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    Girl
    Bande-annonce Girl
    10 octobre 2018 en salle | 1h 45min | Drame
    De Lukas Dhont
    |
    Par Lukas Dhont, Angelo Tijssens
    Avec Victor Polster, Arieh Worthalter, Oliver Bodart
    Presse
    4,4 34 critiques
    Spectateurs
    4,1 3483 notes, 255 critiques
    Streaming VOD
    noter :
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    Synopsis

    Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs

    Lara, 15 ans, rêve de devenir danseuse étoile. Avec le soutien de son père, elle se lance à corps perdu dans cette quête d’absolu. Mais ce corps ne se plie pas si facilement à la discipline que lui impose Lara, car celle-ci est née garçon.

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    Service proposé par Service proposé par le CNC Service proposé par le ministère de la culture

    Bande-annonce

    Girl Bande-annonce VF 1:48
    Girl Bande-annonce VF
    504 632 vues

    Interview, making-of et extrait

    Girl - Interview Lukas Dhont, Victor Polster et Arieh Worthalter 3:43
    Girl - Interview Lukas Dhont, Victor Polster et Arieh Worthalter
    34 236 vues

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    Acteurs et actrices

    Victor Polster
    Rôle : Lara
    Arieh Worthalter
    Rôle : Mathias
    Oliver Bodart
    Rôle : Milo
    Tijmen Govaerts
    Rôle : Lewis

    Critiques Presse

    • BIBA
    • Culturopoing.com
    • Femme Actuelle
    • L'Express
    • La Voix du Nord
    • Le Dauphiné Libéré
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    Critiques Spectateurs : ils ont aimé

    Meilleures critiques les plus utiles
    Christoblog
    Christoblog

    738 abonnés 1 613 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 octobre 2018
    Il est assez rare d'éprouver au cinéma un sentiment de plénitude artistique aussi fort que celui que procure la vision de Girl. Tout en effet est quasiment parfait dans ce premier film du Belge Lukas Dhont : l'interprétation magistrale de Victor Polster, la pertinence du montage, la justesse des seconds rôles, la progression millimétrique de l'intrigue jusqu'à la conclusion bouleversante, la fluidité élégante de la mise en scène, la ...
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    traversay1
    traversay1

    3 076 abonnés 4 620 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 octobre 2018
    Voyez comme elle danse ! Lara est apprentie ballerine et son corps souffre. Née dans le corps d'un garçon, elle suit un protocole médicamenteux avant une future opération : deuxième souffrance. Et pour couronner le tout, elle est au stade de l'adolescence, temps de tous les tourments identitaires. Girl a tout pour être un vrai mélodrame mais Lukas Dhont, son réalisateur, ne tombe pas dans le piège en trouvant un équilibre miraculeux ...
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    cosette2010
    cosette2010

    43 abonnés 110 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 octobre 2018
    Juste une merveille de sensibilité et de justesse, habitée par la présence troublante du très jeune et très androgyne Victor Polster.
    AZZZO
    AZZZO

    265 abonnés 726 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 octobre 2018
    Bien-sûr, il faut relever l'extraordinaire performance du jeune Victor Polster, parfait dans le rôle pourtant difficile d'adolescente transgenre, mais il faut aussi reconnaître la justesse et l'intelligence du jeune réalisateur Lukas Dhont qui parvient à faire oublier sa caméra pour que le spectateur ressente les désirs, les peurs et les frustrations de son héroïne, sa souffrance quotidienne à chaque fois qu'elle constate que ni son ...
    Lire plus

    Photos

    Secrets de tournage

    Cannes

    Le scénario de Girl a été développé dans le cadre de la Cinéfondation de Cannes en 2016. Deux ans plus tard, le film est sélectionné à Un Certain Regard d'où il repart avec le Prix d'interprétation pour Victor Polster et la Caméra d'Or, qui récompense le meilleur premier film.

    D'après une histoire vraie

    Alors qu'il commençait à étudier le cinéma dans une école, Lukas Dhont est tombé sur un article relatant le parcours d'une jeune fille née dans un corps de garçon mais convaincue d'être une fille : "J’ai tout de suite ressenti de l’admiration, et j’ai été enthousiasmé à l’idée de pouvoir écrire sur un personnage comme elle : quelqu’un de courageux, qui très jeune remettait en cause le lien qu’établit la société entre sexe et genre".

