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    The Knick
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    4,2
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    11 critiques spectateurs

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    romano31
    romano31

    247 abonnés 1 543 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 janvier 2018
    Cela faisait un petit moment que j'avais cette série dans le collimateur et j'ai enfin eu l'occasion de la commencer il y a quelques jours et je ne fus absolument pas déçu. La première saison de The Knick est absolument géniale. Superbement mis en scène par Steven Soderbergh, les dix épisodes de cette première saison sont passionnants de bout en bout. En plus d'être captivante, The Knick est superbement interprétée par une pléiade d'acteur tous plus convaincant les uns que les autres (Clive Owen en tête). Et puis, j'adore voir les origines de la médecine moderne et de comment on en est arrivé à ce que l'on sait faire aujourd'hui, c'est réellement passionnant. Je vais enchaîner direct avec la saison 2.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 janvier 2017
    SCALPEL QUI INCISE DANS LA CHAIR, DROGUE ET RACISME..mais ça ne se résume pas qu'a ça évidement, j'essaie d’appâter comme je peux. Tout est presque parfait dans cette première saison. Une "obligatoire" pour votre série-thèque même pour ceux qui ne raffolent pas du genre médical et historique.Clive Owen a tellement pris possession de son personnage que ce n'est pas lui que l'on voit à l'écran mais le Docteur John Thakery , un chirurgien doué du début du 20ème siècle souffrant d'une addiction sévère à diverse drogues mais à la cocaïne en particulier.Il se défonce gravement la tête le docteur et ça ne l'empêche pas d 'opérer efficacement...heu au début en tout cas... .Autour de lui gravitent des personnages tout aussi intéressants dont on a prit soin de creuser la psychologie comme par exemple le docteur Algernon Edwards (Andre Holland) , un talentueux chirurgien afro-américain revenu au pays après un séjour en Europe qui se heurte au racisme ambiant de l'époque aux États-Unis et qui le handicape pour faire valoir ses compétences. Bien sûr les personnages ne sont pas tous racistes et on trouve des gens raisonnables, heureusement. Je ne suis pas suffisamment expert en histoire de la médecine au début du 20ème siècle pour donner un avis certain mais il me semble après quelques recherches hélas sommaire que tout colle à la réalité historique. L’hôpital (Le Knickerbocker Hospital) a réellement existé et le scénario est basé sur l'histoire vraie du docteur William Hal. Bien sûr on a du prendre certaines libertés pour rendre l'intrigue passionnante et c'est tant mieux. Les scènes d' opérations chirurgicales sont splendides, sanglante et réalistes à souhait La sublime musique électronique rythme les plans et les actions à la perfection. Voilà, j"ajoute juste que Le docteur Thackery me fait penser en un sens à Sigmund Freud, va savoir pourquoi... NE PASSEZ PAS A COTE DE CE CHEF D’ŒUVRE !!!
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 171 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 février 2015
    Ah ça ! Elle en a des qualités cette première saison de « The Knick » ! La reconstitution de ce New-York de l’année 1900 est impeccable ; Clive Owen rayonne de mille feux et le sujet traité (les débuts de la chirurgie moderne) a le mérite d’être audacieux… Seulement voilà, ça a beau être clean et bien mené, propre de partout, c’est d’un lassant… Alors après je pense qu’on peut s’y retrouver avec ce « Knick » si on sait se contenter d’un univers. Mais pour les autres qui, comme moi, attendent qu’une intrigue les emporte, c’est un peu la douche froide. Au fond, les enjeux sont bien peu nombreux, et ils mettent des plombes à se développer. Entre l’intégration d’un chirurgien noir dans une société encore très WASP ; les problèmes de dettes de directeur, et les problèmes de drogue de l’ami Tackery, rien n’avance vraiment. Alors on dilue avec tout le temps les mêmes affaires : les problèmes de sous de l’hôpital ; les petites tensions internes entre les différents personnages qui font le « Knick » ou bien encore les petites expérimentations chirurgicales… Au final, au risque de surprendre, mais j’ai l’impression d’avoir à faire à un « House M.D. » mais sauce « reconstitution historique à la HBO ». Et encore, dit comme ça, ça pourrait être sexy, mais non, le ton de cette série est bien trop atone et dépressif pour énerver la bête. C’est tout le paradoxe de ce « Knick » je trouve : d’avoir un personnage principal qui se shoote à la cocaïne et qui pourtant semble sous Tranxen la plupart du temps… Rah que c’est décevant !...
    Chris Art
    Chris Art

