre.fr/klibre-b...[/img] [img]http://media.paperblog.fr/i/35...[/img] [img]http://www.devoir-de-philosoph...[/img]
    • Plume231
      Quasimodo (1939) de William Dieterle [img]http://images.fan-de-cinema.co...[/img] Synopsis : Comme chaque jour de l'an sous le règne de Louis XI, une foire populaire a lieu sur le parvis de Notre-Dame, à Paris. C'est là que l'alchimiste Frollo remarque Esmeralda, une ravissante danseuse dont la grâce captive la foule et le séduit lui-même aussitôt. A peine a-t-il le temps de préparer son enlèvement que la belle, poursuivie par des gardes, se réfugie dans la cathédrale. Frollo ne s'avoue par vaincu pour autant : il charge Quasimodo, le bossu de Notre-Dame, d'enlever la jeune femme. L'homme au physique contrefait, qui se souvient qu'Esmeralda lui avait donné de l'eau lorsqu'il était au pilori, est heureux de voir sa mission compromise par l'intervention de Phoebus, le beau capitaine des archers, dont la bohémienne s'éprend sans tarder... [img]http://media.paperblog.fr/i/35...[/img] Critique : Hollywood et les adaptations fidèles d'oeuvres littéraires ont toujours fait deux. Et "Quasimodo" est très loin d'être une exception car il trahit énormément le chef d'oeuvre de Victor Hugo. Mais comme la fidélité d'une adaptation ne doit pas être un critère pour juger un film, on peut se laisser prendre par cette oeuvre assez surprenante qui présente l'idéologie des "Lumières" à l'époque de Louis XI, en fait surtout prétexte à donner un fond humaniste. Cet aspect de l'oeuvre est louable mais peu crédible. Maureen O'Hara ne fait pas très bohémienne mais comme elle est canon et qu'elle est loin de manquer de talent, on pardonne largement cela. Mais le film vaut surtout pour l'interprétation excellente de Charles Laughton en Quasimodo avec en prime un stupéfiant maquillage et une réplique qui fait penser à une future d'"Elephant Man", certaines séquences bien inspirées en particulier celles de foule (ou celle de la cloche qui peut être assimiler à un orgasme !!!) et des décors grandioses. Note : 14,5/20 (***) [img]http://petit-ecran.org/wp-cont...[/img]
    • Plume231
      Milliardaire pour un jour (1961) de Frank Capra [img]http://ecx.images-amazon.com/i...[/img] Synopsis : New York, au début du XXe siècle. Dave-le-dandy, patron d'un club de jeu, est devenu le défenseur des petites gens, enfants, mendiants et poètes confondus. Sa nouvelle protégée est une orpheline de vingt ans, Queenie, que son père lui a confiée avant de mourir. Annie, une clocharde, frappe à sa porte, bien embarrassée. Sa fille Louise, élevée dans un couvent et ignorant la situation de sa mère, lui a annoncé sa visite en compagnie de son fiancé, un comte espagnol fortuné. Dave et ses amis décident de jouer la comédie à Louise et de se faire tous passer pour des notables de la ville, avec l'espoir de tromper la famille très collet monté du futur époux... [img]http://xfinitytv.comcast.net/b...[/img] Critique : Après une petite série de films moyens pour ne pas dire parfois vraiment très moyens, Frank Capra réussissait à retrouver en grande partie son vieil éclat de très grand réalisateur pour ce qui sera son dernier long-métrage. Il faut bien dire qu'il a aussi tout fait pour. En reprenant par exemple le scénario d'un de ses anciens films "Lady for a Day" et en évitant de refaire toutes les erreurs qu'il y avait dans ce dernier (notamment une très grosse et interminable faute de rythme entre le moment où le gangster philanthrope est arrêté par la police et celui où il débarque à la réception avec tous les notables de la ville. Je la cite parce qu'elle m'a vraiment marquée !!!). Et en choisissant aussi un casting qui tient du sans-faute. Bette Davis, Glenn Ford, Hope Lange, Peter Falk, etc... impeccables. D'ailleurs il est impossible de voir qu'il y a eu tension sur le tournage entre les trois premiers car la complicité entre leurs personnages apparaît très authentique (putain de stars, c'est pour cela qu'on les adore malgré tout !!!). L'histoire a beau être gentiment désuète (et paradoxalement intemporelle !!!), les décors ont beau être en pur toc, Frank Capra arrive tout de même à nous emporter une dernière fois avec son foutu idéalisme. Réussir à nous faire avaler n'importe quoi, ça doit être ça la marque des maîtres. Note : 16/20 (****) [img]http://storage.canalblog.com/9...[/img]
    • tomPSGcinema