    S'interroger sur le sexe et le genre

    Avec Girl, Lukas Dhont souhaitait aborder notre perception du genre, une question à laquelle il a été confronté dès l'enfance : "Quand j’étais petit mon père voulait que je sois boy-scout. Il nous emmenait, mon frère et moi, tous les 15 jours jouer avec d’autres enfants dans la boue ou faire du camping. Tous les deux on détestait ça. On préférait de loin le théâtre, la danse et le chant, où nous pouvions nous exprimer. Vous pouvez imaginer la con Lire plus

    Infos techniques

    Nationalité Belgique
    Distributeur Diaphana Distribution
    Récompenses 5 prix et 5 nominations
    Année de production 2018
    Date de sortie DVD 12/02/2019
    Date de sortie Blu-ray 12/02/2019
    Date de sortie VOD 14/02/2019
    Type de film Long métrage
    Secrets de tournage 4 anecdotes
    Box Office France 352 632 entrées
    Budget -
    Langues Flamand, Français
    Format production -
    Couleur Couleur
    Format audio -
    Format de projection -
    N° de Visa 149415

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    Commentaires

    • Peio64
      Tout en pudeur et parfaitement interprété. Bravo
    • DirtyHarry80
      Victor Polster/Gérard Depardieu même combat (pour ceux qui comprendront la référence après avoir vu le film)
    • demencia
      Une bande annonce bien convainquante , un sujet grave , souvent tû , tabout , avec peu de témoignage . Je regarderais certainement dès que possible
    • elriad
      Comme en son temps, l'excellent Boys don't cry avait abordé avec une force émotionnelle rare le sujet transgenre avec un garçon né fille, , Girl s'attache cette fois à une adolescente née garçon. Plutôt que se pencher sur les rapports difficiles, souvent abordés, avec famille et relations, le parti-pris du jeune réalisateur belge est cette fois de se pencher sur les sentiments qu'éprouve l'adolescente sur son corps, sur le regard des autres, sur son mal-être. Et le pari est réussi, servi par un jeune acteur incroyable qui porte le film sur ses épaules avec une justesse parfaite. Pourtant, entre les scènes chez lui, chez ses médecins et dans les répétitions de danse classiques pour lesquelles il travaille beaucoup ( épreuve physique incompatible avec le traitement d'hormones) le film finit un peu par stagner dans son évolution dramaturgique, au détriment d'une émotion qui fait défaut. Il n'en reste pas moins un vibrant témoignage de ces personnes enfermées dans un corps qui n'est pas le leur.
    • defleppard
      Sujet bien traité.....mis à part les gros plans de danse trop répétitifs.....ainsi que son sourire béa.....3 étoiles.....!!!!!
    • Fa F
      avec en toile de fond la rudesse et la discipline de la danse classique, une évocation d'être née dans le mauvais corps. on suit au plus près de l'intimité et de la psychologie cette héroïne courageuse dans le processus de changement de sexe, racontant au passage une très belle relation paternelle. même si cela n'enlève rien à la performance de V. Polster, ce drame est linéaire, manquant d'intensité et ne parvenant pas à émouvoir.
    • Christophe C.
      Si je peux me permettre, je n'ai pas du tout eu le sentiment d'avoir vu un film qui prétend défendre les transgenres., D'abord avant même d'appartenir à cette catégorie d'individus ce sont des personnes à part entière, avec leurs propres émotions, leurs souffrances, leurs envies comme n'importe qui. J'ai vu l'histoire d'un jeune homme qui veut devenir femme. Lara se fait violence pour devenir une danseuse étoile qu'elle ne sera jamais (métaphore pour devenir une femme qu'elle deviendra). Elle est dans l'urgence d’identité sexuelle (elle est décrite presque comme une mère au foyer dans le film) mais la médecine, par principe de précautions temporise l’évolution de la transformation. Pour Lara cette attente est un supplice et elle choisi d'y mettre un terme à sa façon, comme elle avait choisi de se percer les oreilles elle-même. Au delà du protectionnisme des médecins et du père, elle a pris sa décision. Et là je vous rejoints, c'est certes de la mutilation, qui plus est pratiquée de façon artisanale, mais salvatrice pour le propre cas de Lara, ça peut déranger je le comprends mais ça existe... Pour ma part je n'ai pas trouvé le métrage malsains et oui on voit de la nudité mais c'est très subtil et justifié sans violence gratuite. Le seul message universel du film reste comment gérer la souffrance. Voilà mon sentiment quand au film.
