Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Spin-off
par FrenchAmerican
Le pilote manque de suspense, le tout est rapidement prévisible et surtout, la série est assez classique. Elle réutilise même un twist de The Following pour l'une de ses victimes. Malgré tout, Maggie Q et Dylan McDermott parviennent à rendre le tout intéressant.
La critique complète est disponible sur le site Spin-off
Blabla-Séries
par Julien Dufresne-Lamy
Sans arriver bien sûr à la cheville des volets de Scream, la série a du rythme, une écriture facile et une réalisation correcte. Rien d'original, mais loin du ratage industriel.
La critique complète est disponible sur le site Blabla-Séries
Critictoo
par Carole
Stalker possédait un sujet aussi angoissant que pertinent, mais passe quelque peu à côté dans son début de saison. La série déroule ses investigations de la manière la plus classique qui soit au lieu de pleinement exploiter les particularités des crimes.
La critique complète est disponible sur le site Critictoo
L'Obs
par Ursula Michel
Stalker ressemble à ces programmes du siècle dernier, où chaque segment hebdomadaire était indépendant (…) mais les temps ont changé. Et les recettes qui jadis faisaient les choux gras des networks ont pris du plomb dans l’aile.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Télé Loisirs
par Delphine Rivet
Stalker ne vous fera pas tressaillir dans votre canapé. La série rate le coche en alignant les clichés d'un genre déjà maintes fois exploité. A la limite, on a plus affaire ici à des études de cas, façon Esprits Criminels, sans toutefois aller aussi loin dans l'approche psychologique des prédateurs.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
DailyMars
par Guillaume Nicolas
Stalker ne cherche pas (le temps de ce pilote) à enrichir notre paranoïa, mais surfe sur les clichés habituels. L’enquête du jour a déjà été vu dans CSI (par exemple). La série se figure tel un appendice. Une excroissance d’un genre, voire un parasite que l’on aurait arraché à son hôte.
La critique complète est disponible sur le site DailyMars
Télérama
par Pierre Langlais
Au-delà de la putasserie de son sujet, de ce qu'on peut lui reprocher (à juste titre) et de l'image déprimante qu'elle donne d'une humanité violente et malsaine, elle n'est qu'un énième procedural.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Spin-off
Le pilote manque de suspense, le tout est rapidement prévisible et surtout, la série est assez classique. Elle réutilise même un twist de The Following pour l'une de ses victimes. Malgré tout, Maggie Q et Dylan McDermott parviennent à rendre le tout intéressant.
Blabla-Séries
Sans arriver bien sûr à la cheville des volets de Scream, la série a du rythme, une écriture facile et une réalisation correcte. Rien d'original, mais loin du ratage industriel.
Critictoo
Stalker possédait un sujet aussi angoissant que pertinent, mais passe quelque peu à côté dans son début de saison. La série déroule ses investigations de la manière la plus classique qui soit au lieu de pleinement exploiter les particularités des crimes.
L'Obs
Stalker ressemble à ces programmes du siècle dernier, où chaque segment hebdomadaire était indépendant (…) mais les temps ont changé. Et les recettes qui jadis faisaient les choux gras des networks ont pris du plomb dans l’aile.
Télé Loisirs
Stalker ne vous fera pas tressaillir dans votre canapé. La série rate le coche en alignant les clichés d'un genre déjà maintes fois exploité. A la limite, on a plus affaire ici à des études de cas, façon Esprits Criminels, sans toutefois aller aussi loin dans l'approche psychologique des prédateurs.
DailyMars
Stalker ne cherche pas (le temps de ce pilote) à enrichir notre paranoïa, mais surfe sur les clichés habituels. L’enquête du jour a déjà été vu dans CSI (par exemple). La série se figure tel un appendice. Une excroissance d’un genre, voire un parasite que l’on aurait arraché à son hôte.
Télérama
Au-delà de la putasserie de son sujet, de ce qu'on peut lui reprocher (à juste titre) et de l'image déprimante qu'elle donne d'une humanité violente et malsaine, elle n'est qu'un énième procedural.