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    Jerzy Skolimowski
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    • Plume231
      Walkover (1965) de Jerzy Skolimowski [img]http://www.cinemotions.com/dat...[/img] Synopsis : Le jeune Andrzej souhaite abandonner ses études. Il croit reconnaître une ancienne camarade et la suit dans ses déambulations Il enfile ses gants de boxe et monte sur le ring pour des rencontres sans gloire. Andrzej cherche une place, un but, dans une société qui ne lui renvoie que vide et absurdité... [img]http://img408.imageshack.us/im...[/img] Critique : Je ne pensais pas Jerzy Skolimowski, qui heureusement donnera des œuvres pas trop mal réussies plus tard, avait donné un film qui parvient l'exploit d'être aussi chiant que "Le Départ", qu'il réalisera deux ans plus tard ; "Walkover" vient de me prouver le contraire. Alors le synopsis annoncé est : une jeune homme désœuvré se laisse convaincre par un entraîneur de participer à un combat de boxe. Ce n'est peut-être pas flamboyant et original mais sur une heure et quinze minutes ça peut tenir. Or utilisant le tic le plus détestable de la "Nouvelle Vague", Skolimowski ne se donne même la peine d'écrire un scénario se contentant la plupart du temps de filmer des scènes sans lien les unes des autres. Quand à la boxe, elle est très vite et platement expédiée en trois minutes sur la fin. Bref un très gros foutage de gueule Made In Poland. [img]http://r21.imgfast.net/users/2...[/img] [img]http://www.critikat.com/IMG/jp...[/img]
    • Plume231
      Essential Killing (2010) de Jerzy Skolimowski [img]http://images.allocine.fr/r_16...[/img] Synopsis : Capturé par les forces américaines en Afghanistan, Mohammed est envoyé dans un centre de détention tenu secret. Lors d’un transfert, il réchappe d’un accident. Il parvient à s'échapper et tente de semer ses kidnappeurs dans la forêt. Traqué sans relâche par une armée sans existence officielle, Mohammed fera tout pour assurer sa survie. [img]http://4.bp.blogspot.com/-t_OX...[/img] Critique : Les petites originalités de cette chasse à l'homme, de ce film de "survival", c'est qu'on est obligé d'avoir parfois de l'empathie pour un véritable enfoiré et que le tout sur fond d'un contexte géopolitique très très actuel. Les 80 minutes de l'ensemble sont presque sans temps morts, le cadre est inhospitalié à souhait et la prestation de Vincent Gallo très animale. Bref c'est un film dur, réaliste et sec, et qui s'assume pleinement en tant que tel. On peut regretter l'inutilité totale des deux-trois flashbacks qui n'apportent absolument rien à l'ensemble ainsi que quelques (très !!!) petites pointes de relâchement vers le milieu. Mais c'est une œuvre très corsée, sans la moindre petite concession, et qui mérite le détour pour cela. [img]http://nsm03.casimages.com/img...[/img] [img]http://www.critikat.com/IMG/jp...[/img]
    • Plume231
      Le Départ (1967) de Jerzy Skolimowski [img]http://cdn103.iofferphoto.com/...[/img] Synopsis : A 19 ans, chaque heure est comme un départ vers l'inconnu. Marc a cet âge-là. Il est garçon coiffeur mais rêve de devenir pilote de rallye. Une course importante débute dans deux jours et il veut s'aligner au départ, mais il ne possède même pas de voiture et espère pouvoir piloter la Porsche de son patron. Malheureusement, ce projet tombe à l'eau. Marc n'a plus que 48 heures pour trouver un véhicule. Avec son amie Michèle, il va tout tenter pour se procurer une voiture, ou de l'argent pour en louer une. Parcourant les rues de Bruxelles, les deux jeunes gens font des rencontres étonnantes et vivent quelques aventures inattendues... [img]http://www.culturopoing.com/im...[/img] Critique : Malgré un apport inestimable et incontestable au cinéma mondial, à part François Truffaut la Nouvelle Vague et moi ça a généralement fait deux. Scénario bâclé, technique bâclée, jeu d'acteurs bâclé, voilà quasiment le lot de beaucoup de films réprésentant ce mouvement. "Le Départ", cas un peu à part car tourné en Belgique par un cinéaste polonais, est en plein dedans. Mais ce n'est pas ce qui le plus insupportable. Le plus insupportable c'est Jean-Pierre Léaud qui n'a jamais été plus agaçant qu'ici. J'ai été même obligé de couper le son (merci beaucoup à l'inventeur de la télécommande !!!) sinon j'explosais ma télé (en plus c'est pas de sa faute à cette pauvre vieille !!!) quand son personnage se mettait à hurler sans raison. Une très belle représentation de ce que peut être l'ennui, l'énervement et le vide dans un seul et même film. [img]http://r21.imgfast.net/users/2...[/img] [img]http://www.critikat.com/IMG/jp...[/img]
    • AMCHI
