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    Cliff Robertson
    Commentaires
    • Cyril G.
      R.I.P Oncle ben :( Pour moi tu es mort 2 fois ! :'(
    • AMCHI
      Dans Obsession de De Palma il y trouve un très beau rôle de veuf inconsolable
    • Plume231
      Les Bas-fonds new-yorkais (1961) de Samuel Fuller [img]http://medias.fluctuat.net/fil...[/img] Synopsis : Le jeune Tolly Devlin, orphelin de mère, se lie d'amitié avec Sandy, propriétaire d'un speakeasy, qui a été la maîtresse de son père. Ce dernier, un gangster, est tué par quatre hommes en présence de Sandy et de Tolly, qui jure de le venger un jour. Le jeune garçon grandit et commet de nombreux petits méfaits qui le mènent derrière les barreaux. En prison, il fait la connaissance de Farrar, un des assassins de son père. Avant de mourir, celui-ci lui révèle le nom de ses complices. Il s'agit de Gela, Gunther et Smith, qui font partie de la redoutable bande de Connors. Une fois libéré, Tolly intègre l'organisation et devient l'ami de Gus, un tueur... [img]http://img.over-blog.com/600x3...[/img] Critique : Séquence inspirée que celle de l'assassinat au début du film avec un formidable jeu d'ombres, dommage que le reste n'est à la hauteur de cet avant-goût prometteur. Samuel Fuller était un cinéaste capable de magistrales fulgurances comme "Le Port de la drogue" et "Shock Corridor" mais il pouvait aussi être très inégal. C'est le cas de cette oeuvre au scénario intéressant mais qui souffre d'un jeu d'acteurs parfois médiocre il faut bien le dire, de quelques incohérences (vraiment très naïfs les grands chefs de la Pègre !!!) et de quelques séquences maladroitement réalisées comme la scène du discussion du commissaire avec sa fille ainsi que celle du suicide. La fin quand à elle a dû inspirer Jean-Luc Godard pour "A bout de souffle" ou inversement puisque les deux films sont sortis quasiment à la même période. Note : 7,5/20 (**) [img]http://image.toutlecine.com/ph...[/img]
    • Plume231
      Un Dimanche à New York (1964) de Peter Tewksbury [img]http://www.cinesud-affiches.co...[/img] Synopsis : Parce qu'elle n'était pas prête à perdre sa virginité avant leur mariage, une jeune femme, Eileen, a décidé de rompre sa liaison avec son fiancé, Russ. Elle vient rejoindre son frère Adam, un pilote de ligne averti des choses de la vie, à New York. Dans le bus, elle fait la connaissance de Mike Mitchell, qui lui propose de la guider à travers la grande ville. Une averse les oblige bientôt à se rendre chez Adam, où ils sèchent leurs habits. Ils ne sont tous deux vêtus que d'un peignoir lorsque la sonnette retentit. C'est Russ qui est venu retrouver sa fiancée. La situation est plutôt embarrassante, mais Russ prend Mike pour le frère d'Eileen... [img]http://www.linternaute.com/cin...[/img] Critique : Alors âgée de 26 ans, Jane Fonda dans ce film est sans conteste une des actrices les plus canons, les plus sexy, à avoir joué dans un film. Je tenais à le souligner parce que la regarder est un véritable plaisir. Bon maintenant le film en lui-même, c'est pas qu'il est désagréable. Il y a des gags très drôles surtout ceux qui tournent autour du personnage du regretté Cliff Robertson et de sa maîtresse. Mais quand on gratte la surface soi-disante audacieuse du film, on s'aperçoit qu'on a le droit à un discours assez puritain. Les mots "sexe" et "vierge", prononcés pour donner l'apparence de l'audace, étaient certes prohibés à l'époque des Lubistch-Sturges-Wilder mais le fond de leurs oeuvres étaient pourtant un milliard de fois plus audacieux et piquant. Sous des apparences feutrées, les femmes y trompaient leurs maris et inversement, les personnages la plupart du temps n'étaient qu'obsédé par le sexe et l'argent et ils se fichaient de leur virginité comme un corse se fichent de la Loi. Bref, on a le droit à un discours stupide et moralisateur : "Les Femmes ne doivent coucher qu'après le mariage". Donc en gros pour résumé, la forme est agréable mais le fond est plus que limite. Note : 7/20 (**) [img]http://www.notrecinema.net/avi...[/img]
