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    Top of the Lake
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    101 critiques spectateurs

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    Renaud  de Montbas
    Renaud de Montbas

    28 abonnés 683 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 27 août 2015
    Décidemment Arte tent de plus en plus à grignoter Canal dans le domaine des séries de haut niveau. La preuve avec cette intense production néo zélandaise aux paysages magnifiques. L'actrice principale est juste sublime de vérité, l'ambiance "bout du monde" typique des séries en provenance du "down under" (faut dire que vu la population au km carré ^^). Petit bémol concernant la fin qui ne réserve aucune surprise en guise de cerise sur le gateau. Un twist final aurait permis un 5/5
    Gilles P
    Gilles P

    16 abonnés 553 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 21 juillet 2014
    L'anti-thèse de la plupart des séries américaines, c'est lent, froid, l'affaire pourrait être banale sans l'ambiance glaciale et l'omerta.
    Skipper Mike
    Skipper Mike

    69 abonnés 650 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 23 décembre 2013
    "Top of the Lake" est une excellente série peuplée de personnages bien construits et attachants dont on suit le parcours lors d’une intrigue policière mêlant viol, disparition, inceste et maltraitance féminine. Dans un cadre paradisiaque situé en Nouvelle-Zélande, les protagonistes évoluent et se confrontent au passé et à la traîtrise des faux-semblants. Tous savent en effet le poids du machisme pesant sur Laketop mais se contentent de se taire et d’accepter corruption et soumission. Cette série s’inscrit donc dans la lignée d’autres œuvres féministes marquantes, telles "Millénium" ou "Shokuzai", liées par un fort pessimisme mais aussi une volonté de dénoncer. "Top of the Lake" doit donc sa réussite à son scénario mais également à sa narration contemplative cherchant avant tout à placer les personnages au premier plan, devant l’esthétique qui reste néanmoins de qualité. Quant à l’interprétation des acteurs, elle est aussi un point fort, notamment celle d’Elizabeth Moss en Clarence Sterling du XXIème siècle, et celle du magistral Peter Mullan, parvenant à rendre attachant son personnage de brute immorale.
    soulman
    soulman

    67 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 5 juillet 2014
    Peut-être la meilleure série jamais tournée ; en tous cas, une des plus originales, une des plus belles. La mise en scène est magnifique, le scénario captivant même si on devine le dénouement (ce qui n'a aucune importance) et les acteurs, comme toujours chez J. Campion, admirablement dirigés. La beauté des décors naturels y est pour beaucoup mais, ce qui compte, c'est leur utilisation et la façon dont ils deviennent un élément de l'intrigue. Du grand art...
    Anne M.
    Anne M.

    62 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 10 octobre 2015
    Robin Griffin, policière spécialiste de la protection des mineurs est détachée en Nouvelle Zélande, à Lake Top et seconde Al Parker pour retrouver Tui, une jeune adolescente qui disparaît après une tentative de suicide.

    Pendant l’enquête, Robin qui a grandi ici, doit faire face à des souvenirs terribles. Elle a affaire à Matt Mitcham, le père de l’adolescente, un baron de la drogue qui maintient la ville sous son joug. Sur la terre de Paradise, une communauté de femmes avec son gourou tente de s’implanter.

    Cette région magnifique, à l’autre bout du monde, n’obéit à aucune loi d’état et est peuplée de personnes atypiques, marginales voire dégénérées, que relie entre eux la loi du silence.

    Cette série me fait penser à « true detective » ou encore aux films « Dans la brume électrique », « winter bones » ou « la isla minima », en tant que film essentiellement d’atmosphère, atmosphère poisseuse et délétère, émanant d’un monde clos coupé de tout, où personne n’est innocent.

    C’est captivant, et le rythme lent participe à cette atmosphère enivrante.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 15 novembre 2013
    N'étant pas du tout un adepte des séries télé, mais grand admirateur du cinéma de Jane Campion, j'ai jeté un oeil du côté de cette série et je dois dire qu'elle m'a vraiment séduit, par sa dimension à la fois ultra mélancolique et son intensité dramatique.
    Alors oui bien sûr, mieux vaut être fan du cinéma de l'auteur de la "Lecon de Piano" ou de "Bright Star" que des dernières réalisations de Ridley Scott !
    Ce "Top of the Lake" est une grande réussite d'une part par la temporalité qu'il installe et par le tempo qui marque le déroulement des évènements, une lenteur qui laisse tout le temps au film d'imprégner le spectateur et de vraiment caractériser les personnages, mais aussi une lenteur qui permet au drame de prendre beaucoup de profondeur et d'intensité au fil de la série.
    Un scénario parfaitement bien écrit, un enchainement dramatique très bien agencé, un intrigue millimétrée, une musique vraiment envoutante et des acteurs extrêmement naturels et crédibles, notamment l'actrice principale qui est incroyable de naturel à l'écran !, tous ces éléments qui font de ces 6 heures de film une longue mélopée dramatique suspendue à l'intrigue dont à aucun moment on ne devine l'issue dernière !
    En prime, Jane Campion nous offre un sublime panorama de son Ile et ses paysages fantastiques, un décor grandiose et mélancolique où se joue la fresque terrible des rapports humains de la Nouvelle Zélande, à la fois brutaux, machistes et presque tribaux !
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 12 février 2014
    Bonne surprise kiwi, on se laisse facilement emporter par cette nouvelle série, qui doit beaucoup à son magnifique cadre, la Nouvelle Zélande et son ambiance sombre à souhait. Le jeu d'acteur est parfait, le scénario souffre de quelques longueurs et le dénouement de l'intrigue peut être quelque peu rapide et simpliste. À voir.
    Najou
    Najou

