Mon compte
    Anita Björk
    Métier Actrice
    Nationalité
    Suédoise
    Naissance 25 avril 1923 (Tällberg - Suède)
    Décès 24 octobre 2012 à l'age de 89 ans
    63
    ans de carrière
    17
    films et séries tournés
    En présence d'un clown Bande-annonce VO

    Filmographie

    En présence d'un clown
    En présence d'un clown
    3 novembre 2010
    Entretiens privés
    Entretiens privés
    Date de sortie inconnue
    Les Meilleures intentions
    Les Meilleures intentions
    3 décembre 2013
    Amorosa
    Amorosa
    9 août 2023
    L'héritage
    L'héritage
    Date de sortie inconnue
    Adalen 31
    Adalen 31
    11 mai 1969
    Les Amoureux
    Les Amoureux
    2 mars 1966
    Les Dés sont jetés
    Les Dés sont jetés
    24 octobre 2022

    Photo

    News

    Décès de l'actrice Anita Björk
    News - Stars
    mercredi 24 octobre 2012
    Commentaires
    • Plume231
      Adalen 31 (1969) de Bo Widerberg [img]http://images.allocine.fr/r_16...[/img] Synopsis : En 1931, à Adalen, en Suède, les dockers entament une grève très dure. Les patrons font alors appel à des ouvriers venus d'autres provinces pour effectuer le travail et casser leur mouvement. Pendant ce temps, le fils du docker Andersson et la fille d'un directeur d'usine tombent amoureux... [img]http://www.avoir-alire.com/IMG...[/img] Critique : Film que j'ai regardé pour une double raison : la première, un "Ma scène préférée" avec Mia Hansen-Løve où elle présentait une séquence de l’œuvre qui serait bouleversante (après vérification, prise en extrait ou prise dans la continuité d'ensemble il faudrait qu'elle m'explique en quoi cette scène est bouleversante car moi je ne vois pas du tout !!!) qui a appâté ma curiosité, la seconde, il permet de voir la récemment regrettée et la trop rare au cinéma Anita Björk, qui avait donné une interprétation absolument éblouissante et mémorable dans le rôle-titre de "Mademoiselle Julie" d'Alf Sjöberg, dans un rôle certes secondaire mais c'est mieux que rien. Le contexte est une grève de dockers dans une petite ville du nord de la Suède en 1931 qui a changé la face du pays, l'histoire est une romance entre un fils de docker et la fille d'un directeur d'usine. Ça a de quoi faire quelque chose de fort et de passionnant mais le traitement choisi change considérablement la donne et c'est là que le bât blesse sérieusement ; au lieu de prendre à bras-le-corps son sujet, le réalisateur préfère une distance affectée en mettant une suite de scènes ayant plus ou moins de rapport (plutôt moins que plus hélas !!!) avec l'histoire et le contexte annoncés. Bref sans s'ennuyer, on regarde tout cela d'un œil morne. C'est dommage car les divers moments en lien direct avec le sujet sont puissants, à l'instar surtout de la manifestation qui finit en bain de sang. En plus, la représentation des divers protagonistes a l'air de ne pas tomber dans le manichéisme et le visuel, surtout par l'intermédiaire d'une utilisation habile du blanc, est très beau et élégant. Résultat un chef d’œuvre potentiel massacré pour cause de prétention intellectuelle. [img]http://r21.imgfast.net/users/2...[/img] [img]http://www.culturopoing.com/im...[/img]
    • Plume231
      En présence d'un clown (1997) d'Ingmar Bergman [img]http://media.zoom-cinema.fr/ph...[/img] Synopsis : Octobre 1925. Après avoir battu sa compagne, un inventeur, Carl Akerblomg, enfermé dans un asile psychiatrique rencontre un professeur, Osvald Vogler, avec qui il veut faire un film sur Schubert... [img]http://www.odysseeducinema.fr/...[/img] Critique : Téléfilm du père Bergman où à la vue des décors et de la qualité de l'image le réalisateur était loin d'avoir les mêmes moyens qu'au cinéma. L'histoire très étrange, bien qu'avec toutes ses thématiques habituelles m'a pourtant laissé un peu dubitatif et m'a certainement pas autant touché qu'elle aurait dû. Mais il y a quelques instants de grâce absolument bergmaniens, comme cette projection de "cinéma parlant" qui ramène au merveilleux "Fanny et Alexandre" autour d'un film sur l'histoire d'amour entre une prostituée vierge (preuve que même vers la fin de sa carrière le cinéaste n'avait rien perdu de son humour !!!) et le compositeur Franz Schubert, qui arrivent à emporter malgré tout l'adhésion. La qualité de l'interprétation fait un peu le reste aussi. Un Bergman bien bergmanien mais qui m'a pour le coup un peu laissé de marbre. Note : 12,5/20 (***) [img]http://www.critikat.com/IMG/jp...[/img]
    • Plume231