    • kratostreize
      film putaclic
    • scrat28
      Je n'ai pas vu le film, mais je réagis par rapport à ce que tu rapportes au sujet de la nudité et de la violence. Est-ce si extrême/cru que ça?En Belgique, le film est tout public.Par contre aux USA il sortira sur Netflix, et j'ai appris que Netflix a demandé une version légèrement coupée car apparemment il y a des choses très choquantes -ce qui fait rager le réalisateur.
    • Cévenole30
      Je comprends tout à fait qu'une personne souffrant d'une malformation, comme l'auteur du Saut de l'Ange, puisse désirer changer de sexe. Sa propre famille lui a dit : Dire que tu étais si petit, si fragile ... On a même cru que tu n'étais pas un garçon ... un petit ange, tombé du ciel trop tôt. Il n'aurait pas été, de toute façon, un garçon normal. Mais castrer des jeunes gens en bonne santé et normalement constitués me paraît réellement effrayant, sachant que cette décision sera irrémédiable . De plus, les ados ont parfois des idées bizarres. Y souscrire sans sourciller me paraît plus qu'irresponsable. Qu'est-ce qui lui permet de croire, à cet ado, qu'il sera plus heureux en femme ? Il n'en sait rien. Dans tous les cas, ce doit être une décision mûrement réfléchie, à prendre à l'âge adulte. C'est trop grave ! Les conséquences ne sont pas que positives.
    • Max Chessman
      Je sais que ce film a été nominé à Cannes et je vois bien que les critiques, qu'elles proviennent de la presse ou du public, sont positives. Mais pour moi, il est loin d'être bon. Je ne le trouve même pas passable.“Girl” est malsain du début à la fin. Il n’hésite pas à montrer de la nudité ou du sang. Le problème dans un film qui veut faire circuler un message, c’est que car élimine déjà une partie du public ayant du mal à supporter ce genre de scène. Je pense qu’un long métrage tout public aurait été une meilleur stratégie pour toucher les gens. L’ambiance glauque n’était pas nécessaire, surtout la scène de fin. Cette scène aurait pu être plus subtile. Ne pas montrer le geste en soit, mais nous le faire comprendre. Ce côté malsain m’a surtout empêcher de rentrer dans le film.Le film prétend défendre les transgenres, mais quelle image donne-t-il d’eux. L’héroïne est stupide et ne cesse de prendre les mauvaises décisions. Elle commet une erreur. A cause de ça, les médecins et son père lui explique pourquoi c’est mauvais, mais elle continue après. Pour un film qui prend la défense des transgenres, ce qui est tout à son honneur, il le fait très mal. Je n’ai pas eu d'empathie pour l’héroïne car elle ne cesse de désobéir à tout ceux qui veulent l’aider. Beaucoup de critique explique que l'intérêt du film est de montrer le combat quotidien des transgenres avec l’aide de la médecine. Je ne demande pas mieux que de le croire, mais alors pourquoi “Girl” s’obstine à nous montrer une héroïne qui ne fait pas les démarche médicale et ne respecte pas toutes les étapes de ce combats. On peut y voir une volonté de s’affranchir du sexe masculin. Mais pour moi, ce n’est qu’un comportement d’adolescent qui veut tout avoir tout de suite. Donc, non, pour moi, ce film n’illustre pas le combat des transgenres, que je trouve tout à fait respectable soit dit en passant. La morale, si je l’ai bien comprise, est horrible. En gros, les dernières scènes du films, à mes yeux, je précise, disent juste “ Mutiler vous, vous serez plus heureux après”. Je suis désolé, mais c’est le massage que j’ai retenu du film. Attention spoiler : A la fin du film, Lara décide de se couper le pénis pour devenir une vrai fille. Quelques minutes plus tard, on la voir marcher heureuse dans une station de métro. Qu’est-ce que ca veut dire au juste ? Que les méthodes employées par les médecins ne suffisent pas? D’accord, mais ça aurait été plus claire si durant tout le film l’héroïne avait respecté ces méthodes. Comme elle passe son temps à les ignorer et à ne pas écouter les médecins, on ne se sait pas pourquoi elle commet un tel geste à la fin du film. Donc