    71 abonnés 398 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 octobre 2014
    (...) The Knick est une série à l’indéniable beauté visuelle, mais aussi par la grâce de ses dialogues et de son interprétation. Elle allie aussi bien le fond que la forme. Elle est exigeante et ne se contente pas seulement de nous conter la vie de cet hôpital, mais aussi de la vie au début du 20ème siècle. Elle aborde divers sujets : le racisme tout d’abord (...) La série aborde d’autres sujets tabou, comme l’avortement, illégal à l’époque, se faisant dans la clandestinité et pas forcément par les personnes, dont on s’attend. Le traitement des maladies mentales et la mortalité enfantine, ou avec le recul, on apprécie les progrès, comme dans la médecine traditionnelle. Elle reflète la réalité d’une époque, ne se contenant pas de parler de médecine, mais aussi des rapports hommes/femmes (...) C’est un éclairage sur une société en pleine évolution technologique, mais encore ancrée dans ses convictions sociales, empêchant certains de s’épanouir dans leurs vies (...)
    Michel Jean Claude
    Michel Jean Claude

    3 abonnés 196 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 avril 2015
    serie glauque, trés sanguine et sans saveur et surtout sans histoire solide. je me suis bien ennuyé pour la s01 , attendons la s02 en esperant mieux
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 17 janvier 2015
    La première séquence du pilote (une césarienne qui tourne mal) donne immédiatement le ton : "The Knick" sera une série médicale aussi jusqu'au-boutiste qu'exigeante, refusant les concessions et le conformisme. Pour ceux n'ayant pas encore éteint leur téléviseur après cette entrée en matière sanglante, les dix épisodes composant la saison ressembleront à une plongée atmosphérique dans un New-York réfractaire à la modernisation où explosent le racisme et la corruption.
    Grainedefo L
    Grainedefo L

    7 abonnés 66 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 mai 2015
    Première saison a couper le souffle. J'ai dévoré les épisodes. Les personnes sont excellents, les acteurs sont oufs! Clive Owen est magistral! Et que dire de l'ambiance et de la réalisation....bah il n'y a rien a jeter. Rajoutez le côté médical du début 20ème qui vous apprend plein de choses et vous obtenez un chez d'œuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 11 février 2015
    A l’aube du XXème siècle, dans les murs de l’hôpital Knickerbocker de New-York, les chirurgiens et infirmières doivent repousser les limites de la médecine. Dans ce monde où le taux de mortalité est très élevé, le Dr John Thackery, nommé à la tête du service de chirurgie, se doit de faire évoluer les techniques chirurgicales les plus pointues. Rejoint par le Dr Algernon Edwards, chirurgien ayant pratiqué en Europe, tout bascule dans l’hôpital du « Knick ». Pendant que le premier doit lutter face à ses addictions et ses ambitions médicales surdimensionnées, l’autre mène un combat quotidien envers les préjugés sociaux et le racisme qui règne à cette époque.

    L’hôpital Knickerbocker a réellement existé. Construit en 1862, il a accueilli de nombreux soldats de la guerre d’indépendance au XIX siècle. Le docteur John Thackery a lui aussi existé d’ailleurs, sous le nom de William Halsted, connu pour être l’un des pionniers de l’asepsie et de l’anesthésie chirurgicale. L’ambiance est installée, on sait désormais dans quelle atmosphère nous allons évoluer. Ici pas de pansements, de plans de coupe qui cache l’action. Non. Ici il y a du sang, de l’avortement raté, de la chirurgie violente et à ses débuts. On voit tout.

    Le premier épisode commence par ce fameux accouchement raté, une césarienne foirée au possible. Le spectateur est répugné par la violence des images auquel s’accouple une musique inadaptée pour l’époque. Et pourtant ça marche. On reste collé à l’écran jusqu’à la fin de l’épisode. Pourquoi ? Non pas parcequ’il y a marqué Soderbergh au générique, mais parce que, bel et bien, nous avons à faire à du vrai, du pur, Steven Soderbergh. Les chirurgiens sont autour du patient, l’opération peut débuter. Silence total. Arrive alors un son venu des entrailles, de lourdes basses qui envahissent l’atmosphère. Ces basses travaillées, tordues dans tout les sens, c’est ce que propose Cliff Martinez. L’ambiance est pesante, les décors hallucinants, la musique surpuissante, le jeu d’acteur parfait.

