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    Machiko Kyô
    Métier Actrice
    Nom de naissance

    Yano Motoko

    Nationalité
    Japonaise
    Naissance 25 mars 1924 (Osaka, Japon)
    Décès 12 mai 2019 à l'age de 95 ans (Tokyo, Japon)
    69
    ans de carrière
    22
    films et séries tournés
    La Porte de l'enfer Extrait vidéo VO

    Filmographie

    Pur est le cœur du poète
    Pur est le cœur du poète
    Date de sortie inconnue
    Nuée d'oiseaux blancs
    Nuée d'oiseaux blancs
    Date de sortie inconnue
    Le Visage d'un autre
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    Date de sortie inconnue
    La Vie d'une femme
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    Date de sortie inconnue
    Testaments de femmes
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    Date de sortie inconnue
    La Princesse errante
    La Princesse errante
    16 février 2022
    La Femme qui touchait les jambes
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    Date de sortie inconnue
    Le Fils de famille
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    Date de sortie inconnue

    Photo

    News

    Commentaires
    • Plume231
      La Porte de l'enfer (1953) de Teinosuke Kinugasa [img]http://www.cinemagora.com/imag...[/img] Synopsis : Japon, 1159. Les luttes entre clans font rage. Celui du Minamoto tente de renverser le Taira au pouvoir. Afin de protéger la fuite de la Princesse, une de ses Dames de compagnie, Kesa (Machiko Kyo) est envoyée comme leurre sous la protection du valeureux guerrier Morito (Kazuo Hasegawa) qui lui sauve la vie et tombe fou amoureux d'elle. Après que la rébellion a été matée, le Seigneur Kiyomori promet à Morito la récompense qu'il demandera et cela quelle qu'elle soit. Morito, ignorant qu'elle est mariée au noble garde Wataru (Isao Yamagata), réclame de son maître qu'il intervienne afin de favoriser son mariage avec Kesa. Sa découverte de l'état marital de la jeune femme ne freine en rien ses ardeurs, bien au contraire. Il sombre vite dans une passion de plus en plus folle et agressive tandis que Kesa entend rester fidèle à son mari... [img]http://storage.canalblog.com/8...[/img] Critique : Ce film est surtout connu aujourd'hui pour avoir définitivement défoncé la porte de la connaissance du cinéma japonais au public occidental après que "Rashõmon" l'ait entrouverte, gagnant l'Oscar du Meilleur Film étranger ainsi que le Grand Prix au Festival de Cannes (à l'époque l'équivalent de la Palme d'or !!!). Quel résultat au regard de maintenant ??? Visuellement, il faut reconnaître que c'est un régal avec tous ces tons de couleurs vifs, orangés, etc... un régal plus exotique que réaliste mais un régal tout de même. Au niveau scénario, par contre le constat est plus mitigé. On passe d'un coup d'une fresque historique à une tragédie intimiste autour d'un triangle amoureux dont la grande originalité tient sur le fait que le gros boulet de service n'est pas le mari mais l'amant. Et c'est parce que c'est trop intimiste que le bât blesse. L'époque dans lequel se déroule l'histoire et les personnages secondaires, complètement jetés aux orties dans le dernier tiers, auraient pu donner une dimension supplémentaire au côté tragique du film. Reste un film qui se laisse regarder avec intérêt, pendant quelques petits instants avec intensité même, mais qui par ses quelques défauts ne constitue pas une des grandes heures du cinéma japonais. Note : 14,5/20 (***) [img]http://www.iletaitunefoislecin...[/img]
    • tomPSGcinema
      [img]http://images.allocine.fr/r_64...[/img] Rashomon de Akira Kurosawa Œuvre très importante dans la carrière d’Akira Kurosawa puisque celle-ci lui apporta la reconnaissance dans le monde entier. Et autant dire que le résultat final s’avère exceptionnel, car l’histoire est totalement prenante de bout en bout, l’interprétation du casting est impressionnante – Toshiro Mifune, Machiko Kyo et Masayuki Mori sont juste parfait -, et évidemment la mise en scène du mythique réalisateur japonais est proprement bluffante et incroyablement maîtrisée au niveau des cadrages. En bref, il s’agit d’un immense chef-d’œuvre qui aura amplement mérité son Lion d’Or à Venise ainsi que l’Oscar du meilleur film étranger. A voir impérativement pour tous les fans du maître ! 5*19/20 [img]http://images.allocine.fr/r_64...[/img]
    • Plume231
      La Rue de la honte (1956) de Kenji Mizoguchi [img]http://ecx.images-amazon.com/i...[/img] Synopsis : Des prostituées officiant dans une maison close voient leur avenir terni par une décision gouvernementale visant à les mettre à la rue. La tension est palpable parmi elles… [img]http://image.ifrance.com/cinem...[/img] Critique : "La Rue de la honte" est certainement le film qui parle avec le plus de réalisme, sans misérabilisme aucun mais aussi sans concession, de la prostitution pour ce film à la mise en scène pourtant incontestablement belle et élégante. La dernière scène où on voit une très jeune fille obligée de se prostituer fait froid dans le dos. Ce sujet permet de montrer en tous les cas, qu'avec George Cukor et Pedro Almodovar, Kenji Mizoguchi était un des plus grands directeurs d'actrices de tous les temps à travers les interprétations magistrales pour des personnages forts de ses cinq comédiennes Ayako Wakao (décidément la plus belle actrice japonaise!), Machiko Kyô (qui n'est pas mal aussi!), Aiko Mimasu, Michiyo Kogure et Hiroko Machida. Le réalisateur critique fortement aussi l'hypocrisie de la Société, par l'intermédiaire notamment de la figure paternelle lors d'une scène mémorable, et en nous laissant sur l'idée que si on veut réussir à faire notre trou il faut se montrer aussi pourri que cette dernière. Très triste constat mais ô combien réaliste sur lequel nous laisse le grand Mizoguchi pour ce qui est sa dernière oeuvre, en tout point remarquable. Un final qui constitue un chef d'oeuvre. Note : 18/20 (*****) [img]http://image.toutlecine.com/ph...[/img] [img]http://cfouchet.nonutc.fr/rue%...[/img]
    • Plume231
      test
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