      L'Attente des femmes (1953) d'Ingmar Bergman [img]http://dvdtoile.com/FILMS/8/86...[/img] Synopsis : Une maison de vacances, au bord d’un lac. Des femmes passent la soirée entre elles, attendant que leurs maris respectifs, quatre frères, les y rejoignent. Elles sont diversement pleines d’espoir ou tendues, selon que leur couple va bien ou pas, et l’attente les incite à se remémorer ce qui, pour chacune, fut le moment où l’orientation de sa relation conjugale s’est décidée. [img]http://t3.gstatic.com/images?q...[/img] Critique : Ce qui est bien avec les films d'Ingmar Bergman, en particulier ceux des années 50, c'est qu'avec les actrices que l'on voit défiler sur l'écran on accepterait sans problème d'être transféré à Saxtorpsskogen. Mais pour en revenir au film, disons qu'il est intéressant mais un peu bancal. Il y a 4 femmes donc normalement 4 histoires. Le fait qu'il n'y a pas au final de quatrième histoire donne l'impression de voir Ingmar Bergman montrant le cadran de sa montre et disant "Hop, hop, hop, on a pas le temps. Rangez le matériel, le tournage est fini, on se casse!". Comme Mankiewicz avant qu'il tourne "Chaînes conjugales", auquel ce film fait inévitablement penser, Bergman aurait mieux d'éjecter la quatrième femme et de n'en mettre que trois. Mais pour en revenir au trois histoires (je sens que je vais écrire la plus longue critique de ma carrière!!!), la première manque sérieusement de consistance mais permet de voir la superbe actrice du chef d'oeuvre méconnu "Mademoiselle Julie", Anita Björk, en maillot de bain (oui, bon je sais...!!!) et d'entendre une réplique étincelante qui fleure bon l'optimiste "Le pire n’est pas d’être trompé, mais d’être seul. Je ne sais pas si c’est vrai, mais ça sonne bien". La seconde, la partie la plus longue, est intéressante par son thème et son traitement (style Eisenstein lors de la scène du cabaret!!!) même si les motivations des personnages sont parfois un peu trop inexplicables. A noter quelques extérieurs à Paris, étonnant quand on sait que l'autre n'était pas trop du genre à quitter son île comme feu mon chat tendrement aimé son appartement. La troisième, on est en pleine comédie à la Guitry. Difficile de ne pas trouver plaisir à cela même si la fin ramène durement à la réalité. Et puis, chose que ne fera que confirmer par la suite "Une Leçon d'amour", le couple formé par Eva Dahlbeck et Gunnar Björnstrand fonctionne à mort. Trois portraits de couple pas franchement optimistes, un peu inégaux (enfin surtout le premier et un peu pour le second!!!) mais de très grands moments bergmaniens avec une conclusion remarquable. (ah non, perdu...!!!) Note : 14/20 (***) [img]http://shangols.canalblog.com/...[/img] [img]http://www.ingmarbergman.se/se...[/img]
    • Plume231
      test
    • Plume231
      Mademoiselle Julie (1951) d'Alf Sjöberg [img]http://www.cinema-francais.fr/...[/img] Synopsis : Alors que la population rurale des environs fête fort joyeusement la nuit de la Saint-Jean, la fille du comte, mademoiselle Julie se laisse entraîner dans un subtil jeu de séduction de la part de Jean, un valet de la vaste propriété, déjà amoureux de la jeune femme, lorsque tous deux étaient enfants. Mais ces amours ancillaires n'ont guère d'avenir et le matin se présentera avec son inexorable dramaturgie... [img]http://storage.canalblog.com/0...[/img] Critique : Dans ma quête intense de voir un maximum de films ayant reçu la Palme d'or (ou son équivalent!), j'ai choisi tout suite ce film sur une liste. Après l'avoir cherché sans succès en DVD et en streamin., je me suis donc rabattu sur une version sous-titrée anglais sur YouTube (I don't speak english very well but a little et puis toujours beaucoup mieux que je ne parle le suédois!). Et puis si j'attends une diffusion à la téloche... Enfin bon connaissant un peu la pièce minimaliste d'August Strindberg qui si elle s'adapte parfaitement à la lecture et à la scène n'a rien a-priori pour le cinéma, je me réjouissais d'avance des sensations du nez écrasé sur le clavier et du filet de bave bien gluant au coin de la bouche. Et là, immense déception... un chef d'oeuvre. Ces suédois n'ont vraiment aucun savoir-vivre. On assiste à un cassage en règle des codes théâtraux pour nous faire du vrai cinéma. Paysages campagnards splendides, technique fluide, photographie superbe, mise en scène raffinée, une description des rapports entre les classes d'une crudité et d'une acuité à faire passer "La Règle du jeu" de Renoir pour une partie de dinette, des flashback aussi flippants que ceux d'"Ivan le Terrible" (je croyais que le fait d'introduire le personnage actuel dans un flashback datait des "Fraises sauvages", quel con!) et une bonne pincée de sado-masochisme. Dans le rôle-titre, Anita Björk est magistrale (bon déjà en plus elle a un physique qui fait se poser la question de savoir pourquoi on reste dans ce pays de merde au lieu de demander l'asile politique en Suède!), elle est hyper-impressionnante, dégage un très fort érotisme, bon son partenaire Ulf Palme est excellent comme tous les autres acteurs dont un jeune Max Von Sydow, mais elle alors là respect. En grande partie grâce à elle, on y croit à fond. Ah! je suis déçu de chez déçu au lieu d'avoir une oeuvre abyssalement ennuyeuse, j'ai la preuve parfaite que non Ingmar Bergman et Victor Sjöström ne se partagaient à eux-seuls le grand cinéma suédois, Alf Sjöberg avait aussi son mot à dire. Une superbe claque. Note : 19,5/20 (*****) [img]http://www.cinematek.be/images...[/img]
    Back to Top