oui, le message est bancale. De plus, la mise en scène est terriblement peu audacieuse et la musique n’est pas top. Donc je ne peux même pas laisser cela au film. Sans compter le jeu d’acteur qui, je trouve, laisse à désirer. Sauf en ce qui concerne le père. Je trouve son jeu correcte et c’est le seule personnage pour lequel j’ai ressenti une véritable sympathie.Je vais finir sur le fait qu’il n’y a jamais de conclusion dans ce film. L’héroïne s’entraîne dur pour faire partie d’un spectacle de ballet. Au final, Lara ne peut pas participer à ce spectacle pour des raisons médicales. Donc tout cette entraînement à été inutile. Ce qui n’est pas un défaut en soit. Le fait est que l’héroïne se rend compte que ce n’est pas parce qu’on travaille dur qu’on obtient de bon résultat. Ce qui lui donne plus de volonté pour son geste à la fin du film. Mais comme on voit qu’elle n’a pas suivi les recommandations des médecins, il n’est pas étonnant que les résultats ne soient pas satisfaisant. Voilà, je n’ai vraiment pas aimé ce film et je n’ai pas compris pourquoi il avait de si bonne critique. Peut-être n’ai-je pas compris ce long métrage. Si tel est le cas, je serais content que quelqu’un me l’explique. Je précise que j’ai énormément de respect pour les transgenres et pour leur combats. Je regrette que le film ne l’illustre pas mieux.
    • Chaarlie3011
      fille*
    • Yohann V.
      Magnifique et poignant ce film est une leçon de courage.
    • magalda
      Merci pour votre réaction !
    • ZZelig
      Je vois que vous n'avez rien à dire, ne répondez à rien. Ca ne coûte pas cher de déplorer et de faire bouh-bouh. Et non on ne choisit pas. D'ailleurs, il suffit de constater par le réel quand vous naissez. Le reste est erreur de la nature, comme un processus de fabrication qui a déraillé.Matériellement constatable. J§e ne savais pas que le réel votait Boutin (toujours les épouvantails). Le reste est fantasme et construction sociale comme vous dites en général. Vous rendez-vous compte que vous n'avez rien à dire et que votre discours est creux ?
    • -Nomade-
      On naît homme ou femme, on ne choisit pas son sexe. La nature le fait pour vous et c'est comme ça. C'est le réel, physique, matériel. Et chacun porte sa croix et c'est ainsi. Sinon c'est un fantasme.Consternant. Non mais vraiment n'importe quoi... Donc c'est ça, t'as absolument rien compris au sujet.Allez, retourne boire ta tisane avec Christine Boutin, moi, t'as fini de me faire rire.
    • ZZelig
      Vous ne répondez évidemment pas à toutes les objections. Et bien sûr, on psychiatrise l'interlocuteur comme au temps de l'URSS. Mais on s'offusque quand on dit que ces personnes ont un problème d'anormalité, nouvelle contradiction : Moi j'ai le droit de vous psychiatriser, mais vous, vous n'avez pas le droit envers les autres ! CQFD.Vous n'avez pas d'argument, car le seul que vous sortez est : la souffrance. Forcément insultant. Ce serait comme un médecin qui ne devrait pas dire à un cancéreux qu'il est atteint d'un cancer sous le fallacieux prétexte qu'il l'insulterait s'il lui révélait sa maladie. On peut aller très loin comme cela par une espèce d'hyperprotection où l'on ne peut plus rien dire sous prétexte de souffraaaance élévée au rang de dogme religieux et sacré. Jusqu'où va-t-on aller à ce titre ? Le moindre bobo doit-il trouver une justification par la loi ? A force, on peut dériver longtemps jusqu'au transhumanisme à ce stade. 1,7 % à 2 % naissances intersexes par an. 1 à 2 naissances pour 1 000 feraient l'objet de « chirurgies correctives » C'est-à-dire 98% n'ont pas ce problème. 