Avis Orange Is the New Black S2

La saison deux permet de mieux connaître les détenues ainsi que les gardiens. Il y a toutes sortes de filles, femmes, mères et grand mères dans cette prison. Et les matons ne sont pas forcément mieux que les prisonnières. Toutes ces vies nous sont racontées dans divers flashback qui donnent plus de profondeur à la série

Une saison toujours si riche en épisode mais toujours si longue sur ces derniers. Il y à réellement depuis quelques années maintenant, une différence de longueur et de durée en passant du simple au double. Ici, entre un premier et dernier d'1h30 plus 50 min chacun, nous ne sommes plus en présence d'une série mais d'un long métrage XXL, ce qui n'est pas du tout bon en raison de la non évolution des personnages, d'échanges quotidiens toujours si nombreux ainsi et à mon grand regret, de flash-back toujours présent certes mais trop vite montrer. Il sera clairement bien qu'en saison 3, ces derniers soient nettement plus nombreux et long aussi bien pour mieux comprendre le passé respectif des détenues plutôt que de suivre d'interminables échanges et querelles rendant très sincèrement le programme aussi long que banal. Les mêmes échanges chez "Prison Break" étaient nettement plus corser et ponctuer de tension alors qu'ici, trop peu. L'unique surprise fut le retour très rapide de Pablo Schreiber aussitôt reparti. La relation hyper intéressante de nos tourtereaux prend un virage dangereux mais n'est pas plus exploitée. Quand à notre protagoniste blonde, le départ aussi surprenant de sa "copine" et les nouveautés côté famille furent l'unique piment inédit de la saison. Voilà donc, 13 long épisodes pour peu d'évolution, espérons la 3ème.

Dans cette saison on retrouve les mêmes ingrédients de la première saison.
Ceci dit cette saison se montre également bien plus sombre et méchante.
Et les gentils...ne l'ont pas forcément toujours été.
Sinon il y a un personnage qui se montrera aussi bien ange que démon,mais qui sera surtout des plus détestables.
De plus des personnes paient pour des actes que d'autres ont commis.
Saison globalement entraînante,avec peu de moments ennuyants.

Je viens de terminer la saison 2, je confirme ce que j'ai dit précédemment, c’est vraiment une série de m...
Vous vous rendez compte : spoiler: il existe un tunnel entre une serre et la forêt, personne ne l'emprunte pour se sauver, sauf dans le dernier épisode pour une détenue. Tout le monde pourrait sortir de la prison, mais ça n'intéresse personne.
J’ai jamais vu un scénario aussi débile, à la hauteur des personnages d'ailleurs.

Une seconde saison tout aussi admirablement réussie que la première. La protagoniste Piper Chapman va présenter une évolution intéressante, ne faisant que la rendre encore plus attachante, qui de naïve et maladroite est devenue pragmatique et sarcastique, nous réservant quelques répliques hilarantes . On va faire plus connaissance avec des personnages qu'on a pas eu le temps de bien connaître précédemment, on va en voir de nouveaux dont une véritable antagoniste, LE personnage qu'on adore haïr férocement (comme le roi Joffrey dans "Game of Thrones" !!!) à savoir Vee, dealeuse en chef véritable sociopathe manipulatrice dans toute sa "splendeur" (Lorraine Toussaint, terrifiante donc brillante !!!), qui mérite sa place dans le top 10 des personnages de séries les plus détestables de tous les temps.
A cela s'ajoute à un épisode final pour cette saison absolument dantesque qui va encore me faire plus sentir pendant les mois d'attente de la troisième saison comme un toxico en manque.

l'heroine est enervante a chaque episode :elle prend toujours des decisions stupides et immatures,on a envie de la claquer presque tout le temps,l'ambiance est glauque et deprimante mais je suppose qu'une prison est glauque et deprimante.
c'est la pire serie que j'ai regardé jusqu'ici

Tout aussi plaisant à suivre que la première saison, cette saison 2 suit le même chemin que sa prédécesseure en mélangeant toujours avec brio humour, drame et émotion. On continue de s'attacher aux détenues et certains personnages nous paraissent plus agréables du fait de leur évolution dans cette saison. Bref, si vous avez aimé la première saison d'Orange Is the New Black, vous aimerez cette saison 2.