    Le premier épisode nous lance sur le thème de la contradiction, élément essentiel dans la découverte. Tout est sujet à la contradiction, la musique électronique avec l’époque traitée, la drogue et la chirurgie, la précision de chaque séquences et les plans épaules incessants. Tout nous est présenté, l’histoire peut enfin commencer. L’arrivée d’un nouveau chirurgien noir n’arrange rien dans cet hôpital sujet à la fermeture, au déménagement. Ce qu’il y a de très intéressant avec cette œuvre, c’est sans doute la façon dont nous sont racontées les découvertes chirurgicales dans un hôpital en 1900, sans pour autant tomber dans le cliché. Peu de choses se déroulent, il y a peu de grands rebondissements, mais lorsqu’une chose se passe, elle a immédiatement des conséquences énormes sur tous les autres personnages. Toute cette ronde est menée par le docteur John Thackery, joué à la perfection par Clive Owen au sommet. Soderbergh n’hésite pas à s’attarder sur les moindres détails, prolongées des scènes où rien ne se passe, ainsi le spectateur rentre dans les pensées de chaque personnage comme jamais.

    La suite de la critique sur le cinéma du ghetto :
    philbil
    philbil

    12 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 avril 2015
    Je n'ai vu que les 2 premiers épisodes que je qualifierais de bien .
    Les acteurs sont bons, notamment Clive Owen, ce à quoi je m'attendais de sa part .
    La reconstitution de l'époque et son ambiance semblent tres réalistes .
    Sur ces 2 premiers épisodes, je trouve que les personnages manquent un peu de profondeur et que le scénario manque d'intensité et de noirceur .
    J'attends de voir la suite pour avoir une opinion plus précise .
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 octobre 2014
    A voir !
    Je suis amatrice de séries (True detective, The bridge, Nurse Jackie, The walking dead ...) et je crois que celle ci fait partie de mes préférées.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 juin 2015
    Série à ne pas rater!
    La saison 1, en tout cas, est magnifique et nous plonge dans le New-York du début du XXème siècle dans le monde des hôpitaux de cette époque, avec les avancées essentielles en médecine, en chirurgie tout particulièrement.
    Elle nous montre les rivalités entre les chercheurs (qui doivent sûrement encore exister...), et c'est vrai que les scènes d'opérations sont beaucoup plus sanglantes que dans "Urgences", mais cela ne concerne qu'une infime partie de la série, car autour de cet hôpital, gravitent, non seulement son chirurgien vedette, mais aussi plusieurs personnages qui sont loin d'être secondaires, et grâce à ces histoires qui s'entrecroisent, on entrevoit des aspects de la société de cette époque:
    - le rôle des femmes, qui même si elles avaient un métier passionnant (infirmière, directrice d'hôpital) et même si elles venaient d'un milieu aisé, la société n'aurait pas toléré qu'elle garde ce métier une fois mariée, car elle devait alors se consacrer à son mari et ses enfants,
    - le racisme anti-noirs: les malades ne voulant pas se faire soigner par un médecin noir, les médecins blancs ne tolérant pas qu'un médecin noir puisse pratiquer la même médecine qu'eux, un hôpital à New-York réservé aux noirs: on est pourtant à New-York, et non pas dans une ville du sud des Etats-Unis...
    - l'avortement qui n'est pas légal
    Le chirurgien vedette de cet hôpital est prêt à tout pour faire avancer la chirurgie le plus rapidement possible: spoiler: il est accro à la cocaïne et admet un chirurgien noir à ses côtés lorsqu'il se rend compte que celui-ci est très fort et désire comme lui faire avancer la chirurgie de l'époque
    . Mais c'est un homme très tourmenté et tellement touchant à la fois...
    Et pour ne rien gâcher, tout cela est divinement mis en scène et filmé par Steven Soderbergh!
    Alors n'hésitez surtout pas!
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