      [img]http://www.critikat.com/IMG/jp...[/img] Deep End c'est l'histoire d'un jeune homme qui veut se dépuceler et jette son dévolu sur sa collègue de travailler et on peut le comprendre car la rouquine Susan jouée par Jane Asher est plutôt mignonne. Film cynique par forcément méchant mais ne faisant pas de réels cadeaux à ses protagonistes avec des moments moins emballant que d'autres mais tout de même toujours assez spécial pour nous accrocher Deep End est un film amusant à suivre. Sa fin est tordue. 3.5 étoiles[img]http://www.culturopoing.com/im...[/img] elle a été la compagne de Paul McCartney
    • AMCHI
      LE DEPART [img]http://www.critikat.com/IMG/jp...[/img] Tourné à Bruxelles voici le film le plus français de Jerzy Skolimowski dans le style nouvelle vague souvent synonyme d'ennui et de vide et Le Départ ne déroge pas à la règle. Je n'ai pas grand chose à dire sur ce film qui ne m'a pas du tout passionné avec son personnage agaçant joué par Jean-Pierre Léaud. 1 étoile
    • AMCHI
      [img]http://www.critikat.com/IMG/jp...[/img] Les drames sociaux c'est pas trop ma tasse de thé mais de temps en temps j'aime varier les genres et regarder ce que je n'ai pas l'habitude d'affectionner. Avec Travail au noir de Jerzy Skolimowski je suis très bien tombé car franchement je ne pensais pas que ce film me plairait autant. Travail au noir c'est presque un thriller social, je trouve que ce film est un peu construit comme un thriller et l'humour noir est bienvenu. Travail au noir tourne essentiellement autour du Polonais joué par Jeremy Irons qui nous fait bien partager ses inquiétudes et ses problèmes, j'ai bien aimé les scènes se passant dans le supermarché. Le seul instant véritablement raté dans Travail au noir c'est sa fin. 4 étoiles
    • AMCHI
      [img]http://www.filmsfix.com/wp-con...[/img] Jerzy Skolimowski réalisateur Polonais s'essaye avec Essential Killing au film de traque et si durant sa première demi-heure ce film est intense malheureusement après notre tension baisse considérablement. Un début convaincant mais une suite moins palpitante ou il se passe quasiment peu de choses avec même 30 dernières minutes pas loin d'être ennuyeuses. Dommage. 2 étoiles
    • tomPSGcinema
      [img]http://images.allocine.fr/r_64...[/img]Essential Killing de Jerzy Skolimowski Il s’agit du tout premier film que je visionne chez ce réalisateur et le résultat final ne m’a franchement pas déçu car, d’une part, sa mise en scène est bien nerveuse et sans temps mort, et en plus Vincent Gallo nous offre une superbe performance dans le rôle d’un homme traqué. On est donc devant une chasse à l’homme qui propose une grande intensité, une bonne dose de suspense et certaines séquences bien violentes et malgré une fin guère surprenante on passe un excellent moment de cinéma. 3,5*16,5/20 [img]http://images.allocine.fr/r_64...[/img]
    • AMCHI
      c'est vrai il n'aime pas s'excuser ni reconnaître ses erreurs :D [spoiler]en fait comme tout le monde[/spoiler]
    • Plume231
      Il est cool, Fonzie :D
    • AMCHI
      tu me fais penser à Fonzie :lol:
    • Plume231
      Je reconnais toujours mes erreurs étant donné que j'en fais presque jamais. :D
    • AMCHI
      Plume reconnaissant son erreur :D
    • Plume231
      Je crois :D
    • Plume231
      Travail au noir (1982) de Jerzy Skolimowski [img]http://www.gralon.net/cinema/a...[/img] Synopsis : Le 5 décembre 1981, trois ouvriers maçons arrivent à Londres avec leur contremaître, Nowak. Ils sont venus de Pologne pour restaurer la maison londonienne d'un riche compatriote. Leur contrat dure un mois : il leur rapportera autant d'argent qu'un an de labeur en Pologne. Les quatre hommes s'installent et commencent à travailler avec acharnement. Seul Nowak parle anglais. C'est donc lui qui sort pour acheter les fournitures et assurer le ravitaillement. C'est lui également qui apprend, le 13 décembre, le coup d'Etat communiste en Pologne. Désireux d'achever le chantier dans de bonnes conditions, il cache la situation à ses amis... [img]http://s.excessif.com/mmdia/i/...[/img] Critique : Le scénario est très intelligemment écrit dans la mesure où il montre subtilement qu'une démocratie a beaucoup plus de points communs qu'on ne pourrait le penser avec un pays au régime totalitaire, et aussi dans celle ou on nous fait comprendre qu'un homme a-priori normal peut être amené à devenir un tyran dans certaines circonstances. Il est donc dommage que la fin en queue de poisson laisse un goût amer de bâclage. Autrement, si on excepte quelques petites longueurs, c'est du tout bon pour cette oeuvre assez sombre. En particulier l'excellente interprétation de Jeremy Irons, dans un rôle qui devient vite aussi fascinant qu'ambigu, qui constitue le gros point fort du film. Note : 14/20 (***) [img]http://www.critikat.com/IMG/jp...[/img]