Au vu du vif succès d’une première saison remarquée, atout majeur dans la manche du grand distributeur Netflix, la suite des péripéties de nos prisonnières fédérales préférées était attendue au tournant. Le show de Jenji Kohan revient plus fort encore pour une seconde volée de 13 épisodes, toujours aussi drôles, mais clairement plus dramatiques que les précédents. L’arrivée du personnage emblématique de Vee, à Litchfield, donne lieu à une forme de guerre des gangs pour le contrôle de la taule, des petits trafics en tous genres. Dans la foulée, ces conflits ouvrent les portes aux scénaristes pour faire valoir les arguments raciaux, les clans étant très strictement ethniques. Les enjeux sont donc bien plus importants que par le passé, et cela n’étant pas pour déplaire, le final sera à la hauteur de la saison dans sa globalité.

La fourchette de personnage étant maintenant connue, le plaisir n’en est que décupler lorsque le drame, conjugué à l’humour, frappe les couloirs de la prison, ou chacun choisit son camp, essaie de tirer profit de toute forme de situation. Toujours rythmé, chacun des épisodes de cette seconde saison, fonctionnant toujours en mode flashbacks, permet une réelle avancée de l’intrigue, ce qui ne fût pas toujours le cas et que ne le sera plus vraiment durant la saison trois. La maîtrise des scénaristes permet alors de donner une importance quasi similaire à chacun des intervenants, pourtant nombreux. Piper Chapman, notre héroïne des premiers instants se fond gentiment dans la masse, laissant sa place de tête d’affiche à l’intégralité du casting. Chacune de ses dames est potentiellement au seuil de son heure de gloire et le spectacle n’en n’est que plus passionnant. Tout ça sans oublier les performances des gardiens et autres directeur, je pense là, notamment, à la brillante interprétation du personnage de Joe Caputo.

Admirablement mise en scène, cette nouvelle saison s’offre de tous beaux moments de tension, d’humour et d’intelligence, délaissant au final sa thématique un peu pataude de l’homosexualité. Le conflit prend clairement le pas sur la monotonie de cette vie derrière les barreaux, offrant un réel suspens et ses lettres de noblesse à la série.

Pour autant, il s’agira pourtant d’apprécier l’humour, les personnages un brin caricaturaux et leur environnement pas toujours crédible. Mais l’effet est diablement positif pour celui qui se lâche devant le show de Jenji Kohan, formidable showrunner, au féminin, qui n’a donc pas à rougir face à la concurrence masculine. 17/20

Avec son excellent premier épisode, cette seconde saison commençait idéalement, mais l'effet de découverte de la série s’étant dissipé, elle connait une légère baisse d'intensité dans son déroulement.
Chose classique dans des séries se passant dans des prisons, en effet il est toujours difficile de se renouveler et de maintenir un niveau dans des milieux à huis clos.
Peut être est-ce aussi dû au fait que cette saison s’intéresse moins à Piper et plus aux autres personnages,ainsi que l'absence quasi totale de Mendez, personnage qu'on adorait haïr.
La comparaison était de toute façon inévitable et difficile par rapport à la géniale première saison.
Cette seconde saison est tout de même loin d’être mauvaise, en intégrant de nouveaux personnages, elle réussit grandement à nous captiver et à rajouter de nouveaux enjeux dramatiques.
Et bien sur on prend toujours autant de plaisir à suivre nos héroïnes hauts en couleur, définitivement jouées à la perfection par une troupe d'actrices débordant de naturel.

Une 2e saison qui part doucement avec la mise en retrait de Piper et ses déboires amoureux mais finalement cete saison met en danger tout le monde et devient pleine de suspense, en poussant les personnages à leurs limites.

Et une deuxième saison encore plus géniale, une ! Sincèrement, je me suis encore plus régalé durant cette saison. C’était du pur bonheur ! L’histoire au sein de la prison prend un tournant inattendu avec l’arrivée d’une flopée de personnage tous plus intéressants les uns que les autres, on explore encore plus le background sur d’anciens personnages (et pour certains, on tombe de haut). Et l’intrigue en dehors de la prison prend également un chemin un peu plus prévisible, mais tellement jouissif. Au final, on est complètement scotché durant ces 13 épisodes, entre un premier épisode où on est en panique total, des épisodes intermédiaires parfaitement bien maîtrisés, la multiplication des coups bas, le sentiment d’insécurité plus présent que jamais, des retours et des départs grandioses et un dernier épisode d’1h30 mais ô combien épique (si bien qu’on a même l’impression qu’il est plus court que les autres). Le tout pour nous mener à un grand final qui rend d’autant plus pressante l’envie de découvrir la saison 3, qui s’annonce tout aussi géniale. Par-dessus cette histoire, on y ajoute des personnages toujours aussi attachants interprétés royalement par les actrices et acteurs. Techniquement, c’est toujours aussi soigné, la bande son vend toujours autant de rêve en étant toujours adaptée à la situation, la mise en scène est géniale et les décors sublimes.

