De l’aube à la nuit au rythme des appels à la prière. Une foule étonnante grouille et s’agite sur les terrasses d’Alger. Des espaces clos, devenus miroirs à ciel ouvert des contradictions, de la violence, de l’intolérance, des conflits sans fin qui minent la société algérienne.
Après les émeutes de décembre et les premières marches pacifiques, alors que le printemps arabe commence en Tunisie et en Egypte, Fouzi réunit ses comédiens pour leur montrer le montage inachevé du film qu’il a réalisé deux ans auparavant sur la désillusion de la jeunesse...