    • TheDarkKnightRises7
      R.I.P
    • dydy-2306
      R.I.P
    • diel
      R.I.P Cliff Robertson ) :
    • tomPSGcinema
      La Légende de Jesse James ( 1972 ) de Philip Kaufman [img]http://data.moviecovers.com/DA...[/img] Ma critique : Doté d'un très bon casting emmener notamment par Cliff Robertson ( tout à son aise dans le rôle de Cole Younger ) et Robert Duvall ( bien crédible à travers son personnage de Jesse James ), ce western américain des années 70 est à découvrir par les fans du genre, car il a le mérite de posséder également une mise en scène de Philip Kaufman ( qui mettra en scène " L'invasion des Profanateurs " durant la même décennie ) particulièrement soignée, souvent bien glauque et aussi dans un style proche du documentaire, ce qui fait l'ensemble se suit agréablement, malgré une histoire qui aura déjà été vu par la passé - je pense notamment au "Brigand bien aimé" de Henry King. [img]http://www.cinemovies.fr/image...[/img] 3*15/20 :hot: :hot: :hot: :hot: :hot: :hot: :hot: :hot:
    • AMCHI
      [img]http://img195.imageshack.us/im...[/img]Un western qui se veut réaliste et qui parvient tout à fait à rendre ce qui semblait être le vrai Ouest par contre le titre français est trompeur car La Légende de Jesse James semble signifier que c'est un film sur cette bande alors que l'histoire se focalise plutôt sur Cole Younger magnifiquement interprété par Cliff Robertson. La 1ère heure montre aussi un monde qui change et se modernise (le film se passe en 1876) et la dernière demi-heure est plus dans l'action, on peut regretter une fin un peu abrupte mais dans l'ensemble La Légende de Jesse James devrait plaire aux amateurs de western qui veulent s'éloigner des westerns américains parfois trop romantisés et magnifiés des années 50. 15.5/20 (3.5*)[img]http://img29.imageshack.us/img...[/img]
    • Plume231
      Trop tard pour les héros (1970) de Robert Aldrich [img]http://image.toutlecine.com/ph...[/img] Synopsis : Des détachements anglais et japonais se font face dans une ile des Nouvelles Hebrides, en Novembre 1942. Or un convoi américain est annonce dans les eaux avoisinnantes. Il est absolument indispensable de détruire un emetteur-radio japonais... [img]http://img.over-blog.com/600x3...[/img] Critique : La guerre chez Robert Aldrich ce n'est pas comme on veut la voir mais tel qu'elle est vraiment. On a une belle galerie d'anti-héros, soit des soldats qui n'ont qu'un rêve celui de se faire exempter, soit des cinglés. Cela aurait pu faire à l'instar des "Douze Salopards" un grand Aldrich. Mais il y a deux problèmes de taille, un rythme un peu mou dans la première partie et surtout, the big problem, Cliff Robertson, acteur qui manque considérablement de charisme et qui se fait totalement voler la vedette par ses partenaires anglais, en particulier par Michael Caine en très grande forme. La deuxième partie avec le major japonais (peut-être le personnage le moins barje du film!) est elle assez prenante et redoutable. A voir surtout pour sa galerie de personnages, ses formidables acteurs anglais (il y a bien chez les américains Henry Fonda mais il ne fait qu'apparaître au début!) et une deuxième partie assez mémorable. Note : 13/20 (***) [img]http://www.premiere.fr/var/pre...[/img]
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