    • AMCHI
      tu t'es pas trompé de topic pour L'Homme de marbre :??:
    • Plume231
      Deep end (1970) de Jerzy Skolimowski [img]http://www.cinemotions.com/dat...[/img] Synopsis : Mike, un adolescent londonien, se fait embaucher faute de mieux dans un bain public. Il y fait la connaissance de Susan qui y est également employée. Peu à peu Mike en tombe amoureux, mais Susan a de multiples aventures et le taquine... [img]http://www.cinemotions.com/dat...[/img] Critique : Autant le dire tout de suite, ce qui m'a gêné dans ce film c'est qu'on suit tout simplement une des pires têtes à claques qui m'ait été donné de voir au cinéma. Et le seul geste sympathique dont on a envie de faire preuve envers celui-ci, c'est de lui enfoncer la tête sous l'eau jusqu'à ce que mort s'ensuive. On a nullement envie de s'indentifier à lui. Le cabotinage de l'acteur ne fait rien en plus pour arranger cela. Mais "Deep end" a le mérite à travers le prétexte des premiers grands émois de l'adolescence de montrer un Swinging London glauque, peu reluisant, loin de l'image carte postale auquel on a le droit habituellement. Et puis, il y a la fascinante et belle Jane Asher et sa chevelure rousse qui est totalement remarquable et donne énormément à l'ensemble. La fin, allégorique, est très bien mise en scène. Note : 13/20 (***) [img]http://www.critikat.com/IMG/jp...[/img]
    • willoup94
      =================== [u]SON BOX-OFFICE FRANCE[/u] =================== (1938 - ____)-1971 : Deep End (306 418) / (rep 2011 : 35 390)-2011 : Essential killing (44 892¡ñ)-2008 : Quatre nuits avec Anna (15 210)-1998 : Le D¨¦part (rep 1998 : * ***) + (rep 2011 : 3 379)-1982 : Travail au noir (rep 2011 : 2 346) -1966 : Walkover (*) / (rep 2011 : 30)-1993 : Ferdydurke (* ***) ==============================================================
    • AMCHI
      [img]http://2.bp.blogspot.com/-6Jl6...[/img] Le Cri du sorcier fait partie de ses étranges films très difficile à cerner et à classer et si Le Cri du sorcier ne m'a pas déplu je pense qu'il y avait de quoi faire un film plus réussi mais malgré tout ce film très british du polonais Jerzy Skolimowski fascine et pour ma part je me suis laissé entraîner par cette histoire filmée de manière assez lente mais jamais ennuyeuse. Une des grande force de Le Cri du sorcier ce sont les acteurs tous excellents notamment Alan Bates très inquiétant et mystérieux dans la peau de cet homme possédant un cri capable de tuer des êtres vivants. Un film fantastique singulier à découvrir. 15/20 [img]http://image.toutlecine.com/ph...[/img]
    • Plume231
      L'Homme de marbre (1980) d'Andrzej Wajda [img]http://www.cinaff.com/affiches...[/img] Synopsis : Agnieszka, vingt ans, choisit, comme exercice de fin d'études cinématographiques : le portrait documentaire d'un travailleur, ayant eu son heure de gloire dans les années 1950, Mateusz Birkut. Ce désir lui vient après qu'elle ait filmé clandestinement, dans une remise cadenassée, d'un coin oublié du musée, une immense statue de marbre à la gloire de cet homme dont elle se propose de reconstituer la destinée. Agnieszka commence par interroger les images. Des chutes de films, lambeaux d'une époque maintenant taboue, elle apprend que Birkut, jeune paysan des environs de Cracovie, a participé, en tant que maçon, à la construction d'une immense fonderie à Nowa Huta. Puis il est devenu un héros en posant, avec cinq hommes, plus de trente mille briques en une seule journée. Birkut n'a pas voulu croire la justice populaire qui voyait dans son ami Witek, ancien des brigades internationales, un agent de l'étranger... [img]http://www.100latpolskiegofilm...[/img] Critique : Le grand mystère de ce film c'est comment une aussi forte critique anticommuniste a pu exister alors qu'à l'époque la dictature socialiste était toujours au pouvoir. En tous les cas, voilà une oeuvre très audacieuse de la part d'Andrzej Wajda. Mais c'est très loin d'être son seul mérite. La structure narrative fait fortement penser à "Citizen Kane" dans sa façon de raconter l'histoire de cette victime de la bêtise communiste. La caméra est souple, la reconstitution impeccable (tout juste peut-on déplorer que le noir et blanc des actualités est trop propre pour entièrement convaincre!), la musique dynamique, le jeu de la comédienne Krystyna Janda énergique et celui de Jerzy Radziwilowicz intense. Le film dure 160 minutes et pourtant on peut s'y plonger sans risque car l'ensemble est tellement bien raconté et est très dense que le temps passe très vite. Une très grande réussite. Note : 17/20 (****) [img]http://i146.photobucket.com/al...[/img]
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