    11 abonnés 234 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 8 octobre 2014
    J’aime habituellement le cinéma de Jane Campion, mais je n’ai que moyennement accroché à la série. Les premiers épisodes m’ont plu : l’atmosphère, les paysages magnifiques et les acteurs sont bons dans l’ensemble. Cependant, la suite se gâte, la faute à un scénario que j’ai trouvé franchement médiocre : il n’est pas fin, peu crédible spoiler: et certains retournements de situation sont franchement grotesques (ah finalement tu n’es pas mon frère)
    . Certaines scènes sont inutiles (toutes celles avec la pseudo-secte, les scènes d’amour sont également trop nombreuses et font vraiment remplissage). Bref, je m’attendais à plus de finesse en voyant le nom de Campion et je suis au final déçue.
    6nematod
    6nematod

    10 abonnés 461 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,0
    Publiée le 22 novembre 2013
    Beuh ! C'est sordide c'te feuilleton ! Nous étions trois à regarder ça et à la fin tous ressentions l'impression d'avoir perdu 6 heures devant ce truc aux relents profondément malsains. Jane Campion broie du noir ? Bref, chacun ses goûts, mais si vous souhaitez sonder les tréfonds glauques de l'âme et de la névrose, Top of the Lake est pour vous ! Pour ma part, j'en vois bien assez dans le quotidien sans avoir à remettre une couche le soir à l'écran. Ah ! : à regarder si vous cherchez des idées de tatouages !
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 10 novembre 2013
    Bonne série mais c'est looooooonnngg……
    Bon jeu d'acteur, bon scénario (un peu "déjà vue")
    Les paysage sont magnifique
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 22 janvier 2014
    Nul doute que nous entendrons beaucoup parler de Jane Campion en 2014, puisqu'elle sera la présidente du jury du prochain Festival de Cannes. Mais en 2013, la réalisatrice néo-zélandaise nous a déjà régalés d'une mini-série de six épisodes, totalement haletante et très immergente dans des paysages de l'autre bout du monde.
    En Nouvelle-Zélande, aux abords d'un lac immense entouré d'une nature somptueuse, gigantesque et inquiétante de si peu d'humanité, Tui, une jeune adolescente de 12 ans mystérieusement enceinte, disparaît. Laketop, la ville à proximité du lac, n'est guère plus humaine que les sombres forêts alentours: entre trafiquants de drogue dérangés, bikers imbibés et notables cyniques, on comprend peu à peu la terreur de la gamine à défaut de ce qui l'aurait poussé à fuir. Car s'ils boivent encore du thé, il semble que les descendants des sujets de sa gracieuse majesté soient retournés à l'état sauvage dans cette petite bourgade repliée sur elle-même. Un camp presque sectaire, du nom de Paradise, fait la liaison entre la ville et les espaces naturels. Aménagé de quelques containers, il est peuplé de femmes à la dérive évoluant dans une pseudo-spiritualité autour d'un gourou interprété avec beaucoup de talent par Holly Hunter. Ce lieu des vérités révélées laisse tout autant les hommes livrés à eux-même. Tui y passe, mais disparaît très vite une fois encore.
    Comme ange et démon, seules deux personnes se soucient réellement de retrouver la gamine dont les chances de survie sont minces dans la forêt: son père, parrain de la drogue ultra-violent, instable et menaçant, et une femme flic de Sydney, native de Laketop, Robin Griffin. Perdue dans une vie qui pourrait être rangée mais qui ne lui correspond pas, Robin est hantée par les traumatismes de son adolescence auxquels elle doit faire face du fait de son retour. Attirée par la marge plus qu'elle n'ose se l'avouer, l'histoire de Tui a pour elle un écho très personnel. Retrouver, sauver la petite devient une question de vie ou de mort, et pas seulement pour l'adolescente, loin s'en faut. Elisabeth Moss, déjà très remarquée dans Mad Men, compose ici un personnage complexe et très crédible. Elle vient d'ailleurs de remporter pour ce rôle le prix de la meilleure actrice dans une mini-série lors des derniers Golden Globes. Amplement mérité !
    Top of the lake captive et inquiète. On navigue sans cesse entre les faits bruts et les obsessions des personnages, ce qui donne parfois un étrange sentiment de distorsion de la réalité. Et quand on pense être à deux doigts de basculer dans quelque chose de presque mystique, le polar revient imposer ses codes.
    Les paysages néo-zélandais sont à couper le souffle. Ils m'ont d'ailleurs amenée à m'interroger sur ce pays dont je me suis rendue compte que je ne connaissais rien si ce n'est deux ou trois clichés, comme le rugby ou les moutons. Cette nature extraordinaire et le sentiment d'immensité inquiétante qu'elle véhicule sont pour beaucoup dans l'ambiance très aboutie de cette série. Jane Campion dit s'être inspirée de The Killing version US, réalisation elle-même inspirée du Forbrydelsen danois que j'adore. Les atmosphères de ces séries policières, extrêmement travaillées, sont une indéniable réussite et resteront je pense comme une signature.
    Sylvie B.
    Sylvie B.

