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    Maison de la Culture du Japon à Paris - MCJP
    Maison de la Culture du Japon à Paris - MCJP
    101 bis Quai Jacques Chirac 75015 Paris Paris 15e Arrondissement
    2 Salles
    Cartes acceptées :
    Chèque Cinéma Universel
    Rétrospective yoshimitsu morita

    Le nom de Yoshimitsu Morita (1950-2011) est attaché, en Occident, à Jeu de Famille (1983). Bien que jamais distribuée en France, cette comédie noire mondialement connue qui cultive au plus haut degré le sens de l’absurde, marque les vrais débuts de Morita. Elle est l’œuvre fondatrice d’une filmographie parcourue de bout en bout par une richesse formelle et un esprit iconoclaste qui fait encore mouche aujourd’hui, aussi bien dans ses productions populaires à succès (Lost Paradise, Le samouraï à l’abaque, Une famille dans la tourmente) que celles plus cinéphiliques et expérimentales (Black House, Le frisson de la mort, Kitchen).
    Nouvelle belle découverte, ouverte à tous les genres, pour faire un pas de plus dans notre connaissance du cinéma japonais d’hier et d’aujourd’hui ! 

    Cette rétrospective se poursuivra jusqu’à septembre 2024.

    A partir du 15 juin 2023

    Kobo abe et le cinéma

    La Femme des sables est sans doute le roman le plus connu de Kobo Abe (1924 – 1993). C’est aussi un film porte-étendard du cinéma avant-gardiste dont Abe a signé le scénario. A l’occasion de son 100e anniversaire de naissance, outre ce film, ce cycle présente plusieurs longs et courts métrages illustrant les relations étroites que l’écrivain entretenait avec le 7e art, y compris L’Homme-boîte de Gakuryu Ishii, première française après avoir été présenté au Festival de Berlin 2024.

    « Tout en transposant des concepts abstraits dans le langage du quotidien, il les étoffe physiquement et physiologiquement et les intègre à l'action. Kobo Abe a correctement compris l'essence du réalisme. » 

    ―Hiroshi Teshigahara

    Du 5 mars 2024 au 9 mars 2024

    Vivre après la catastrophe

    Un an après la catastrophe du 11 mars 2011, Haruka Komori déménage à Rikuzentakata, ville du département d’Iwate dévastée par le tsunami. Elle filme avec sa caméra des images de la ville qui se reconstruit, et enregistre les témoignages d’habitants restés sur place. Treize ans plus tard, comment transmettre aux prochaines générations le souvenir de cette catastrophe ? La jeune documentariste Haruka Komori, repérée par le festival Kinotayo dès son premier long-métrage, qui a d'ailleurs été récompensé par le Prix de jury pour la 12e édition, nous propose de réfléchir ensemble à cette question.

    Du 12 mars 2024 au 30 mars 2024

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