98%. Posez-vous de bonnes questions sur la société en train de se bâtir.Le pire encore est ces personnes qui se font faire des « chirurgies correctives » rentrant en contradiction avec leur propre théorie. Pour celles-là, il faut considérer que le sexe ne fait pas le genre comme la théorie du même nom le promeut. Mais que font-elles ? Elles se biologisent, c’est-à-dire deviennent biologiquement femme ou homme (pourquoi beaucoup plus d'hommes devenant femmes comme par hasard ?) par une opération physique pour changer de sexe là où ils se prenaient pour une femme ou un homme par une vue de l’esprit. C’est-à-dire de réunir le genre femme avec le sexe féminin (ou l'inverse) alors que les associations ne cessent d’effacer la distinction entre les deux. Il faudrait savoir si le fait d’avoir un sexe marque l’individu ou non. Colossale contradiction.On naît homme ou femme, on ne choisit pas son sexe. La nature le fait pour vous et c'est comme ça. C'est le réel, physique, matériel. Et chacun porte sa croix et c'est ainsi. Sinon c'est un fantasme. Ce n'est pas un hasard si cela se passe dans le milieu artistique. Les autres ont d'autres problèmes à résoudre bien plus vitaux.Elles souffrent ? Mais des millions de gens souffrent tous les jours avec un taux bien plus élevé et on n'en parle jamais.Il est encore rigolo de reprocher à l'interlocuteur de se donner raison alors que vous ne cessez de le faire vous-même en traitant les autres de ne rien y connaître et d'avoir la Vérité sur le sujet.
    • -Nomade-
      Si j'étais méchant, je te répondrais bien que l'analyse de ta syntaxe & de ta sémantique commence à m'évoquer la psychiatrie...Bon, mais sinon, blague à part : tu sais ce qu'est un intersexué, par exemple ?Donc tu as conscience que ce que tu alignes comme énervantes sottises depuis deux jours serait particulièrement insultant pour des personnes dont tu nies la souffrance, la rabaissant au rang de caprice, ou de faillite familiale ?Non ? Et ben voilà pourquoi on peut ne plus avoir envie d'argumenter, au bout d'un moment.Mais bon, puisque tu as raison envers et contre les personnes que ça concerne directement, ne t'en déplaise je vais te laisser dans ton jus, maintenant...
    • ZZelig
      Ah oui je me moque des témoignages, ce qui ne prouve rien surtout à notre époque où les gens sont laminés socialement pour m'occuper des bobos des bobos. Il ne suffit pas d'affirmer une chose pour qu'elle soit vraie et légitime.Ah il ne manquait plus que la LMPT et le complotisme. Ce qu'on appelle Empoisonner le puits une habileté rhétorique, c’est-à-dire associant un interlocuteur à une imagerie mal vue ou déplaisante. Vous savez ce que veut dire la liberté d'expression ? Mais chez vous, la liberté d'expression, c'est de culpabiliser en faisant dans le pathos et l'émotionnalisme (les témoignages) et de forcer les autres à adopter votre pensée, non à la confronter par des arguments et c'est pour cela que vous fuyez sans cesse sinon vous ne manqueriez pas de sortir vos arguments imparables. Le vide.Vous pensez en plus qu'il n'y a que ceux qui s'opposent à faire parti de ce clan. Or, dans plusieurs articles, notamment de Libération du 7 février 2014 et du Figaro du 21 juillet 2014, Marie-Josèphe Bonnet, historienne, militante homosexuelle et féministe, ancienne du MLF et des Gouines rouges, cofondatrice du FHAR (Front homosexuel d’action révolutionnaire), s’oppose au mariage homosexuel, au transgenre et à la PMA et GPA.Vous ressortez les épouvantails tellement vous avez la pensée pure. C'est ça votre problème. Vous vous êtes autosanctifiés par avance et c'est en cela que vous êtes les nouveaux curés sans mitre et sans soutane mais curés quand même en demandant aux autres de s'agenouiller sur vos prie-Dieu transgenrisme. Avant le mariage était vu comme un truc bourgeois et réactionnaire mais maintenant, c'est progressiste, ce qui indique vous êtes bien les nouveaux curés. Vous êtes évidemment incapable d'argumenter depuis vos interventions : J'arrête mais je continue à répondre.
    • -Nomade-
      - cela représente quasiment rien- avoir une cause et une lutte qui ne coûte pas cher- une démission parentale- comme dans un libre service- se prenait pour une femme par une vue de l’esprit- volonté de vivre exilé de la nature- composer son identité comme dans un self-service- nouveaux curés prêts à censurer- je me moque des témoignages (ma préférée...)- l'idéologie officielle (...) des sciences sociales qui ne sont en rien une science - chochottes bourgeoises- veulent accréditer leur fantasme culturel- les autres qui subissent bien plus d'humiliationsOn croirait lire un tract de LMPT... Bref, non, je vais pas m'ennuyer à aller argumenter avec quelqu'un qui balance des trucs pareils. Et si ça flatte ton complotisme, ça m'est parfaitement égal, à ce stade.
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