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    Barbara Rush

    État civil

    Métier Actrice
    Nationalité
    Américaine
    Naissance 4 janvier 1927 (Denver, Colorado - USA)
    Age
    97 ans

    Biographie

    Étudiante à l’Université de Californie avant de prendre des cours de théâtre à l’École d’Art dramatique de Pasadena, Barbara Rush est très vite repérée par un agent de la Paramount Pictures. Dès 1950, elle tourne dans son premier long métrage (Molly la meilleure des amies) et devient l’enfant chérie des médias en raison de sa romance avec le très convoité Jeffrey Hunter, acteur qu'elle épouse cette même année.

    Malgré quelques premiers rôles secondaires et sans grand relief (Le Choc des mondes, Québec, La Première Légion, Les Flèches brûlées et Le Roi pirate) pour la Paramount Pictures, son élégance et son aisance retiennent l'attention d'Universal Pictures qui en fait très vite une figure incontournable des mélodrames romantiques, dans lesquels elle s’attire généralement les faveurs du héros (Taza, fils de Cochise, Le Chevalier du roi, Le Secret magnifique). Cela lui permet de donner la réplique aux plus grands sex-symbols de l’époque, de Marlon Brando (Le Bal des maudits) à Kirk Douglas (Liaisons secrètes), en passant par James Mason (Derrière le miroir). A contre-courant des starlettes sublimes et aguicheuses de l'époque, Barbara Rush préfère incarner une beauté aussi élégante que digne.

    Ses rôles gagnent alors en profondeur et en importance, et l'actrice devient l’incarnation de la femme parfois mauvaise et manipulatrice, parfois fragile, mais toujours au cœur du drame, comme dans Flight to Hong Kong, Ce monde à part ou encore Les Sensuels en 1957, dans lequel elle donne la réplique à Jeffrey Hunter, duquel elle a divorcé deux ans plus tôt.

    Malgré la reconnaissance de ses pairs (elle reçoit le Golden Globes du Meilleur espoir féminin en 1954 pour son rôle dans le classique de science-fiction Le Météore de la nuit), il lui arrive de se plaindre de la qualité médiocre des rôles qui lui sont proposés. Sa carrière entame d’ailleurs un déclin marqué à partir des années 60. Remariée à un publiciste, Barbara Rush privilégie alors le petit écran, pour lequel elle tourne aussi bien des séries que des téléfilms (The Man, Le Dernier jour), mais aussi les planches (elle reçoit notamment le prix théâtral Sarah Siddons en 1970 et se produit à Broadway dans un one-woman show, en 1980). Cette même année marque son retour sur le grand écran avec Rien n'arrête la musique de Nancy Walker, mais ces retrouvailles sont de courte durée : l'actrice consacre en effet les dernières années de sa carrière à la télévision, notamment dans la série 7 à la maison.

    Ses premiers pas à l'écran

    Molly la meilleure des amies
    Molly la meilleure des amies
    Date de sortie inconnue
    Quebec
    Quebec
    Date de sortie inconnue
    La Première Légion
    La Première Légion
    Date de sortie inconnue
    Le Choc des mondes
    Le Choc des mondes
    Date de sortie inconnue

    Ses meilleurs films et séries

    Le Bal des maudits
    Le Bal des maudits
    1958
    Le Secret magnifique
    Le Secret magnifique
    1954
    Hombre
    Hombre
    1967
    Ce monde à part
    Ce monde à part
    1959

    Sa carrière en chiffres

    56
    Années de carrière
    2
    Récompenses
    36
    Films
    11
    Séries
    2
    Nominations
    12,9 M
    Entrées ciné

    Genres de prédilection

    Drame : 43 %
    Comédie : 24 %
    Western : 19 %
    Romance : 14 %

    Ses stats sur AlloCiné

    0
    Vidéo
    3
    Photos
    0
    News

    A tourné le plus avec

    Douglas Sirk
    Douglas Sirk
    5 films
    Capitaine Mystère (1955), Le Secret magnifique (1954), Taza, fils de Cochise (1954), La Première Légion (1951), La Première Légion (1951)
    Tony Randall
    Tony Randall
    3 films
    Cutter (1972), Hombre (1967), Les Sensuels (1957)
    Dean Martin
    3 films
    Les Sept Voleurs de Chicago (1964), T'es plus dans la course, papa ! (1963), Le Bal des maudits (1958)
    Rock Hudson
    3 films
    Capitaine Mystère (1955), Le Secret magnifique (1954), Taza, fils de Cochise (1954)
    Flight to Hong Kong (1956), El Tigre (1955)
    Le Secret magnifique (1954), Taza, fils de Cochise (1954)
    Charles Boyer
    2 films
    La Première Légion (1951), La Première Légion (1951)
    Paul Newman
    2 films
    Hombre (1967), Ce monde à part (1959)
    John Hoyt
    2 films
    Quebec (1951), Le Choc des mondes (1951)
    La Première Légion (1951), La Première Légion (1951)
    Le Dernier jour (1975), Superdad (1973)
    Martin Ritt
    2 films
    Hombre (1967), Les Sensuels (1957)
    Commentaires
    • Plume231
      Le Météore de la nuit (1953) de Jack Arnold [img]http://www.cinemotions.com/dat...[/img] Synopsis : Leur soucoupe volante en panne, des extra-terrestres horribles atterrissent dans une petite ville. Pour ne pas effrayer la population, ils décident de changer d'aspect et capturent des hommes de la ville voisine afin de prendre leur apparence et pouvoir ainsi se procurer tout ce qu'ils ont besoin pour repartir... [img]http://image.toutlecine.com/ph...[/img] Critique : Pour résumer, "Le Météore de la nuit" est un "Invasion des profanateurs de sépultures" positif (ou plutôt étant donné que le film de Jack Arnold est antérieur à celui de Don Siegel, "L'Invasion des profanateurs de sépultures" est un "Météore de la nuit" négatif!!!). Les extraterrestes prennent ici l'apparence des humains mais sans les tuer ou leur voler leurs âmes en ayant comme objectif de se barrer au plus vite de cette planète (vraiment une forme de vie supérieure pour ça!!!). Et donc, comme dans tous les films de SF des années 50, il y a un fond intelligent à savoir une dénonciation de la xénophobie dont a tendance à faire trop preuve l'être humain. Alors autrement c'est la même chose, un budget qui est de série B, les acteurs sont de secondes zones (dont la p'tite trop mignonne Barbara Rush!!!) mais s'en sortent très bien, les effets spéciaux sans être incroyables passent sans trop de problèmes et malgré quelques approximations dans la réalisation de certaines séquences, Jack Arnold, grand manitou du genre à l'époque, est plutôt dans le bas de son meilleur. Sans être aussi grandiose et puissant que par exemple "Le Jour où la Terre s'arrêta", "Le Météore de la nuit" est une oeuvre qui par son humanisme mérite sans conteste le détour. Note : 14,5/20 (***) [img]http://image.toutlecine.com/ph...[/img]
    • Plume231
      test
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