Une deuxième saison concrétisant à merveille la première, exploitant toujours le potentiel et surtout posant des bases qui promettent plein de choses pour la suite !

J'adore toujours autant ce générique ! Cette seconde saison surpasse la précédente, on connait bien les personnages plus besoin de les présentés et encore moins le besoin d'avoir un round d'observation, là on est dans le vif du sujet de suite ! Quelques unes se démarquent ( Poussey, Nicky, Lorna, Gloria ... ) mais dans l'ensemble elles contribuent toutes à la réussite de se deuxième chapitres. Piper est toujours le personnage central de la série mais n'est plus le centre d’intérêt ultime, elles sont toutes sur le même piédestal et c'est un point positif pour tout le monde y compris pour Chapman. Celle-ci évolue quelques peu et c'est positif, elle m'a vraiment plu et elle m'a littéralement troublé lorsqu'elle apprend le décès de sa grand-mère par téléphone, un des passages les plus forts en intensité des treize épisodes. Les flash-backs sont vraiment remarquable, on en apprend bien plus sur elles et parfois on découvre même les raisons qui les ont poussés à se retrouvés à Litchfield ( ex Lorna, Rosa, Gloria ... ). Les hommes quoique minoritaire ne démérite pas non plus, Caputo en chef de file. Celui-ci gagne en consistance et offres quelques perles comme dans l'ultime épisode et sa prise de pouvoir ... Les autres comme O'Neil, Pornstache, Healy sont tout aussi cons et m'ont fait rires à foison. Quelques maladresses, tout n'est pas parfait mais on les oublie vite tant le ton empreint par la série fait plaisir à voir. J'ai donc beaucoup ri, mais pas seulement, le message développé et l'intelligence du / des propos défendu est tout simplement remarquable. Plus complexe que de prime abord, on se place sous différent point de vue, sans bien-pensance mais en donnant malgré tout son avis. Je vais dévoré la troisième saison avec passion, j’espère encore être surpris ...

Oz au féminin

Orange is the New Black, c’est avant tout une incroyable palette de personnages (Taystee, Crazy Eyes, Poussey, Black Cindy…), étoffée et fort bien campée par des actrices comme Taylor Shilling aka Piper Chapman, qui tient le rôle principal. Une série au ton décalé et humoristique, plus accessible que l’incroyable chef d’œuvre de Tom Fontana. Un Oz au féminin, drôle sans les testostérones de son illustre sœur : en effet, les effusions de sang, les affrontements et les violences d’ordre mental ne sont pas au cœur de cette série, même si on peut assister à quelques scènes fortes, l’ensemble demeure une comédie aux dialogues fort bien écrits.

(...) Orange is the New Black, c’est avant tout une incroyable palette de personnages (Taystee, Crazy Eyes, Poussey, Black Cindy…), étoffée et fort bien campée par des actrices comme Taylor Shilling aka Piper Chapman, qui tient le rôle principal. Une série au ton décalé et humoristique, plus accessible que l’incroyable chef d’œuvre de Tom Fontana. Un Oz au féminin, drôle sans les testostérones de son illustre sœur : en effet, les effusions de sang, les affrontements et les violences d’ordre mental ne sont pas au cœur de cette série, même si on peut assister à quelques scènes fortes, l’ensemble demeure une comédie aux dialogues fort bien écrits (...)
L’originalité de chaque épisode, est le retour sous forme de flashback des détenues avant leur arrivée en prison. L’intrigue se tourne alors plus sérieusement sur les personnages jusque-là secondaires, en abordant leur passé souvent troublant et permettant de mieux les comprendre. Le spectateur ne les voit plus comme de simples criminels en tenue orange, mais comme des semblables, ces femmes, mères et épouses, confrontées aux problèmes de la vie, qui ont commis des erreurs et en paient le prix. Le thème de la maltraitance envers les femmes, les problèmes de racisme d’homophobie et des familles défavorisés sont soulevés de manière réaliste, touchante et toujours aussi satirique (...)

Un poil en dessous de la première saison, mais toujours aussi somptueux. Et encore merci à Numéro 23 qui diffuse la saison 2 à la suite de la saison1!!