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 10 novembre 2013
    je viens de voir les 3 premiers épisodes et j ai hâte de voir la suite jeudi prochain sur Arte que je remercie au passage. Cette série est bien réalisée : de bons acteurs, de tres beaux paysages, une ambiance mysterieuse et une intrigue autour de la disparition d une fillette. Ce climat qu ressemble à ceux que l on ressent duand on lit les polars suédois.... Super merci
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 23 septembre 2014
    "Top of the lake" nous offre une photographie froide, une atmosphère oppressante et remplie de secrets. Les magnifiques paysages sont considérés, ici, comme un personnage à part entière et sont utilisés pour transmettre des messages.

    Les acteurs incarnent de façon extrêmement juste leurs personnages respectifs travaillés à la base en profondeur : David Wenham (le capitaine de police Al Parker) réussit le tour de force de donner le sentiment de cacher un secret explosif sans éveiller le moindre soupçon et ce, malgré la connivence qui le lie au personnage de Peter Mullan (Matt Mitcham). Elisabeth Moss arrive à nous faire ressentir les failles, les doutes, les douleurs et les faiblesses de Robin Griffin, inspectrice spoiler: victime d'un sombre événement dans son adolescence
    . Holly Hunter joue à merveille, entre humour et philosophie, G.J., cette "éclairée" menant un groupe de femmes afin qu'elle reprennent leurs vies en main.

    "Top of the lake" comporte certes quelques moments de faiblesses mais cela n'entache en rien la trame policière très bien menée sur un rythme entretenant notre curiosité ( spoiler: plus à savoir "qui est le père de l'enfant de Tui ?" que son "meurtrier"
    ) sans jamais tomber dans le glauque ou le sanguinolant.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 18 mai 2014
    Belle série, beaux paysages, bons acteurs...qui ne me laissera cependant pas un souvenir absolument mémorable. Cela aurait pu être un merveilleux film de 2h...A voir, cependant...
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 7 janvier 2014
    Seulement 6 épisodes pour cette série, un début, une fin, on sait à quoi s’en tenir et pour une fois, ce n’est pas si mal.
    J’ai lu quelque part qu’elle pouvait être comparée à twin peaks (la série) ; et oui les deux séries présentent des similitudes, sans toutefois se ressembler plus que ça au niveau de la réalisation et des épisodes.
    Ici, l'histoire se déroule en Nouvelle-Zélande, dans des paysages magnifiques, dans une petite ville.
    Deja la Nouvelle-Zélande c’est un peu la campagne, alors imaginez une petite ville de Nouvelle-Zélande, vous êtes carrément dans un trou perdu, et tout peu arriver.
    Une jeune inspecteur venant de la ville retourne dans sa ville natale pour enquêter sur un viol commis sur une mineure. Tandis qu’en périphérie de cette même petite ville une communauté de femmes s'installe et dérange par leur présence certains locaux, notre enquêtrice est confrontée au silence des habitants, à ses propres souvenirs qu'elle retrouve au contact des gens qu'elle y a connu dans son enfance, et surtout à une enquête bien compliquée.
    Voilà pour le petit résumé.
    La réalisation est assez... lente, et l'ambiance à l'image des génériques de début et de fin : mystérieuse. Mais un choix a été fait, celui d'opter pour une série mystérieuse, mais pas trop. Le mystère est latent, mais pas mis en évidence à chaque plan ou dialogue. C’est une enquête banale, dans un village banal, avec des gens communs, mais le tout sur fond de mystère.
    Il se passe des choses bien sur, mais chaque épisode déroule lentement le fil de l'histoire, et au final, la série peut se voir comme un film complet de 6 heures, avec forcement des longueurs.
    L'ensemble tient remarquablement la route, jusqu’à la toute fin du dernier épisode cette série devrait vous envoûter, sans toutefois vous tenir en haleine. Tout est dans le rythme, et ici c'est quand même lent !
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