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    Hope Emerson

    Actrice

    Année Titre Rôle Note spectateurs
    1958 Peter Gunn - Saison 1 Mother
    3,1
    1958 Trois bébés sur les bras -
    2,9
    1957 Le Fort de la dernière chance Hannah Lacey
    3,4
    1955 Tant que soufflera la tempête Maria DeGroot
    3,0
    1951 Convoi de femmes Patience
    4,1
    1951 Belle Le Grand Emma McGee -
    1950 Femmes en cage Evelyn Harper
    3,2
    1949 La Maison des étrangers Helena Domenico
    3,8
    1949 Les Bas-fonds de Frisco Midge, un acheteur
    4,0
    1949 Roseanna McCoy Levisa Hatfield -
    1949 Madame porte la culotte Olympia La Pere
    3,7
    1948 La Proie Rose Given
    3,6
    Commentaires
    • Plume231
      La Proie (1948) de Robert Siodmak [img]http://img.over-blog.com/300x4...[/img] Synopsis : Au cours d’une rixe, Martin Rome est blessé. Retenu prisonnier dans un hôpital pénitentiaire, ce multirécidiviste est soupçonné par le Lieutenant Candella, son ami d’enfance, d’avoir participé au cambriolage et au meurtre crapuleux d’une riche New-Yorkaise. Innocent, le malfrat se voit proposer par Niles, un avocat véreux, de porter le chapeau. Refus net et catégorique. Mais, intrigué, Rome s’évade, se rend chez Niles et découvre des bijoux volés dans le coffre-fort de l’avocat, qu’il assassine. C’est le début d’un long et violent jeu du chat et de la souris entre Candella et Rome… [img]http://1.bp.blogspot.com/_ykSA...[/img] Critique : Avec "Cry of the City", Robert Siodmak a donné naissance à un des films noirs les moins communs qui soient. D'abord par le fait que le personnage de policier incarné par Victor Mature, donc du bon côté de la Loi, et celui de gangster incarné par Richard Conte, donc du mauvais côté, ont quasiment le même comportement quand ils ne sont pas à fond dans l'exercice de leurs métiers. Cela créait une ambiguïté bienvenue car on n'arrive pas à avoir pleinement ni de sympathie, ni d'antipathie pour l'un des personnages. Les deux acteurs au passage trouvent chacun un de leurs plus grands rôles. Ensuite, il y a le tournage en extérieurs à New-York et sa description de la Little Italy, dont fait partie la plupart des personnages, qui n'est pas sans donner un léger avant-goût de Martin Scorsese. D'ailleurs pour les plus grands fans de cet immense réalisateur, je conseille la vision de ce film car cela pourrait être une découverte très intéressante. Maintenant, on peut déplorer une absence de nervosité dans la réalisation, ce qui ne l'empêche pas d'être fluide, et un aspect moralisateur pas du tout nécessaire dans la dernière minute du film. Ce qui fait qu'on ne peut pas hélàs considérer ce film comme un bijou du genre. Quelques seconds rôles intéressants à ajouter, Shelley Winters le temps d'une scène, la mimi Debra Paget dans son tout premier rôle qui fait ce qu'elle peut lors de ses deux scènes, et puis surtout Hope Emerson très convaincante en masseuse sadique qui ne croule pas du tout sous les scrupules. Ce n'est pas une oeuvre parfaite, mais par ses qualités inédites pour son époque ce film peut être considéré comme un représentant remarquable du genre. Note : 16,5/20 (****) [img]http://www.acertaincinema.com/...[/img]
    • Plume231
      test
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