      LA PENICHE DE L'AMOUR [img]http://www.cinema-francais.fr/...[/img] Il est vraiment dommage que ce long métrage ne soit pas très connu par le grand public, car son histoire est vraiment très attrayante, la mise en scène d'Archie Mayo ( réalisateur du très bon film de guerre " Requins d'acier " à la même époque ) est d'une grande sincérité et fait d'ailleurs penser au style d'un certain Frank Borzage ( " Ceux de la Zone " ), et en plus son casting est franchement excellent. En tête d'affiche, on retrouve un Jean Gabin qui est tout de même particulièrement à l'aise, surtout quand on sait que l'on a affaire au tout premier film américain qu'aura tourné l'acteur français, et celui-ci s'en sort remarquablement aux niveaux des dialogues notamment. A ses côtés, se trouve la charmante et adorable Ida Lupino ( qui joue le rôle d'une femme au tempérament suicidaire et qui tombera amoureuse du personnage de Gabin, au point de l'épouser ), l'excellent Claude Rains ( dans celui du fidèle ami de Gabin ) ou encore le fameux Thomas Mitchell ( parfait dans celui du maître chanteur que l'on a franchement très vite envie de détester ). En résumé, il s'agit donc d'une excellente surprise qui mériterait d'être bien plus reconnue. 3,5*16,5/20 [img]http://image.toutlecine.com/ph...[/img]
    • Plume231
      L'Aventure (1945) de Victor Fleming [img]http://scootermoviesshop.com/c...[/img] Synopsis : Gable est de retour, Garson le tient ; le rude débardeur et le docile bibliothécaire sombrent tous deux dans une lourde comédie. Même le jovial Blondell n'arrive pas à arranger les choses. [img]http://tcmmoviemorlocks.files....[/img] Critique : Pour son come-back après la mort tragique de sa femme Carole Lombard et avoir combattu l'armée de l'air américaine pendant la Guerre, Clark Gable a tourné dans ce film. Il y a pratiquement tout : deux partenaires féminines de choix (Greer Garson, Joan Blondell), un second rôle excellent (Thomas Mitchell), la griffe MGM qui garantie l'élégance du style et un réalisateur solide qui a déjà fait grandement ses preuves (Victor Fleming). Il manque juste un petit détail tout con : un bon script. Histoire totalement décousue et évolution psychologique des personnages minables sont ce que l'on retient de ce film jugé à juste titre médiocre. Difficile de ne pas s'ennuyer et de n'avoir envie que d'une chose : l'oublier. Note : 4/20 (*) [img]http://blogs.allocine.fr/blogs...[/img]
    • Plume231
      La Vie est belle (1946) de Frank Capra [img]http://medias.fluctuat.net/fil...[/img] Synopsis : En cette nuit de Noël 1945 dans la petite ville de Bedford Falls, tout le monde prie pour Georges Bailey, éminent habitant de la ville. Dès sa plus tendre enfance, il a toujours été d’une grande aide envers ses concitoyens à travers la société de prêts et construction hérité de son père, laissant ainsi de coté ses rêves d’évasion. Potter, l’homme le plus riche de la ville, a toujours trouvé en la famille Bailey ses principaux rivaux qui ne cessent de semer des embûches sur le chemin qui le mène à son emprise totale sur la ville. En restant inlassablement à Bedford Falls où il rencontra Mary Hatch la mère de ses enfants, Georges Bailey laissa partir les autres à sa place et notamment Harry Bailey, son frère cadet, auréolé en cette veille de Noël de son courage héroïque durant la guerre. C’est par mégarde que l’oncle Billy, égarera ce même jour les 8 000 dollars qu’il devait remettre à la banque au compte de la société, et que Potter ne manquera pas de substituer. Esseulé et désespéré, Georges doit aujourd’hui faire face à une situation financière désastreuse et songe sérieusement à mettre fin à ses jours. Clarence, un ange de seconde classe qui attend l’obtention de ses ailes, descend sur Terre pour lui venir en aide... [img]http://cinema.critictoo.com/wp...[/img] Critique : LE classique ultra-supra-super populaire, le chef d'oeuvre à jamais incontournable du cinéma, et quelle en est la raison principale ??? Ben tout simplement parce qu'il arrive à la perfection à faire ce que très peu de films ont réussi : nous toucher directement au plus profond de notre coeur. Même les plus cyniques d'entre nous devront capituler. Frank Capra croit en l'être humain et nous donne envie d'y croire en abordant avec optimisme mais aussi avec intelligence les valeurs existentielles qui font que la vie vaut la peine d'être vécue. Esthétiquement, l'oeuvre est sublime portée par des décors et un noir et blanc d'une beauté insondable. Capra aimait à croquer des personnages forts et il le montre mieux que jamais ici. Lionel Barrymore, inégalable en Ebenezer Scrooge définitivement irrécupérable, et Henry Travers, en ange gardien au grand coeur, en sont parmi pourtant tant d'autres qui mériteraient aussi d'être cités les exemples les plus mémorables. On ne peut que remercier Jean Arthur et Olivia de Havilland d'avoir refusé le rôle attribué à Donna Reed. Car cette dernière y apparaît comme totalement idéale. Et seul James Stewart, qui est la plus grande et la plus belle incarnation de l'américain ordinaire, pouvait jouer aussi magistralement le rôle de l'attachant George Bailey. La musique entrainante et émouvante de Dimitri Tiomkin fait le reste. "La Vie est belle" est un des films les plus aimés au monde et il suffit de le regarder pour savoir pourquoi. Note : 19/20 (*****) [img]http://image.toutlecine.com/ph...[/img]
    • Plume231
      test
    Back to Top